Option Europe socialiste

Les députés européens du camp socialiste n’ont rien trouvé de mieux que de réclamer la démission de Fabrice Leggeri, le responsable de l’agence de protection des frontières de l’Europe, Frontex !

Motif : Frontex aurait participer à des opérations de refoulement de migrants et de demandeurs d’asile politique traversant la mer Egée depuis la Turquie pour tenter d’entrer illégalement en Grèce.

Frontex est l’Agence européenne de garde-frontières et de garde-côtes, créée en 2004 pour aider les États membres de l’UE et les pays associés à l’espace Schengen à protéger les frontières extérieures de l’espace de libre circulation de l’UE. En 2016, l’Agence a vu son mandat élargi et renforcé pour devenir l’Agence européenne de garde-frontières et de garde-côtes. Outre le contrôle des migrations, elle s’est vu attribuer un rôle de gestion des frontières et une responsabilité accrue dans la lutte contre la criminalité transfrontalière. Frontex est désormais reconnue comme étant l’une des pierres angulaires de l’espace de liberté, de sécurité et de justice de l’UE. De même, les opérations de recherche et de sauvetage ont été officiellement intégrées à son mandat chaque fois que des situations de ce type surviennent dans le cadre de la surveillance des frontières maritimes.

A en croire ces députés socialistes européens, Frontex devrait donc accepter que des étrangers tentent d’accoster en toute illégalité sur un territoire de l’UE, qui plus est en provenance de Turquie et donc ne pas remplir la mission qui est sa raison même d’exister.

Depuis le 18 mars 2016 UE et Turquie sont liées par un accord migratoire, Ankara s’étant engagée à exercer des contrôles plus stricts à ses frontières pour juguler l’immigration illégale en coopération avec Frontex ainsi qu’à accueillir tous les migrants illégaux venus de son territoire et arrêtés en Grèce. En contrepartie l’UE a puisé 6 Md€ (6 000 000 000 €) dans les impôts des européens pour financer l’accueil et l’accompagnement des réfugiés sur le sol turc. Une somme non négligeable généreusement offerte aux turcs. Un gaspillage inutile qui auraient été certainement mieux employé en renforçant les frontières de l’espace Schengen et en dotant l’agence Frontex de plus de moyens humains et matériels pour s’acquitter de sa mission.

Accueillir les vrais demandeurs d’asile est un devoir naturel dans la mesure ou ils sont en danger dans leur pays. Mais doit-on accepter qu’un immigration sauvage, incontrôlée débarque en toute impunité sur le territoire européen notamment dans une période ou une grande partie de la population est confinée du fait de l’importance du risque sanitaire que les gouvernements ne cessent de nous rabâcher ?

Lettre du Professeur Perronne

“Chers amis,

La France, qui vit un cauchemar depuis des mois, se réveille. Dans beaucoup de villes de notre beau pays, le peuple est en marche pour retrouver sa liberté, pour exiger le retour de la démocratie. En tant que médecin, spécialiste des maladies infectieuses et ayant été président de nombreuses instances ou conseils de santé publique, y compris sur les vaccins, je mesure chaque jour les incertitudes générant la peur et le désarroi croissant de nos concitoyens. 

Je prends le risque d’être à nouveau qualifié de « complotiste » ou mieux de « rassuriste », termes désignant ceux qui critiquent ou challengent la pensée unique. Je finis par être fier de ces appellations, mes propos exprimant la vérité n’ayant jamais changé depuis le début de l’épidémie. Je considère donc qu’il est de ma responsabilité de m’exprimer à nouveau ce jour sur l’ensemble du volet médical de la Covid-19 et en particulier sur le sujet vaccinal, désormais l’élément central et quasiment unique de la politique de santé de l’Etat.

Beaucoup de Français ont été hypnotisés par la politique de la peur. Depuis septembre 2020, on nous avait annoncé une deuxième vague terrible de l’épidémie, pire que la première. Le Ministre de la Santé, le Dr Olivier Véran, le Président du Conseil scientifique de l’Elysée, le Pr Jean François Delfraissy, le Directeur Général de la Santé, le Pr Jérôme Salomon, l’Institut Pasteur nous ont annoncé des chiffres catastrophiques avec une augmentation exponentielle du nombre de morts. 

Les hôpitaux devaient être saturés et débordés. Même le Président de la République, lors d’une allocution télévisée récente annonçant le reconfinement, nous a prédit pas moins de 400.000 morts, renchérissant sur les 200.000 morts estimés peu de temps auparavant par le Pr Arnaud Fontanet de Pasteur. 

Ces chiffres irréalistes n’avaient qu’un but, entretenir la peur pour nous faire rester confinés, sagement masqués. Pourtant l’usage généralisé des masques en population générale n’a aucun intérêt démontré scientifiquement pour enrayer l’épidémie de SARS-CoV-2. L’utilisation des masques devrait être ciblée pour les malades, leur entourage (surtout les personnes à risque) et les soignants au contact.

Or l’épidémie régresse et n’a entraîné aucune apocalypse. La dynamique de la courbe montrait depuis des semaines le profil d’un rebond épidémique saisonnier qui s’observe avec certains virus, une fois la vague épidémique terminée. Cela témoigne de l’adaptation du virus à l’homme et est aussi le reflet de l’immunité collective qui progresse dans la population et qui nous protège naturellement. Les souches de virus qui circulent actuellement ont perdu de leur virulence. Les autorités ne pourront pas dire que c’est grâce au confinement car la tendance à la baisse avait commencé avant même sa mise en place. La régression de l’épidémie avait même commencé, dans certaines agglomérations, avant l’instauration du couvre-feu.

Malheureusement, il y a encore des décès qui surviennent chez des personnes très âgées, des grands obèses ou des personnes souffrant d’un diabète sévère, d’hypertension artérielle grave, de maladies cardiorespiratoires ou rénales déjà invalidantes. Ces personnes à risque sont parfaitement identifiées. Les mesures sanitaires devraient donc être ciblées pour les protéger, les dépister et les traiter le plus tôt possible dès le début des symptômes par l’hydroxychloroquine et l’azithromycine dont l’efficacité et l’innocuité sont largement confirmées, si on donne le traitement précocement.

