Chacun est libre de s’empoisonner s’il le souhaite, le cas échéant suivez les indications de la Commission Européenne qui vous incite à « bouffer » des insectes.
Les plus jeunes athlètes du Canada, âgés de 6 à 13 ans, meurent subitement : les mandats de vaccination contre la COVID-19 pour les enfants qui font du sport est un crime…
Les politiciens canadiens, les responsables de la santé publique et les dirigeants de la santé ont commis de nombreux crimes graves pendant la pandémie de COVID-19, mais l’un des plus odieux a été la vaccination obligatoire à l’ARNm COVID-19 d’enfants athlètes en bonne santé en 2021-2022 afin qu’ils puissent continuer à faire du sport. Voici quelques-uns des plus jeunes athlètes du Canada qui sont morts subitement au cours des 3 derniers mois.
Les vaccins COVID-19 sont interdits pour les enfants de moins de 18 ans dans les pays scandinaves.
Note : le document ci-dessous peut-être consulté dans son intégralité sans le télécharger en le faisant défiler vers le bas.
Hausse des arrivées irrégulières et difficultés liées au retour des migrants
En 2022, Frontex, l’Agence européenne de garde-frontières et de gardes-côtes, a signalé 330 000 entrées irrégulières sur le territoire de l’Union européenne. En augmentation de 64% par rapport à 2021, ce chiffre est le plus élevé depuis 2016. Parallèlement, 924 000 demandes d’asile ont été introduites dans l’ensemble de l’UE.
« On n’en est pas à la guerre mondiale, mais le potentiel existe« , s’inquiète Jean-Pierre Raffarin
Si vous, parlementaires commençaient à prendre conscience au bout d’un an de conflit ouvert sans oublier les 8 années d’abandon des Ukrainiens du Donbass avec la complicité de Hollande (et Merkel), qu’attendez-vous pour protester contre le va-t-en guerre Macron allègre dilapidateur de nos armements et de nos impôts, soutien indéfectible du clown-président ukrainien, marionnette au service des Etats-Unis ?
Posez la question aux Français : « Doit-on faire la guerre à la Russie ? », la réponse est simple à deviner !
En avril 2022 vous avez mis un bulletin dans l’urne et, forts d’une sagesse que vous pensiez acquise avec l’âge, l’actuel locataire de l’Elysée eut votre préférence. Voter pour l’extrême-droite représentait à vos yeux le retour des nazis, des exterminations en masse, la division Das Reich et tous les villages de France et de Navarre transformés en Oradour-sur-Glane, etc …
Prenez conscience qu’il n’y a plus d’extrême droite en France. Ce que les médias subventionnés vous présentent comme tel, ce ne sont que des citoyens attachés à leur pays, à sa langue, à sa civilisation et partisans du souverainisme et de l’indépendance par rapport à des Etats ou des institutions qui veulent nous dominer.
Seule subsiste une extrême gauche ultra-violente qui le montre bien dans les manifestations de Français pacifiques qui se désespèrent de la dégradation que subit notre pays.
Ces médias ne font que vomir un « politiquement correct » et tentent de vous inculquer une « bien-pensance » imposée par une fausse doxologie ne reflétant en rien la pensée populaire dominante mais qu’ils se doivent de diffuser parce que, bien qu’étant la propriété de milliardaires, ils sont abreuvés de subventions prélevées sur nos impôts parce incapables de survivre par la seule qualité de leur travail. Vous comprendrez dès lors qu’en toute logique ils ne peuvent qu’abonder dans le sens du maître. Comme dit le proverbe « un chien ne mord pas la main de celui qui le nourrit ».
Depuis avril 1969, la France glisse dans la décadence et l’après-Chirac a vu arriver les pires présidents que la Vè république est connu (1). Incompétence, intérêts personnels, soumission à la finance anglo-saxonne nous entraînent délibérément dans un marasme économique pour répondre aux exigences d’une infime minorité de grandes fortunes soucieuses de remodeler le monde occidental pour le maintenir sous sa coupe et dont la vision du futur est basée sur des calculs de rentabilité et de maximisation de ses profits au détriment de la Vie humaine (2).
