Imprévu ? Vraiment ?

Personne ne peut imaginer qu’une improbable copulation entre une chauve-souris et un pangolin sur les étals d’un marché en Chine puisse dégénérer un jour en une pandémie mondiale. Sur le plan scientifique un tel accouplement semble totalement inenvisageable sauf intervention humaine un docteur Jekyll, médecin fou au fin fond d’un laboratoire P4, ce type même d’enceinte ultra sécurisée.

Enceinte sécurisée, vraiment ? https://www.ouest-france.fr/auvergne-rhone-alpes/rhone/lyon-un-sdf-reussi-entrer-dans-un-laboratoire-ultra-securise-4112673

Toutefois l’apparition d’un tel évènement, si d’aucun pense qu’elle est intervenue tout à fait fortuitement, ne manque pas de préparation comme le prouve le déroulement des faits énoncés ci-après.

Chacun appréciera l’accélération des évènements au cours du deuxième semestre 2019 !

2010 – Première simulation : The Rockefeller Foundation

Global Business Network, Scenarios for the future of technology and International Developpement

https://www.fichier-pdf.fr/2020/04/13/rockefeller/


Les participants doivent imaginer quels enseignements tirer sur le plan de l’évolution technologique après que l’OMS ait déclaré un état pandémique mondial dont l’impact sur la vie humaine est extrêmement grave (plusieurs millions de décès envisagés) et, suivant la charte de 2005, imposant des mesures autoritaires très restrictives de libertés que les peuples finiront par rejeter. L’essentiel étant de travailler sur le futur de la technologie et du développement international et non sur une approche palliative au plan sanitaire !

Deuxième simulation, 2017 : The Spars pandemic

https://www.centerforhealthsecurity.org/our-work/pubs_archive/pubs-pdfs/2017/spars-pandemic-scenario.pdf

Center for Health Security : John Hopkins Bloomberg School of Public Health 

Cette simulation d’une « agression » virale susceptible d’engendrer une pandémie mondiale ne se préoccupe plus de la technologie, ni du développement international. Elle est centrée sur la communication, notamment comment éviter des erreurs et surtout lutter contre les critiques négatives relatives à l’inefficacité et la dangerosité potentielle des traitements. 

Le scénario tel que nous pouvons le lire aujourd’hui avec le vécu que nous avons de la pandémie depuis le début 2020 est incroyablement prémonitoire !!!

Au départ les participants imaginent une pandémie à coronavirus en provenance d’Asie identifiable par des tests RT-PCR aujourd’hui bien connus du grand public. Leur imagination est absolument remarquable ! Les personnes atteintes mais asymptomatiques sont contagieuses et de ce fait il est difficile de les isoler afin de contenir la diffusion du virus. La population envisagée comme étant la plus exposée concerne les enfants.

Il est imaginé qu’un antiviral précédemment développé contre le SARS de 2003 lequel fut le responsable de la première pandémie à coronavirus est approuvé malgré des effets secondaires connus. Les preuves de sa faible capacité à réduire la transmission sont établies et il est pris en compte le fait que la plus grande confusion règne dans la communication officielle.

Les Centres de contrôle des pathologies et la prévention américain (CDC : Center for Disease Control and prévention) admettent que les décès liés directement à la pandémie ne sont pas aussi importants que ceux annoncés officiellement. https://www.cdc.gov

L’imagination des participants s’enflamme ! Un programme de communication à l’échelle de la planète, destiné aux gouvernants, est mis en oeuvre pour lutter contre la réaction des populations qui montre un réel désintérêt pour cette crise sanitaire. Scientifiques et célébrités sont mobilisées pour inciter les populations à reprendre espoir en attendant l’attente d’un vaccin.

Qu’à cela ne tienne la simulation doit véritablement refléter une situation positivement réelle. Aussi les participants imaginent que la FDA (La Food and Drug Administration est l’administration américaine des denrées alimentaires et des médicament https://www.fda.gov. Cet organisme a, entre autres, le mandat d’autoriser la commercialisation des médicaments sur le territoire des États-Unis) fasse état publiquement du manque inefficacité des antiviraux sur les virus ! 