Beaucoup de décès auraient pu être évités. Or, on a dissuadé les médecins généralistes et les gériatres de traiter. Dans ce contexte, continuer à persécuter nos enfants derrière des masques inutiles reste incompréhensible.

Toutes ces mesures sont faites pour que les Français réclament un vaccin. Or quel est l’intérêt d’un vaccin généralisé pour une maladie dont la mortalité est proche de 0,05% ? Aucun. Cette vaccination de masse est inutile. De plus, les risques de la vaccination peuvent être plus importants que les bénéfices.

Le plus inquiétant est que de nombreux pays, dont la France, se disent prêts à vacciner dans les semaines qui viennent, alors que la mise au point et l’évaluation de ces produits se sont faites à la va-vite et qu’aucun résultat de l’efficacité ou de la dangerosité de ces vaccins n’a été publié à ce jour. Nous n’avons eu le droit qu’à des communiqués de presse des industriels fabricants, permettant de faire flamber leurs actions en bourse.

Le pire est que les premiers « vaccins » qu’on nous propose ne sont pas des vaccins, mais des produits de thérapie génique. On va injecter des acides nucléiques qui provoqueront la fabrication d’éléments du virus par nos propres cellules. On ne connait absolument pas les conséquences de cette injection, car c’est une première chez l’homme. Et si les cellules de certains « vaccinés » fabriquaient trop d’éléments viraux, entrainant des réactions incontrôlables dans notre corps ? 

Les premières thérapies géniques seront à ARN, mais il existe des projets avec l’ADN. Normalement, dans nos cellules, le message se fait de l’ADN vers l’ARN, mais l’inverse est possible dans certaines circonstances, d’autant que nos cellules humaines contiennent depuis la nuit des temps des rétrovirus dits « endogènes » intégrés dans l’ADN de nos chromosomes. Ces rétrovirus « domestiqués » qui nous habitent sont habituellement inoffensifs (contrairement au VIH, rétrovirus du sida par exemple), mais ils peuvent produire une enzyme, la transcriptase inverse, capable de transcrire à l’envers, de l’ARN vers l’ADN. Ainsi un ARN étranger à notre corps et administré par injection pourrait coder pour de l’ADN, tout aussi étranger, qui peut alors s’intégrer dans nos chromosomes.

Il existe donc un risque réel de transformer nos gènes définitivement. Il y a aussi la possibilité, par la modification des acides nucléiques de nos ovules ou spermatozoïdes, de transmettre ces modifications génétiques à nos enfants. Les personnes qui font la promotion de ces thérapies géniques, faussement appelées « vaccins » sont des apprentis sorciers et prennent les Français et plus généralement les citoyens du monde, pour des cobayes. Nous ne voulons pas devenir, comme les tomates ou le maïs transgéniques des OGM (organismes génétiquement modifiés). 

Un responsable médical d’un des laboratoires pharmaceutiques fabricants a déclaré il y a quelques jours qu’il espérait un effet de protection individuelle, mais qu’il ne fallait pas trop espérer un impact sur la transmission du virus, donc sur la dynamique de l’épidémie. C’est bien là un aveu déguisé qu’il ne s’agit pas d’un vaccin. Un comble.

Je suis d’autant plus horrifié que j’ai toujours été en faveur des vaccins et que j’ai présidé pendant des années des instances élaborant la politique vaccinale. Aujourd’hui, il faut dire stop à ce plan extrêmement inquiétant. Louis Pasteur doit se retourner dans sa tombe.

La science, l’éthique médicale et par-dessus tout le bon sens doivent reprendre le dessus.

Dr Christian Perronne

Le 30 novembre 2020

Christian Perronne : Chef du service des Maladies infectieuses et tropicales de l’Hôpital de Garches, France

Cliquez ICI pour lire le CV complet du Professeur PERRONNE

Crime horrible, réponse timide

Communiqué du Ministère de l’Education Nationale

Ministère de l’Education Nationale

BILAN DES INCIDENTS SURVENUS LORS DE L’HOMMAGE RENDU À SAMUEL PATY

Actualités

Publié le 04 décembre 2020

Profondément meurtri par l’assassinat de Samuel Paty le 16 octobre, l’ensemble de la communauté éducative lui a rendu un hommage dans toutes les écoles et tous les collèges et lycées de France le lundi 2 novembre, réaffirmant ainsi son unité autour des valeurs de la République, de la liberté d’expression et du principe de laïcité au travers de la minute de silence et de la lecture de « la lettre de Jean Jaurès aux instituteurs ». Cet hommage a été prolongé, pour tous les élèves de France, lors d’une séance pédagogique animée par leurs professeurs

Suite à une nouvelle rencontre entre Jean-Michel Blanquer, ministre de l’Éducation nationale, de la Jeunesse et des Sports et les référents académiques Valeurs de la République, jeudi 3 décembre, le bilan précis des incidents survenus lors de cet hommage a pu être établi dans le cadre du dispositif « faits établissement » qui recense, analyse et transmet au niveau national les situations d’atteinte au principe de laïcité afin de dresser un état des lieux général.

  • Les 2 et 3 novembre : 400 incidents ont été signalés, soit 50% des faits ;
  • Du 4 à fin novembre : 393 faits supplémentaires ont été signalés, en partie en raison du délai de remontée des signalements.

La répartition de nombre de faits par type d’établissement s’établit ainsi :

  • 23% en primaire ;
  • 48% en collège ;
  • 18% en lycée général et technologique ;
  • 11% en lycée professionnel.

La répartition des faits par auteur est la suivante :

  • 714 faits ont été commis par des élèves (90%) ;
  • 60 faits impliquent des parents (7,5%) ;
  • Les autres faits ont été réalisés par des individus extérieurs à l’établissement dont un par un personnel municipal.

La nature des faits se répartit :

  • 20% provocations ;
  • 20% contestations ;
  • 17% apologies du terrorisme ;
  • 12% refus de participer ;
  • 12% autres ;
  • 9% perturbations de l’hommage ; 
  • 5% menaces ;
  • 5% non qualifiés.

Mesures prises par les établissements (au 18 novembre) :

  • 44 exclusions définitives ; 
  • 131 exclusions temporaires ;
  • 4 blâmes ;
  • 48 avertissements ;
  • Par ailleurs, 286 signalements ont été effectués auprès des services police-gendarmerie et 136 auprès des procureurs de la République.