Quel Français doté d’intelligence pense que faire la guerre à la Russie est nécessaire ? Dans quel but ? La France doit s’extraire de ce piège tendu par les Américains pour maintenir le monde sous sa domination. Macron nous impose la soumission à la finance internationale, aujourd’hui aux abois en constatant la dégradation de son hégémonie.
Obéir à la déstructuration de la France en appauvrissant le peuple pour abaisser le niveau de vie de la classe moyenne, celle-là même à laquelle nous appartenons, c’est accepter une immigration massive volontairement incontrôlée pour favoriser un grand « mélange » combinée à l’appauvrissement de la classe moyenne qui est la notre (3). C’est accepter ces pénuries d’énergie, de médicaments, de produits alimentaires bien organisées. C’est accepter la destruction de notre système de santé, de notre système éducatif, de nos services publics …
C’est accepter de faire de notre pays un Etat du Tiers-monde.
Tout ceux qui ont voté Macron et les parlementaires acquis à sa cause se sont faits les complices d’un pouvoir politique qui entend nous imposer une complète soumission aux ordres d’un vieux cow-boy sénile, lui-même marionnette d’une puissance financière qui veut nous asservir.
L’OTAN et l’UE ne sont que des instruments mis en place par les Etats-Unis pour arriver à leurs fins. Pour sauver la France et l’avenir de nos enfants et petits-enfants nous avons le devoir de réagir sans violence mais avec détermination.
Vous avez des idées, des suggestions, des avis …. soumettez les à : laplumeducitoyen@gmail.com
Nombre d’entre ceux qui liront ces quelques lignes objecteront que leur âge et leur désintérêt de la politique les en empêchent. Excuse non opposable car il ne s’agit que du refus de sortir d‘un quotidien cotonneuxcorroborant une dose conséquente d‘égoïsme dans lequel ils se vautrent indifférents à l’avenir de leur progéniture.
Comprennent-ils enfin que l’Américain roule exclusivement pour son compte et ne se préoccupe pas du reste du monde qu’il n’hésite à piétiner allègrement pour maintenir son hégémonie et maximiser ses profits.
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ENTRETIEN. Alors que les États-Unis ont mis en œuvre un plan ambitieux de 400 milliards de dollars pour décarboner leur économie, l’Inflation Reduction Act (IRA), la question de la réindustrialisation européenne est sur toutes les lèvres. Pour EURACTIV France, le ministre de l’Industrie Roland Lescure expose les priorités françaises et européennes pour préparer au mieux cette « nouvelle révolution industrielle ».
Ils vont peut-être se rendre compte que l’Ukraine n’est qu’un prétexte pour que les USA vendent la production de leurcomplexe militaro-industriel et qu’entraîner l’UE dans une guerre avec la Russie ne servira que leurs intérêts. Nous n’avons pas à nous sacrifier pour satisfaire ces individus qui n’ont que pour seule vision du monde la domination absolue de l’US $ ?
L’OTAN est, avec cette UE manipulée par une Allemagne toute acquise à l’Oncle Sam, un instrument de destruction des nations européennes.
Anglo-saxons et Allemands ne sont pas nos amis (*), l’Histoire l’a prouvé.
Musk vs. Schwab au Sommet mondial des gouvernements : deux visions concurrentes de l’avenir
Le milliardaire Elon Musk et le président du Forum économique mondial (WEF), Klaus Schwab, se sont affrontés cette semaine en présentant des visions concurrentes de l’avenir lors du World Government Summit de cette année, une réunion de type WEF consacrée à façonner l’avenir des gouvernements dans le monde.