Le but de la simulation est de travailler non pas sur la résolution de la crise sanitaire résultant de la pandémie mais sur le processus de communication des gouvernants. Les esprits s’échauffent, les neurones s’activent allègrement jusqu’à envisager que les vaccins n’étant disponibles qu’en nombre limité il faut établir une priorité à la vaccination des plus sensibles au virus.

Le scénario envisage l’influence d’effets secondaires croissant avec le nombre de personnes vaccinées notamment chez les enfants et les participants envisagent le pire : des années plus tard des poursuites sont engagées pour que la clause dégageant toute responsabilité des laboratoires ayant développé le vaccin soit supprimée !!!

La simulation va même jusqu’à mentionner un complotisme sur les réseaux sociaux évoquant une diffusion volontaire du virus.

A la lecture de ce scénario, on ne peut plus éprouver le moindre doute : Madame Irma et sa boule de cristal étaient conviées à y participer activement.

Eté 2019 – Fermeture subite du laboratoire de recherche biologique militaire de Fort Detrick dans le Maryland (USA) à l’été 2019 (5 août).

Septembre 2019 – Troisième simulation par Conseil de surveillance de la préparation mondiale, (OMS) intitulée « Un monde en danger » : 

https://apps.who.int/gpmb/assets/annual_report/GPMB_annualreport_2019.pdf

Le Conseil base sa réflexion sur l’augmentation constatée des maladies infectieuses entre 2011 et 2018 par un recensement de 1483 évènements épidémiques dans 172 pays.

Les maladies à tendance épidémique telles que la grippe, le syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS), le syndrome respiratoire du Moyen-Orient (MERS), le virus Ebola, le virus Zika, la peste, la fièvre jaune et d’autres annoncent une nouvelle ère de forte incidence, à propagation potentiellement rapide des épidémies plus fréquemment détectées et de plus en plus difficiles à gérer.

En fonction de ces éléments concrets le Conseil explore et identifie les besoins les plus urgents et les actions nécessaires pour accélérer la préparation aux urgences sanitaires, en se concentrant en particulier sur les risques biologiques se manifestant par des épidémies et des pandémies. Après avoir analysé les données probantes, sept documents de synthèse explorent les défis de la préparation : 

– gouvernance et coordination,

– capacités de préparation des pays,

– recherche et développement,

– financement,

– renforcement de l’engagement et la confiance de la communauté,

– préparation et gestion des retombées d’une pandémie d’agents pathogènes respiratoires à fort impact,

– analyse de l’expérience acquise sur les aspects positifs et négatifs.


Le constat établi par le Conseil montre que ce sont les pays pauvres dépourvus d’infrastructures sanitaires et de mécanismes efficaces de lutte contre les infections qui en souffrent le plus sur tous les plans (mortalité, économie…). Il fait également état d’une grande vulnérabilité sur le plan économique (commerce et tourisme) de l’ensemble des pays du fait de l’interconnexion en termes de chaînes de valeur et de mouvements de population.

Le risque pandémique est croissant malgré les avancées scientifiques permettant la création de micro-organismes pathogènes en laboratoire pour les étudier et préparer des contre-mesures. 

Le Conseil imagine que de nombreux pays sont confrontés à une rupture de confiance du public qui menace leur capacité à fonctionner efficacement. La situation est exacerbée par la désinformation qui peut entraver la lutte contre la maladie, communiquée rapidement et largement via les médias sociaux. La nécessité d’une gestion globalisée à l’échelle de la planète s’avère indispensable pour lutter efficacement contre ce risque. 

Des visionnaires !!!

18 Septembre 2019 : de manière très discrète sans qu’un média de Chine ou d’ailleurs n’en fasse écho, le gouvernement chinois organise un exercice de simulation en réponse à une éventuelle pression épidémique due à un l’apparition d’un coronavirus. Un mois avant les jeux olympiques militaires qui se sont déroulés à….Wuhan !