Ces mesures sont affligeantes ! En termes de pourcentage l’image est plus douce à présenter au public mais traduisons en nombre d’individus pour vraiment imager : 

– 158 provocateurs

– 158 contestateurs

– 135 cas d’apologie du terrorisme

– 95 refus de participation à l’hommage

– 95 + 40 = 135 cas non définis (!)

– 71 perturbateurs

– 40 cas de menaces

Dans ce ramassis d’individus hostiles à la Nation (*) il y a donc 714 jeunes, 60 parents et 19 personnages n’entrant pas dans le cadre du système scolaire !!!

Comment se fait-il que 793 (714 + 60 + 19) plaintes n’aient pas été transmises au procureur de la République avec comparution IMMEDIATE ??? Les parents sont responsables des actes des enfants mineurs.

Quand nos gouvernants vont-ils cesser de jouer les bisounours, de nous seriner avec l’État de droit, le « pas d’amalgame » et tous leurs discours aussi creux qu’insipides qu’ils nous débitent à longueur de temps pour noyer la réalité du quotidien des français ? Quand vont-ils cesser de nous prendre pour des imbéciles, des « sans-dents », des moins que rien ? QUAND ???

Nous en avons assez de subir le dictat et la violence d’une minorité d’abrutis qui polluent notre pays et, ce qui doit nous interpeller, c’est la tiédeur de la réaction des gens susceptibles d’assurer notre sécurité. 

Il y a au sein de la population française ayant l’immense opportunité de bénéficier d’un enseignement lui donnant la possibilité de se créer une voie vers l’avenir, une frange réfractaire aux valeurs de la république et susceptible de mettre en danger la Nation puisqu’elle est capable de réagir négativement à un acte d’une cruauté inimaginable perpétrée au nom d’une pseudo-idéologie religieuse qui n’est en fait qu’une volonté de domination d’autrui par la violence.

Les institutions républicaines sont mises en danger par une mouvance pseudo-religieuse dont l’objectif est de dominer le monde. Ne doutons pas un instant que nombre de croyants de cette religion n’ont rien à voir avec cet état d’esprit dominateur par la violence. Toutefois pour une minorité adepte de cette idéologie il ne s’agit en réalité que d’une simple et très restrictive interprétation de textes par des individus dont le processus cognitif est altéré par une déficience intellectuelle de grande importance. Ne disposant pas du potentiel d’intelligence nécessaire, ils n’ont que le recours à la violence pour s’exprimer.

Chacun est donc libre de se fier ou non à un dogme ou un écrit qualifié de « sacré » par … ???. Dans la mesure ou posséder une foi, la pratiquer en toute intimité ou en réunion avec d’autres croyants en respectant la liberté de penser ou non d’autrui, ne nuit pas pas à l’Athée ou l’Agnostique, il n’y a aucune raison de penser que les dits croyants soient des individus dangereux. 

Aujourd’hui on constate une dérive toujours plus forte d’individus s’imaginant détenir la Vérité absolue et tentant d’imposer ce en quoi ils croient sans être capables de comprendre que leur monde de croyance possède des limites, celles de celui dans lequel ils évoluent. Cet environnement sociétal se nomme la République.

La Nation c’est le peuple de France, les hommes et les femmes qui sont unis sous la même République, obéissant aux mêmes règles, aux mêmes lois et dont la liberté de chacun cesse ou commence celle d’autrui.

C’est avec effroi que la Nation française et très certainement d’autres peuples de ce monde ont appris le crime abominable perpétré sur la personne de Monsieur Samuel Paty. L’action de tuer un être humain est déjà horrible, commettre un tel acte avec une sauvagerie totalement inimaginable dépasse tout entendement.

Pourtant on se demande quelles raisons poussent ces gens, à qui le peuple a confié sa destinée, à ne pas réagir avec plus de fermeté et de rigueur. Les lois existent, inutile de perdre du temps à en concocter d’autres. Que la justice fasse son travail par une application stricte des textes.

France : État de droit ! 

Les français le réclament à leur profit, pas pour défendre ceux qui veulent les tuer.

N’oublions pas Monsieur Samuel Paty et toutes les autres victimes décédées ou traumatisées à vie par des barbares qui n’ont rien à faire chez nous.

(*) définition du Larousse « La Nation est l’ensemble des êtres humains vivant dans un même territoire, ayant une communauté d’origine, d’histoire, de culture, de traditions, parfois de langue, et constituant une communauté politique ».

Réfléchir, décider… prend du temps

Compte-tenu de l’ensemble des récriminations imputées à une association connue depuis au moins 2012 à en croire les considérations exprimées on ne peut que rester dubitatif sur le temps qu’il aura fallu aux responsables de notre sécurité. Tant de victimes innocentes décédées ou marquées à vie pour enfin réagir.

Le processus décisionnel dévolu à la sécurité de la population est long, très long, trop long, la sécurité des citoyens français devrait être la préoccupation majeure des gouvernements et les réactions devraient être infiniment plus rapides et plus sévères.

Les considérations qui ont conduit à cette décision auraient du être prises depuis bien longtemps.

Ci-dessous les considérations nécessaires à la prise de décision (très tardive).

« Considérant, en premier lieu, qu’en qualifiant d’islamophobes des mesures prises dans le but de prévenir des actions terroristes et de prévenir ou combattre des actes punis par la loi, le « Collectif contre l’islamophobie en France » doit être regardé comme partageant, cautionnant et contribuant à propager de telles idées, au risque de susciter, en retour, des actes de haine, de violence ou de discrimination ou de créer le terreau d’actions violentes chez certains de ses sympathisants ; que ce constat est partagé par l’Observatoire contre l’islamophobie du Conseil français du culte musulman qui considère que l’objectif de ce collectif « est de faire peur à la communauté musulmane et d’allumer le feu en permanence » ; 