Le milliardaire Elon Musk et le président du Forum économique mondial (WEF) Klaus Schwab se sont affrontés cette semaine, présentant des visions concurrentes de l’avenir lors du Sommet mondial des gouvernements (WGS) de cette année.
Organisé du 13 au 15 février à Dubaï sous le slogan “Shaping Future Governments” (façonner les gouvernements de demain), le WGS a réuni des personnalités éminentes de la politique, des affaires et de la gouvernance mondiale dans un format similaire à celui de la récente réunion annuelle du WEF.
Le WGS seprésente comme “une plateforme mondiale d’échange de connaissances qui se consacre à façonner l’avenir du gouvernement dans le monde entier”.
Musk, Schwab et d’autres dirigeants ont débattu d’espoirs et de préoccupations contradictoires pour l’avenir. Le WGS lui-même a également prédit à quoi ressemblera le monde en 2071, dans le cadre de son initiative “Le gouvernement en 2071“.
Ces projections prévoient, comme “meilleur scénario” pour 2071, un avenir dystopique caractérisé par un changement climatique catastrophique, des migrations massives, des licenciements massifs dus à l’automatisation, les troubles sociaux qui s’ensuivront et la fusion de l’homme et de la technologie.
Musk : L’IA et le gouvernement mondial unique constituent des menaces pour l’humanité.
“L’un des plus grands risques pour l’avenir de la civilisation est l’IA”, a déclaré Musk aux participants du WGS. “Mais l’IA est à la fois positive ou négative – elle est très prometteuse, a de grandes capacités mais aussi, avec cela, de grands dangers.”
Il a commenté ChatGPT, l’outil d’IA de plus en plus populaire développé par OpenAI. Musk a cofondé OpenAI avec Peter Thiel, ancien associé de PayPal, mais a depuis quitté son conseil d’administration, selon le New York Post.
“ChatGPT, je pense, a illustré aux gens à quel point l’IA est devenue avancée. L’IA est avancée depuis un certain temps ; elle n’avait simplement pas d’interface utilisateur accessible à la plupart des gens”, a déclaré Musk.
“Ce que ChatGPT a fait, c’est simplement mettre une interface utilisateur accessible sur une technologie d’IA qui est présente depuis quelques années”, a-t-il ajouté.
Musk a appelé les gouvernements à élaborer des règles de sécurité pour l’IA, comparant son essor au développement de la technologie nucléaire.
“Regardez, disons, la découverte de la physique nucléaire. Vous aviez la production d’énergie nucléaire, mais aussi les bombes nucléaires”, a déclaré Musk, ajoutant :
“Pour être franc, je pense que nous devons réglementer la sécurité de l’IA. Pensez à toute technologie qui présente un risque potentiel pour les personnes, comme les avions, les voitures ou les médicaments, nous avons des organismes de réglementation qui supervisent la sécurité publique des voitures, des avions et des médicaments.
“Je pense que nous devrions avoir un ensemble similaire de surveillance réglementaire pour l’intelligence artificielle, parce que je pense que c’est en fait un plus grand risque pour la société.”
Ce n’est pas la première fois que Musk fait de telles remarques sur l’IA. En mars 2022, Musk a déclaré que “l’intelligence artificielle qui tourne mal” est l’une des trois plus grandes menaces auxquelles l’humanité est confrontée, avec la baisse du taux de natalité et la montée de “l’extrémisme religieux.”
D’autres s’inquiètent de voir l’IA “déraper”, en affirmant que les préjugés sont intégrés dans la technologie. Le New York Post a rapporté, par exemple, que ChatGPT a refusé d’écrire un article sur Hunter Biden dans le style critique du journal, mais qu’il était prêt à écrire l’article du point de vue de CNN.
Business Insider affirme que les outils d’IA comme ChatGPT doivent être “woke” afin d’attirer les grands investisseurs.