(Source : Chinese citizen journalist Jennifer Zeng and Spiro Skouras for his video interview – à noter que le compte Youtube de cette vidéo à été fermé !)

(https://thefreedomarticles.com/chinese-government-foreknowledge-coronavirus-drill-30-days-wuhan-games/)

Octobre 2019 – Des militaires ayant participé à des compétitions sportives interarmées à Wuhan ont éprouvés divers symptômes laissant penser qu’ils avaient été atteints par un virus entraînant des syndromes respiratoires. 

(https://www.lemonde.fr/societe/article/2020/03/01/coronavirus-a-creil-entre-inquietude-et fatalisme_6031415_3224.html)

(https://www.lefigaro.fr/sciences/coronavirus-a-creil-enquete-au-sein-de-l-armee-20200228)

18 Octobre 2019 – La quatrième simulation conduite par le Center for Health Security : John Hopkins Bloomberg School of Public Health – Bill and Melinda Gates Foundation – WEF (Forum Economique Mondial), est intitulée« Event 201 ».

https://www.centerforhealthsecurity.org/event201/recommendations.html

L’événement 201 est un exercice multimédia sur la pandémie joué par des membres de gouvernements, des politiciens,du personnel de la santé publique, d’entreprises mondiales des industries essentielles à la réponse à une pandémie et au maintien des économies et de la société en mouvement pendant une épidémie intercontinentale grave et hautement transmissible. La simulation soulignera la nécessité d’inclure l’industrie privée, ainsi que la collaboration entre les entreprises et le gouvernement, dans la planification à venir pour atténuer l’impact économique et sociétal dévastateur des pandémies dans le monde. 

Les participants font preuve d’une imagination si proche d’une certaine réalité que ça en est troublant : il s’agit de simuler la survenue d’un nouveau coronavirus transmis de la chauve-souris au porc puis à l’homme, entraînant une grave pandémie !

L’agent pathogène et la maladie qu’il provoque sont largement calqués sur le SRAS. Celle-ci débute dans une ferme au Brésil avant de s’étendre rapidement au monde entier en commençant par les populations pauvres et défavorisées vivant dans des milieux où la densité de population est importante dans quelques grandes villes d’Amérique du Sud avant de se répandre grâce aux voyages aériens vers le Portugal, les Etats-Unis et la Chine puis ensuite vers l’ensemble des pays du monde.

Bien que certains pays soient en mesure de contrôler son expansion au début, le virus finit par engendrer une contamination globale de la planète.

Aucun vaccin n’est en mesure de contrecarrer la pandémie au cours de la première année. Il existe bien un médicament antiviral fictif qui peut aider les malades mais ne limite pas significativement la propagation de la maladie (!!!).

Étant donné que l’ensemble de la population humaine est vulnérable, pendant les premiers mois de la pandémie, le nombre cumulé de cas augmente de façon exponentielle. Au fur et à mesure que les cas et les décès s’accumulent, les conséquences économiques et sociétales deviennent de plus en plus graves.

Le scénario se termine au bout de 18 mois, avec 65 millions de morts. La pandémie commence à ralentir en raison du nombre décroissant de personnes sensibles mais se poursuivra jusqu’à ce qu’il y ait un vaccin efficace ou jusqu’à ce que 80 à 90% de la population mondiale ait été exposée. À partir de ce moment, il s’agira probablement d’une maladie infantile endémique.

Forts de cette pandémie, fruit de l’imagination des participants (!!!) des recommandations destinées à aider l’ensemble des pays du monde à préparer des actions palliatives et curatives sont préconisées.

Novembre 2019 : Cinquième simulation

Forum Economique Mondial : novembre 2019, Global Health Security: Epidemics Readiness Accelerator : Le WEF a été chargé de gérer les risques associées aux pandémies.

https://apps.who.int/gpmb/assets/annual_report/GPMB_annualreport_2019.pdf

On est donc en mesure de s’interroger sur le niveau de connaissance des décideurs quant à la présence d’un virus capable de créer une pandémie à l’échelle de la planète bien avant que les médias n’alertent la population.