Considérant en deuxième lieu que, sous couvert de dénoncer des actes d’islamophobie, le « Collectif contre l’islamophobie en France » distillait, par la publication de ses propres statistiques ou ses dénonciations, un message consistant à faire passer pour islamophobe tout acte ou évènement mettant en cause des personnes de confession musulmane, n’hésitant pas, dans certains cas, à travestir la vérité pour accréditer ainsi dans l’opinion publique un soupçon permanent de persécution religieuse de nature à attiser la haine, la violence ou la discrimination ; qu’ainsi, ce collectif a notamment recensé comme « actes islamophobes » des expulsions d’imams 

appelant au djihad, la fermeture d’une mosquée utilisée comme centre de recrutement djihadiste ou encore une manifestation contre le déplacement, à Lyon, de M. B, connu pour avoir justifié la lapidation des femmes en expliquant qu’il s’agissait d’une forme de purification ; que, de même, le « Collectif contre l’islamophobie en France » a présenté, à plusieurs reprises et en travestissant les faits, des actes de violence entre particuliers comme des actions de représailles contre les musulmans, à la suite de l’attentat contre le journal Charlie Hebdo ; 

Considérant que les publications du « Collectif contre l’islamophobie en France » ont généré, sur ses comptes ouverts sur les réseaux sociaux, des commentaires de la part des sympathisants et internautes qui constituaient par eux-mêmes une provocation à la haine, à la discrimination et à la violence ; que ces commentaires diffusaient ainsi des propos antisémites ou négationnistes, hostiles aux autres formes de croyance, et notamment aux chrétiens, hostiles aux francs-maçons ou encore des propos homophobes, sans que le président du collectif ni aucun autre responsable ne procède à leur retrait ou même à une quelconque modération des propos ainsi diffusés, alors même que le collectif disposait de nombreux salariés et a toujours démontré une réelle volonté de maîtrise de son image et de sa communication ; 

Considérant qu’en 2012, en réponse à la publication de caricatures par le journal satirique Charlie Hebdo, le « Collectif contre l’islamophobie en France » a publié des dessins de M. C, connu pour ses positions antisémites, mettant ainsi sur le même plan, d’une part, des caricatures antisémites ou négationnistes et, d’autre part, des caricatures satiriques publiées par ce journal ; que certains membres du collectif, dont son porte-parole, ont participé es-qualité à des rassemblements militants interdits aux blancs ou aux non-musulmans, contribuant ainsi à légitimer cette démarche ; 

Considérant que par suite, le « Collectif contre l’islamophobie en France » doit être regardé comme provoquant à la haine, à la discrimination et à la violence en raison de l’origine, de l’appartenance à une ethnie, à une race ou à une religion déterminée et comme propageant des idées ou théories tendant à justifier ou encourager cette discrimination, cette haine ou cette violence, au sens du 6o de l’article L. 212-1 du code de la sécurité intérieure ; 

Considérant que le « Collectif contre l’islamophobie en France » doit également être regardé comme se livrant, sur le territoire français ou à partir de ce territoire, à des agissements en vue de provoquer des actes de terrorisme en France ou à l’étranger, au sens du 7o de l’article L. 212-1 du code de la sécurité intérieure ainsi qu’il résulte des faits suivants ; 

Considérant, en premier lieu, que de nombreux dirigeants du « Collectif contre l’islamophobie en France », anciens comme actuels, sont les tenants d’une approche radicale de la religion musulmane pouvant être qualifiée d’islamiste ; que le collectif entretient de nombreuses relations avec des penseurs ou prédicateurs affiliés à l’islam radical, dont l’un justifie la lapidation, le sida en tant que punition divine pour les comportements déviants et diffuse des théories complotistes dans le but d’attiser la haine et la violence à l’égard des non-musulmans, en particulier des juifs ; que de même, entre 2012 et 2015, le collectif a organisé des galas destinés à trouver des financements pour l’association, auxquels ont participé des individus connus pour leur appartenance à la mouvance radicale ; 

Considérant, en deuxième lieu, que plusieurs responsables ou membres du « Collectif contre l’islamophobie en France » entretiennent des relations avec des figures de l’islam radical, dont certains membres de la mouvance djihadiste ou ayant combattu en Syrie dans les rangs d’Al-Qaeda ; que le collectif a fait la promotion publique des interventions de M. B, connu pour ses propos antisémites et homophobes et interdit de séjour en France ; qu’en 2020, le collectif a fait à plusieurs reprises la promotion de M. D, auteur salafiste, prônant un islam révolutionnaire en rupture avec la démocratie élective, membre fondateur de l’association « Anâ Muslim », connu pour ses liens avec de nombreuses personnes et organisations prônant le djihad armé ; que le collectif a également apporté son soutien à l’association dénommée « Barakacity » et à son président, alors même que ce dernier a soutenu le terrorisme, la mort en martyr et les attentats contre Charlie Hebdo, faits qui, parmi d’autres, ont conduit à la dissolution de l’association qu’il présidait ; 

Considérant en troisième lieu que, sous couvert de dénoncer les actes de discriminations commis contre les musulmans, le « Collectif contre l’islamophobie en France » défend et promeut une notion d’« islamophobie » particulièrement large, n’hésitant pas à comptabiliser au titre des « actes islamophobes » des mesures de police administrative, voire des décisions judiciaires, prises dans le cadre de la lutte contre le terrorisme ; que ce faisant, le « Collectif contre l’islamophobie en France » doit être considéré comme participant à la légitimation de tels actes ;

Considérant, en quatrième lieu, que les publications du « Collectif contre l’islamophobie en France » et les interventions de ses responsables ont systématiquement conduit à relativiser ou refuser de condamner des actes de terrorisme ou l’appel à la violence armée, participant également à leur légitimation ; qu’il en a été notamment ainsi des attentats perpétrés par Mohammed MERAH à Toulouse, par Mehdi NEMMOUCHE au musée juif de Bruxelles, de l’attentat perpétré à Saint-Quentin Fallavier ou encore de celui de Conflans-Sainte-Honorine ; 

Considérant enfin que les publications du « Collectif contre l’islamophobie en France » ont généré, sur le compte de l’association sur les réseaux sociaux, des commentaires de la part des sympathisants et internautes constituant une provocation à des actes de terrorisme ou une légitimation de tels actes, sans que le président de l’association ni aucun autre responsable ne procède à leur retrait ou même à une quelconque modération des propos ainsi diffusés ; que ces commentaires diffusaient des propos laissant entendre que l’Etat français est à l’initiative de l’attentat commis contre Samuel PATY, des propos légitimant les actes de terrorisme commis à l’encontre de la rédaction de Charlie Hebdo, des propos légitimant l’action d’une association dissoute en raison de ses agissements en lien avec la commission d’actes de terrorisme ainsi que des appels à commettre des meurtres et des actes de violence en France, notamment à l’égard d’autorités publiques ; 