Des investissements importants sont consacrés à ces technologies d’IA. Microsoft a annoncé le mois dernier qu’il investissait 10 milliards de dollars dans OpenAI, tandis que Google travaille sur un concurrent de ChatGPT connu sous le nom de “Bard“.
“Je sais que ce sommet s’appelle le Sommet des gouvernements mondiaux, mais je pense que nous devrions prendre garde de trop devenir un gouvernement mondial unique”, a-t-il déclaré. “Nous voulons éviter de créer un risque civilisationnel en ayant, franchement – cela peut paraître un peu bizarre – une trop grande coopération entre les gouvernements.”
Au lieu de cela, Musk a appelé au maintien de la “diversité civilisationnelle”. Il a dit :
“Je pense que nous voulons être un peu prudents sur le fait d’être trop d’une seule civilisation, parce que si nous sommes trop d’une seule civilisation, alors l’ensemble peut s’effondrer.
“Évidemment, je ne suggère pas la guerre ou quelque chose comme ça, mais je pense que nous voulons être un peu méfiants à l’égard d’une trop grande coopération. Cela semble un peu étrange, mais nous voulons avoir une certaine diversité civilisationnelle, de sorte que si quelque chose ne va pas dans une partie de la civilisation, l’ensemble ne s’effondre pas et l’humanité continue d’avancer.”
M. Musk a également donné un conseil aux dirigeants politiques et autres personnalités : parlez de votre propre voix.
“Je pense que les gens devraient s’exprimer de leur propre voix”, a-t-il déclaré. “J’encourage les PDG, les législateurs, à parler de manière authentique. Faites vous-même les tweets et transmettez votre message directement.”
Musk a tweeté qu’il avait choisi de faire ces remarques au WGS parce que cela “semblait être le bon endroit.”
Il a également fait allusion à ses projets pour Twitter, indiquant qu’il s’attend à trouver un PDG pour lui succéder “probablement vers la fin de cette année”.
“Je pense que je dois stabiliser l’organisation et m’assurer qu’elle est financièrement saine”, a-t-il déclaré. “Je pense que vers la fin de l’année, ce serait le bon moment pour trouver quelqu’un d’autre pour diriger la société.”
Schwab : La technologie peut aider l’élite à “être le maître du monde”.
Confirmant peut-être les craintes de Musk, Schwab a déclaré, dans son discours d’ouverture du WGS, que la maîtrise de technologies telles que l’IA peut aider l’élite mondiale à “être le maître du monde“.
“Nous n’en sommes qu’au début”, a-t-il déclaré. “Lorsque vous regardez la transformation technologique, elle se déroule généralement selon les termes d’une courbe en S. Et nous sommes juste maintenant où nous passons à la phase exponentielle.”
Cette phase, a déclaré M. Schwab, “exige que nous renforcions la coopération et que nous améliorions la coordination au niveau des gouvernements, des pays et des institutions afin de maintenir les cadres de la coopération internationale, qui se reflète à son tour dans les voies du développement global.”
M. Schwab a fait référence à la réunion annuelle du WEF qui vient de s’achever pour contextualiser ses propos, déclarant : “Nous avons discuté de notre capacité à nous adapter à ces défis mondiaux, à la lumière de diverses crises qui nécessitent de nouveaux mécanismes et des méthodes innovantes pour nous aider à atteindre un avenir meilleur et à servir les aspirations de l’humanité.”
Selon M. Schwab, les prochaines décennies seront marquées par des “transformations structurelles” majeures liées au changement climatique. Il a plaidé en faveur de la réalisation des objectifs de l’accord de Paris sur le climat et de l’atteinte du “zéro émission de carbone”.
Selon M. Schwab, les nouvelles technologies continueront à jouer un rôle essentiel dans ces transformations.