Le laboratoire Pfizer et la fondation Bill & Melinda Gates ont signé un accord de coopération en septembre 2019, Pfizer entamant le développement d’un vaccin dès le 10 janvier 2020 alors que l’OMS n’a déclaré l’état de pandémie que le 11 mars 2020, soit 2 mois plus tard.

En 2020 le « Conseil Mondial de Suivi de la Préparation », organisme indépendant de suivi et de plaidoyer chargé de veiller à la préparation aux crises sanitaires mondiales, qui a été institué par l’OMS et la Banque mondiale, a lancé un appel à agir d’urgence pour renforcer la riposte actuelle à la COVID-19 et mieux préparer le monde aux futures pandémies et situations d’urgence sanitaire ; pour que du chaos naisse l’ordre.

https://apps.who.int/gpmb/assets/annual_report/2020/GPMB_AWID_ES_2020_FR.pdf

Et dans l’une de ses recommandations on peut citer « Nous appelons à une gouvernance mondiale solide de la préparation aux situations d’urgence sanitaire » que complète une conclusion toute aussi instructive « La pandémie de COVID-19 est un test brutal de la préparation du monde. Le Conseil mondial conclut que peu de progrès ont été faits sur les mesures que le rapport de l’an dernier préconisait, quelles qu’elles soient, et que cette absence de leadership exacerbe les effets de la pandémie. Si l’on ne se montre pas capable de tirer les enseignements de la COVID-19 ou d’agir en conséquence moyennant les ressources et l’engagement nécessaires, la prochaine pandémie, qui ne manquera pas de survenir, sera encore plus dommageable« . 

Novembre 2019 : plusieurs membres du personnel du laboratoire P4 de Wuhan sont hospitalisés avec certains symptômes de la Covid 19 notamment.

https://www.wsj.com/articles/intelligence-on-sick-staff-at-wuhan-lab-fuels-debate-on-covid-19-origin-11621796228

30 décembre 2019 – Le médecin chinois Li Wienliang (ORL) déclare 7 malades du SRAS en se basant sur une comparaison de scanners avec ceux dont il était en possession et datant de 2003 (SARS-CoV-1).

10 Janvier 2020 – Pfizer entreprend la réalisation d’un vaccin contre le Covid.

17 Janvier 2020 – L’OMS valide l’utilisation du coronatest PCR préconisé par le Dr Drosten, un virologue allemand conseiller de la chancelière Merkel. En préconisant des valeurs de réglage spécifiques il en résulte que les résultats des tests devenaient positifs, même avec des traces infimes de virus dans la plupart des cas.

Ce virologue s’est inspiré du test RT-PCR (Reverse Transcription-Polymerase Chain Reaction) inventée en 1985 par le prix Nobel de chimie (1993) Kary Mullis. Son but est de détecter la plus petite quantité d’ADN ou D’ARN (acides nucléiques) présente dans la cellule étudiée, fonctionnant ainsi un peu comme une photocopieuse-agrandisseuse.

20 Janvier 2020 – La Chine confirme l’épidémie de covid-19.

Février 2020 – Moderna entreprend à son tour de travailler sur un vaccin.

11 Mars 2020 – L’OMS déclare une pandémie mondiale en modifiant le niveau de déclarations à 50 malades pour 100 000 individus alors que le taux initial était de 150/100 000. 

Il est intéressant et curieux de noter qu’à la même époque 50 000 000 US $ sont versés par le chantre de la vaccination pour tout et pour tous par la fondation Bille & Melinda Gates.

Juillet 2020 – La règlementation européenne en matière de consommation d’OGM change. Jusqu’ici ils étaient interdits à la consommation humaine sous quelque forme que ce soit sauf à travers la consommation animale dont ils pouvaient faire partie.

De ce fait l’injection par piqure intra-musculaire dans le corps humain de produits en contenant devient soudainement possible permettant dès lors de les utiliser pour la vaccination anti-covid.

Survenue imprévisible d’une pandémie ? Vraiment ?

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