3 décembre 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 20 sur 198 

Considérant qu’au regard de l’ensemble des éléments qui précèdent, il y a lieu de prononcer la dissolution du « Collectif contre l’islamophobie en France » sur les fondements des 6o et 7o de l’article L. 212-1 du code de la sécurité intérieure ; 

Considérant qu’une procédure contradictoire de dissolution a été engagée à l’encontre de l’association dénommée « Association de défense des droits de l’homme – Collectif contre l’islamophobie en France » par courrier du 19 novembre 2020, notifié le même jour à son président M. A ; que si, par un courrier transmis par messagerie électronique le 26 novembre 2020, l’association a indiqué que cette procédure serait désormais sans objet, dès lors que l’association avait elle-même procédé à sa dissolution avec effet au 17 novembre 2020 par décision du conseil d’administration extraordinaire en date du 29 octobre 2020, il apparaît toutefois que le « Collectif contre l’islamophobie en France » a continué, de fait, à exercer une activité postérieurement au 17 novembre 2020 ; qu’ainsi, de nombreuses publications sont intervenues sur les comptes du collectif sur les réseaux sociaux, démontrant la volonté poursuivre ses agissements au-delà de sa dissolution volontaire, en France comme à l’étranger, en conservant son objet, son identité et ses modes d’actions actuels ; que si les comptes du collectif sur les réseaux sociaux ont été désactivés le 28 novembre 2020, ce n’est que tardivement et au cours de la procédure de dissolution engagée à son encontre ; que d’ailleurs, la déclaration de dissolution volontaire, pourtant décidée dès le 29 octobre 2020, n’a été adressée par télé-procédure que le 19 novembre 2020, soit le même jour que la notification du courrier informant l’association de l’engagement d’une procédure de dissolution à son encontre ; qu’il résulte de l’ensemble de ces éléments que la dissolution volontaire, intervenue pour faire échec au projet de dissolution envisagé par le Gouvernement, n’est que de pure façade, l’association continuant désormais ses agissements sous la forme d’un groupement de fait qu’il y a lieu de dissoudre pour les mêmes motifs ; 

Le conseil des ministres entendu,le président de la République décrète : 

Art. 1er. – Le groupement de fait dénommé « Association de défense des droits de l’homme – Collectif contre l’islamophobie en France » est dissous. 

Art. 2. – Le Premier ministre et le ministre de l’intérieur sont responsables, chacun en ce qui le concerne, de l’application du présent décret, qui sera publié au Journal officiel de la République française. 

Fait le 2 décembre 2020.
Signataires E. Macron président de la République, J. Castex Premier ministre, G. Darmanin ministre de l’Intérieur

Source : https://www.legifrance.gouv.fr/download/pdf?id=-nWvo0jS6QqmBjWn9EPe_u_AvWkqbw3aGTWSBldcbDg=

France, ma France.

La France c’est l’Alsace, la Corse, la Bretagne, le Berry, le Pays Basque, le Pays Catalan, la Provence, la Savoie, la Lorraine, le Nord, l’Aquitaine, les Antilles, la Réunion…. 

La France c’est un assemblage de cultures, de dialectes locaux, de langues différentes et d’une langue commune le français avec plus ou moins d’accent chantant…

La France c’est une Histoire faite de gaulois réfractaires à la domination romaine, une royauté dominatrice au fil des siècles avant d’être rejetée pour oppression du peuple, d’une révolution ayant engendré l’empire et des républiques qui se sont succédées par la suite. 

La France c’est la liberté de penser, d’écrire, de s’exprimer, de pratiquer sa foi. La France c’est la tolérance, l’acceptation de la diversité, l’ouverture à l’étranger.

La France c’est au moins deux millions de soldats français morts pendant le premier conflit mondial pour ne pas tomber sous le joug de l’ennemi. La France c’est des listes de noms gravés sur les monuments aux morts que l’on trouve dans toutes les villes et les villages de notre pays. La France c’est la lutte encore et toujours contre l’envahisseur.

La France c’est le pays des droits de l’Homme et du Citoyen, le pays de la liberté de vivre sans entraver celle de l’autre. 

La France c’est un art culinaire que l’on va trouver aussi bien dans de grands restaurants que dans des endroits plus modestes sachant préparer une spécialité locale avec talent. 

La France c’est un pays d’agriculteurs, de maraîchers, d’éleveurs, de pêcheurs capables de proposer des produits de la plus grande qualité. 

La France c’est un pays de gens courageux, travailleurs souhaitant mener une vie paisible, artisans, commerçants, professions libérales, TPE-PME à la taille modeste mais créatrices d’emplois pérennes. 

La France c’est de magnifiques paysages, des bois, des montagnes, des vallées verdoyantes, une façade maritime exceptionnelle.

La France c’est une terre d’accueil pour de vrais exilés fuyant l’oppression dans leurs pays. La France n’est pas raciste, si c’était le cas les étrangers viendraient-ils en masse s’y réfugier ? Peut-on véritablement dire que la France a un passé colonialiste alors qu’elle a construit des écoles, des routes, des ponts, des hôpitaux, des universités … dans les pays où elle se trouvait ? Elle a formé des générations de jeunes à la lecture, l’écriture, le calcul et leur a offert la possibilité d’apprendre un métier ou de suivre des études supérieures ? L’enseignement, la Santé, l’Emploi n’ont-ils pas été l’une des préoccupations majeures de la France là où elle se trouvait ?

France, mon beau pays, cette terre d’anciens qui m’ont permis d’être un homme libre aujourd’hui.

Quel français aujourd’hui est prêt à renier tout ça ? Quel français est prêt à subir une plongée dans la mixité forcée. Quel français accepterait de vivre sous un régime dictatorial imposé par une minorité religieuse ? Quel français accepterait le mariage de petites filles avec un adulte ? Quel français accepterait que la femme soit considérée comme un être inférieur ? Quel français accepterait que la polygamie soit un régime légal ? Quel français serait capable de lapider une femme coupable d’adultère ? Quel français accepterait qu’on lui impose une religion en reniant sa propre foi ?