“Il y a quelques années, nous considérions que certaines technologies relevaient de la science-fiction et étaient difficiles à mettre en œuvre”, a déclaré M. Schwab. “Mais aujourd’hui, il est devenu une réalité que nous vivons grâce à l’intelligence artificielle, aux nouvelles technologies spatiales et à la biologie industrielle, ce qui annonce un changement majeur à venir au cours des 10 prochaines années, et exige des gouvernements qu’ils soient ambitieux dans leurs décisions.”
” L’intelligence artificielle, mais pas seulement, mais aussi le métavers, les technologies néo-spatiales, et je pourrais continuer encore longtemps… la biologie synthétique. Notre vie dans dix ans sera complètement différente, très affectée. Et celui qui maîtrisera ces technologies, d’une certaine manière, sera le maître du monde.”
Comme Musk, il a exprimé certaines inquiétudes, mais sa “profonde préoccupation” était que les nouvelles technologies comme l’IA puissent “échapper” au contrôle de l’élite mondiale.
“Ma profonde inquiétude [regarding] des technologies #4IR, est que si nous ne travaillons pas ensemble à l’échelle mondiale, si nous ne formulons pas, façonnons ensemble les politiques nécessaires, elles échapperont à notre pouvoir de maîtriser ces technologies”, a-t-il déclaré.
Ces mêmes élites doivent donc “élaborer les politiques nécessaires pour s’assurer que ces technologies servent l’humanité”.
C’est ainsi, selon M. Schwab, qu’ils pourront montrer au public, qui se sentira “dépassé par le changement” parce qu’il ne peut pas “comprendre vraiment ce qui se passe”, pourquoi “ces technologies peuvent être utiles”.
Les remarques de Schwab au WGS sur la manière dont les nouvelles technologies peuvent aider l’élite mondiale à “être le maître du monde” reflètent étroitement ses déclarations lors de la réunion du WEF de cette année, où il a expliqué ce que signifie “maîtriser l’avenir“.
Tedros : le COVID “ne sera pas la dernière pandémie”.
Le directeur général de l’OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus, a également pris la parole lors de la réunion du Groupe de travail, déclarant que COVID-19 “ne sera malheureusement pas la dernière pandémie ou la principale urgence sanitaire”.
Il a ajouté :
“D’autres menaces, comme le changement climatique, continueront à augmenter en fréquence et en intensité.
“Nous devons à ceux que nous avons perdus et à ceux qui viendront après nous de tirer les leçons et d’apporter les changements qui devraient permettre au monde de rester plus sûr.”
“Les conflits font rage, la pauvreté et la faim augmentent, les divisions s’accentuent et l’urgence climatique ne cesse de s’aggraver”, a-t-il déclaré. “Nous avons le devoir d’agir. Nous devons forger une voie vers une plus grande coopération, ancrée dans la solidarité.”
Pour ce faire, il a dit :
“Nous devons éviter d’élaborer des politiques à court terme qui retardent la réalisation des grands défis auxquels nous sommes confrontés et qui, en fin de compte, les rendent encore plus difficiles à relever. Nous devons renforcer la gouvernance mondiale et revigorer le multilatéralisme pour le XXIe siècle. Et nous devons agir à la vitesse et à l’échelle qu’exige notre époque en pleine mutation.
“Cela s’applique à tous les défis auxquels nous sommes confrontés – de la lutte contre la catastrophe climatique et la promotion du développement durable, à l’instauration de la paix et à la sauvegarde des droits de l’homme, y compris les droits des générations futures. … L’action des gouvernements est essentielle, mais pas suffisante.”
“Nous avons besoin que chacun – dans le secteur privé, la société civile et au-delà – travaille ensemble pour le bien commun”, a ajouté M. Guterres. “C’est notre programme commun.”
Arturo Bris, du World Competitiveness Center de l’IMD, qui s’est également exprimé lors du WGS, a déclaré qu’un “choc” était nécessaire pour stimuler la “transition” vers un nouvel “ordre mondial”.