Quel français acceptera que la France ne soit plus la France, celle que nos anciens ont bâti au prix de leur sang ? Nation ouverte au monde, tolérante, pacifique, prête à défendre l’opprimé…

France, ne te laisse pas envahir par des idéologies, des civilisations, des minorités qui n’ont d’autre objectif que de te soumettre à leur propre loi au détriment de ta grandeur, de ton passé, de ta loi républicaine.

France, Ma France

COVID, ARNm….un jeu dangereux ?

Un vaccin a pour objectif de faire reconnaître par l’organisme un virus en injectant un virus du même type inactivé (poliomyélite, grippe) ou atténué (rougeole, fièvre jaune) ou par injection d’antigènes (hépatite B).

Le traitement proposé pour vaincre la COVID-19 par ARN messager (Acide ribonucléique messager) consiste en uneintervention humaine sur le génome, c’est à dire sur l’information génétique d’un organisme contenu dans chacune de ses cellules, inclus dans une macromolécule (ADN : acide désoxyribonucléique) présente dans tous les noyaux cellulaires pour assurer le développement, le fonctionnement et la reproduction des êtres vivants.

Pour qu’une cellule puisse se répliquer il faut que cet ADN soit dupliquer de façon à ce que la nouvelle cellule détienne à son tour l’ensemble des éléments du génome. Le rôle de l’ARN messager est de copier une protéine dans l’ADN source, la transporter vers la cellule en cours de réplication au sein de laquelle cellule cible la copie de protéine servira à l’édification des acides aminés, lesquels se recomposeront pour former une nouvelle chaîne moléculaire d’ADN comportant l’ensemble des informations génétiques. Une nouvelle cellule comportant le génome sera « née ».

« La nouvelle technique proposée met en œuvre un ARNm par injection dans l’organisme de brins d’instructions génétiques qui vont intervenir dans le système de réplication de l’ADN. En clair le vaccin va intervenir sur le génome de la personne l’ayant reçu. » (source : solidarités-santé.gouv.fr)

Cette nouvelle technologie va donc intervenir directement sur le processus d’édification de la vie ! 

Certes la thérapie génique n’est pas une invention du 21è siècle. Si l’on en croit l’INSERM environ 2000 essais cliniques ont été menés depuis 1989 dans divers domaines (cancer, hémophilie, mucoviscidose et autres maladies infectieuses, cardiovasculaires, neurologiques, ophtalmologiques). A ce jour si la thérapie génique permet de produire et de traiter quelques pathologies (11 médicaments sur le marché actuellement), il n’en reste pas moins qu’ils sont l’aboutissement de nombreuses années de recherche comme le précise le site  solidarités-santé.gouv.fr

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Le développement du médicament 

publié le13.06.16 mise à jour27.09.16

Une quinzaine d’années s’écoulent en général entre la validation d’une hypothèse scientifique et la commercialisation d’un nouveau médicament.

Après l’identification d’une nouvelle cible thérapeutique, c’est-à-dire en général un mécanisme essentiel à la survenue d’une maladie, des milliers de molécules susceptibles de présenter un intérêt thérapeutique sont sélectionnées.

Certaines sont retenues en phase dite préclinique et sont testées en laboratoire afin d’évaluer leurs principaux effets et leur toxicité.

Après ces études en laboratoire viennent les phases d’essais cliniques impliquant la participation de personnes volontaires.

Les essais cliniques

Il existe quatre phases d’évaluation distinctes les unes des autres et successives, dont chacune donne lieu à un essai clinique différent.

Phase I  : étude de l’évolution de la molécule testée dans l’organisme en fonction du temps (cinétique) et analyse de la toxicité sur l’être humain. Cette phase est menée sur un petit nombre de personnes volontaires et non malades (volontaires sains) ;

Phase II : administration du médicament à un petit nombre de patients pour rechercher la plus petite dose efficace et observer des effets secondaires nocifs en utilisant différentes doses ;

Phase III  : comparaison de l’efficacité du nouveau médicament par rapport au traitement de référence (lorsque celui-ci existe) et/ou à un placebo (lorsqu’aucun traitement n’existe). Cette phase s’adresse à un grand nombre de patients et dure plusieurs années. Les patients sont sélectionnés sur des critères précis qui permettront de répondre à la question de l’efficacité et du bénéfice du médicament testé comme nouveau traitement standard de la maladie concernée. Les essais de phase III permettent également d’identifier les risques potentiels du nouveau médicament.
Durant cette phase, se déroulent également des essais relatifs au développement industriel et au mode d’administration et de conditionnement (gélules, comprimés, sirop…).

Phase IV : les essais sont réalisés une fois le médicament commercialisé. Ils permettent d’approfondir la connaissance du médicament dans les conditions réelles d’utilisation et d’évaluer à grande échelle et sur le long terme sa tolérance.

Les essais cliniques nécessitent un avis favorable du Comité de protection des personnes (C.P.P.) et une autorisation délivrée par l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM).
En savoir plus sur l’autorisation des essais cliniques

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Apparu fin 2019, le SARS-CoV-2 va être terrassé par des vaccins rapidement mis au point alors que les différentes phases de production sont supposées durer des années ! Qui plus est par un processus intervenant directement sur le fonctionnement du corps humain ?

Comment expliquer cette frénésie autour de ce virus et de cette pathologie ? Pour quelles raisons autant d’investissements en catastrophe dans la recherche d’un vaccin ? Pour quelles raisons le gouvernement a-t-il mis tant de pression sur la population ? Sur l’économie? Fermetures des usines, des écoles, des universités, des commerces des lieux de loisirs…..Premier confinement, les forces de l’ordre sont mobilisées pour contrôler tout citoyen qui n’a droit qu’à une heure de sortie quotidienne à un kilomètre maximum de son domicile, sauf les zones de non-droit où le trafic de drogues, la prostitution, le mépris de la loi républicaine font rage.

Et de pleuvoir les 135 € d’amendes, parfois totalement injustifiées telle celle infligée à une dame âgée promenant son chien à 300 mètres de son lieu de résidence au motif : non-respect du code de santé publique ! L’arrêté municipal et le décret préfectoral sur lequel s’appuyait cette personne pour promener son animal de compagnie semblaient inconnus de l’agent ayant verbalisé. Un PV doit impérativement mentionner précisément le texte de loi s’appliquant dans le cadre d’une infraction. 

L’Union Européenne a commandé avant même qu’ils n’existent et soient testés des vaccins pour des dizaines de millions d’€ ! Où se situe la démocratie ? Qu’en est-il de la souveraineté de notre pays ? Pas de masques, pas de tests : totalement inutiles ! Puis changement brutal de politique : masques obligatoires même pour des mômes de 6 ans, tests à outrance…. Quel drôle de jeu !

Second confinement, discours stressants, informations contradictoires sur les masques et les tests, statistiques basées sur on ne sait quelles données réelles, instauration d’un climat de peur, voire parfois de terreur avec des annonces de plusieurs centaines de milliers de morts (discours du président Macron le 28 octobre dernier), des comptages de patients en réanimation reflétant plus que la réalité (9500 annoncés, moins de 5000 en réalité), des imputations de décès liées sans fondement au COVID (cf. question du député J.L. DOOR du Loiret au ministre de la santé, Olivier Veran dans le cadre de la commission d’enquête parlementaire « Impact, gestion et conséquences dans toutes ses dimensions de l’épidémie de Coronavirus-Covid 19 »).

Le tout relayé par des médias dénués de toutes objectivité, présentant sur leurs plateaux ou à leurs micros encore et toujours les mêmes spécialistes quand d’éminents infectiologues, virologues, généticiens … hyper compétents ne sont jamais entendus.

Le peuple n’est pas qu’un imbécile, il aimerait entendre les VRAIS spécialistes et assister à des débats publics. Chaque français décidera en son âme et conscience du chemin qu’il entend suivre. Les français ne sont pas des ovins bêlants et vous n’êtes pas les bergers d’un troupeau d’abrutis à faire avancer coûte que coûte en lâchant des forces de l’ordre casquées et armées capables de réprimer des manifestations de pompiers, de soignants, de simples citoyens écrasés de taxes, surtaxes et autres impôts pendant que des casseurs agissent en toute impunité en marge de ces manifestations et des individus en situation irrégulière dans notre pays défilent librement en pleine période de confinement.

Le citoyen honnête se voit contraint de présenter une attestation et porter un masque dûment positionné sur le visage pendant qu’un préfet explique que des dealers et acheteurs de drogues de son département ont été contrôlés sans attestation de déplacement, pendant le reconfinement. (Quotidien Midi Libre du 14 novembre 2020). Masque et attestation de sortie obligatoires, trafic de drogue autorisé !!!

Que ce soient les textes fondateurs de la République, les 75 codes gestionnaires de la vie publique, les lois, les décrets, les arrêtés et autres textes officiels, que nenni, nulle mention de cela.

Le vaccin encore le vaccin, à toute heure du jour et de la nuit sur tous les médias …. Il n’y a plus d’autres évènements importants dans notre pays ! Et, à en croire ces journalistes, il n’y a pas d’autres préoccupations à avoir. Les commerces se meurent, les entreprises peinent à s’extraire du marasme économique dans lequel la gestion de la crise sanitaire les a plongé, le nombre de chômeurs va exploser. Que vont devenir commerçants, artisans, professions libérales, la manne fiscale de l’État, quand ils n’auront plus d’activité ? Qu’en est-il de l’immigration sauvage et incontrôlée ? Qu’en est-il de l’insécurité grandissante partout en France ? Qu’en est-il de tous ces actes de christianophobie ?  Qu’en est-il de ces zones où médecins, pompiers, forces de l’ordre n’ont pas la possibilité d’accéder ? 

Il y a matière à se poser des questions sur la manière dont sont considérés les citoyens français.

Mis à part le « machin » anti SARS-Cov2 qu’en est-il de l’état de la France ? Quel est le but poursuivi ? Où allons-nous ? Où voulez vous nous emmener ?

Enrichir l’État, soulager le contribuable

La solution de facilité des « élites » gouvernant la France consiste à inventer de nouvelles façons de faire payer le contribuable en créant de nouveaux mots pour masquer le terme « impôts » (taxe, surtaxe, contribution, charge, levée, redevance, congé…). Ne serait-il pas temps que ces grands seigneurs de la pensée se penchent sur l’énoncé du problème et, de par leur science, élaborent des solutions intelligentes en vue de dénicher d’autres sources de financement des besoins de l’État.

Ayant fait de grandes études, usés leurs fonds de culotte sur les bancs des plus grandes écoles, n’est-ce pas une preuve, sinon d’intelligence, au moins de capacité à la réflexion et à la résolution de problèmes complexes ?

La réindustrialisation du pays, le développement des infrastructures portuaires et des prolongements par les axes routiers, fluviaux, ferroviaires compte-tenu de l’importance de notre façade maritime et de nos ports semblent être des sujets intéressants à explorer. Tout comme la modernisation de la législation du travail et de la mise en relation de l’offre et la demande en matière d’emploi basée sur l’adaptation au monde moderne. Pour quelles raisons ne s’y attachent-ils pas ?

D’autres pistes à explorer pour ces « élites » en matière de ressources financières pour l’État : 

– lutte contre la fraude aux prestations sociales

– lutte contre la fraude fiscale

– analyse des potentialités d’économie dues aux dépenses inutiles des entités de la fonction publique

– suppression de contributions diverses et variées telles celles versées aux médias (détenus pour la plupart par des milliardaires!), aux syndicats qui devraient être capables de subvenir à leurs propres besoins en jouant une rôle de syndicat et hors de toute action politique, à la plupart des associations qui n’ont pas vraiment d’intérêt pour le bien public, à ces nombreuses commissions crées bien souvent pour recaser un politique en mal de siège dans une quelconque assemblée …

La liste est longue et certainement très enrichissante pour l’État. Qui plus ce serait aussi une source d’allègement de la pression fiscale sur le contribuable.

Par exemple, la fraude aux prestations sociales.

À la demande de la commission des affaires sociales du Sénat, la Cour des Comptes a réalisé une enquête sur la lutte contre les fraudes aux prestations sociales, qui représentent à la fois une atteinte au principe de solidarité et un coût financier élevé.


En 2019, les principaux organismes sociaux ont détecté 1 Md€ (1 000 000 000 €) de préjudices à ce titre. Grâce à la professionnalisation croissante de cette activité, les résultats financiers de la lutte contre les fraudes augmentent année après année. Toutefois, en l’absence d’estimation du montant des fraudes pour la plupart des prestations, la portée des progrès réalisés ne peut être appréciée et l’impact des contrôles réalisés demeure faible.


La lutte contre les fraudes se concentre sur la recherche a posteriori des irrégularités, alors que celles-ci pourraient souvent être empêchées a priori, dès la gestion courante des prestations. Un changement d’échelle apparaît indispensable pour tarir les possibilités systémiques de fraude, mieux détecter les fraudes commises et sanctionner plus efficacement leurs auteurs sur le plan financier.

En 2019, les principaux organismes sociaux ont détecté 1 Md€ ( 1 000 000 000 €) de préjudices subis ou évités au titre de fraudes avérées ou suspectées. Ce montant connaît une augmentation continue.

Les fraudes détectées se concentrent sur le revenu de solidarité active, la prime d’activité et les aides au logement pour les caisses d’allocations familiales (CAF) ; les professionnels de santé et les établissements de santé pour les caisses primaires d’assurance maladie ; le minimum vieillesse pour les caisses de retraite ; les reprises d’activité non déclarées pour Pôle emploi.

Ces progrès s’expliquent par des moyens humains globalement préservés (près de 4 000 agents affectés à la réalisation de contrôles), une efficacité croissante des contrôles a posteriori des organismes sociaux et l’étendue des moyens d’investigation qui leur sont accordés.

L’impact des contrôles est mal mesuré et reste faible.

Seule la branche famille estime le montant des fraudes qu’elle subit (2,3 Md€ en 2018), mais celles effectivement détectées par les CAF en représentent une faible part (13 %). L’assurance maladie et la branche vieillesse, quant à elles, n’estiment pas le montant des fraudes, si bien qu’il est impossible d’apprécier l’impact réel de leurs contrôles. De son côté, Pôle emploi s’est engagé à procéder à une estimation périodique.


Plus globalement, en prenant compte à la fois les erreurs et les fraudes, les organismes sociaux perdent en tout état de cause des sommes importantes. En 2018, les CAF ont versé à tort, de manière définitive, environ 3 Md€, soit 4,5 % du montant total des prestations. Pour 2019, l’assurance maladie estime à 1 Md€ le montant des factures irrégulières réglées aux professionnels et aux établissements de santé, mais ce montant ne comprend pas les séjours dans les établissements de santé publics et privés non lucratifs. Il est donc nettement sous-estimé.

Ces pertes élevées démontrent que les contrôles ne sont pas suffisamment nombreux au regard de l’ampleur des risques de fraudes et d’erreurs.

Un changement d’échelle s’avère indispensable. Le principal enjeu est de tarir les possibilités systémiques de fraude, en passant d’un nombre réduit de contrôles a posteriori à une démarche de sécurisation systématique a priori de la gestion des droits et des prestations sociales, qui repose sur un système déclaratif trop ouvert dont le resserrement est nécessaire.

Ce resserrement devrait concerner notamment les comptes bancaires sur lesquels sont versés les prestations, la conformité des facturations des professionnels et des établissements de santé à la réglementation et aux prescriptions médicales, les assiettes salariales des droits sociaux déclarées par les employeurs, les montants de ressources et les situations professionnelles déclarées par les bénéficiaires des prestations, les logements supportant des aides et les cartes Vitale. Un accent particulier devrait être mis sur l’objectivation et la résorption de l’important surnombre de bénéficiaires de droits ouverts – exercés ou non – à des prises en charge de frais de santé par l’assurance maladie.

La recherche et la sanction des fraudes doivent aussi faire l’objet de progrès.

La Cour formule 15 recommandations visant notamment à :

  • apprécier l’ampleur de la fraude aux prestations et les résultats obtenus, pour objectiver les progrès réalisés et mettre en œuvre les mesures adéquates ;
  • tarir les possibilités systémiques de fraude : circonscrire les usurpations d’identité, fiabiliser les données servant à établir les prestations et gérer de manière plus rigoureuse les droits et les prestations d’assurance maladie ;
  • mieux prévenir, intensifier et faciliter la recherche de fraudes, en développant les contrôles sur place, les plus poussés, en étendant la mutualisation des informations entre organismes sociaux et avec les administrations de l’État et en créant une unité transversale pour mieux lutter contre les fraudes sophistiquées ou en bande organisée ;
  • sanctionner plus efficacement les fraudes sur le plan financier, notamment pour l’assurance maladie, en recouvrant plus efficacement les sommes liées à des fraudes détectées, et en recourant davantage, en fonction de la gravité des faits, au déconventionnement des professionnels de santé.

Les compétences de nos « élites » pour élaborer des solutions ne font aucun doute, encore faudrait-il qu’ils en prennent le temps et s’y intéressent enfin !

Gérard Emile

France confinée, virus en voyage

Samedi 28 Novembre 2020 : 12.30 h ! Une vue de l’espace aérien pendant que nous sommes contraints de nous terrer chez nous. On a un petit peu l’impression d’être tout simplement pris pour des cons ! Tous ces avions vont certainement atterrir et débarquer des milliers de passagers venant d’ici et d’ailleurs, voire même peut-être de là-bas, du pays voisin ou du bout du monde.

Ont-ils songer à mettre un panneau « Interdit d’accès au virus » dans les zones de débarquement ?

Source : http://www.flightradar24.com

La tribune REINFO (2)

Pour quelles raisons devrions nous écouter toujours les mêmes intervenants sur les chaînes de télé ou s’exprimant sur les ondes ? Qui détient la Vérité ? L’information doit-elle être l’exclusivité de certains ? Des gens compétents s’expriment ailleurs que dans les médias « mainstream », écoutons-les et faisons-nous notre propre opinion avec Alexandra Henrion Caude, le Dr Olivier Soulier, le Dr Laurent Montesino, le Dr Michel Procureur, le collectif Les citoyens en alerte.

Source : http://www.mondialisation.ca