Outre les discours des personnalités, la réunion du WGS a donné lieu à plusieurs forums, dont “SDGs[Sustainable Development Goals] in Action” (ODD Objectifs de développment durable en action), “Future by Design Global Forum”, “Future of Work Forum”, “Future of Education Forum”, “Food System Transformation Forum” et “Gathering of the Greatest Minds”.
Les travaux du WGS ont également été accompagnés de plusieurs rapports qui ont été publiés en complément de la réunion de cette année. PWC a rédigé l’un de ces rapports, suggérant que “les décideurs et les régulateurs devront apprendre des acteurs non traditionnels et non gouvernementaux qui ont déjà pris pied dans le métavers”.
Roberto Azevêdo, vice-président exécutif et directeur des affaires générales de PepsiCo et ancien directeur général de l’Organisation mondiale du commerce, a rédigé un rapport qui souligne “la nécessité pour le gouvernement et les entreprises de travailler en partenariat, tandis que les deux doivent mieux engager la volonté du peuple.”
“Ce partenariat doit rechercher des changements structurels qui visent des solutions à long terme, libres de la logique des cycles électoraux”, a fait valoir M. Azevêdo.
Toute cette classe politique, tous ces médecins des plateaux télé imbus de leur « savoir », tous ces journalistes vivant de subventions et autres tristes personnages irresponsables qui ont manipulé la population pour la soumettre aux exigences d’instauration d’un « nouveau monde » voulu par l’oligarchie financière anglo-saxonne devraient lire l’article du « Lancet » évoquant l’immunité naturelleet réfléchir aux conséquences de leur incompétence manifeste et de l’immense irresponsabilité qu’ils portentdans la gestion de la crise Covid soigneusement préparée pour une gigantesque opération de manipulation psychologique des populations.
Les confinements inutiles ont été dévastateurs sur un plan psychique au sein des populations leur ayant béatement accordé leur confiance. L’imposition d’une obligation vaccinale à certaines catégories de personnels et insidieusement « infligée » à des personnes peu conscientes des risques encourus en sachant pertinemment qu’il s’agissait d’une expérimentation clinique d’une substance de thérapie génique dont on connaît la nocivité aujourd’hui est un véritable scandale.
Finalement la revue The Lancet admet que l’immunité naturelle est supérieure à celle produite par les vaccins Covid à ARNmessager!
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« » »L’immunité acquise lors d’une infection antérieure au COVID-19 offre une protection solide et durable contre les conséquences graves de la maladie à un niveau « équivalent sinon supérieur » à celui fourni par les vaccins à ARNm, selon une étude publiée récemment dans The Lancet.
Les chercheurs ont mené une revue systématique et une méta-analyse de 65 études dans le monde, fournissant des preuves accablantes pour étayer ce que de nombreux scientifiques, médecins et études déclaraient depuis le début de la pandémie de COVID-19 que The Lancet reconnaît enfin » l’immunité naturelle offre une protection supérieure aux vaccins expérimentaux ».
« Seul le tsunami de propagande et de censure du cartel de la biosécurité pharmaceutique/gouvernementale et des médias contrôlés a persuadé le public que Pfizer et Moderna étaient La solution pour protéger le système immunitaire humain que Dieu et l’évolution », (Robert F. Kennedy, Jr., président et avocat en chef des litiges pour Children’s Health Defence).
L’étude a révélé que l’immunité acquise par l’infection était souvent supérieure et diminuait plus lentement que l’immunité de deux doses d’un vaccin à ARNm. Les chercheurs ont montré que l’immunité naturelle était efficace à au moins 88,9 % contre les maladies graves, les hospitalisations et les décès pour toutes les variantes du COVID-19, 10 mois après l’infection. Il a également été démontré que cela fourni une protection de 78,6 % contre la réinfection pour tous les variants à l’exception de l’omicron BA.1, pour lequel la protection était de 45,3 %.
Lors d’une réunion en octobre 2022 du comité consultatif sur les pratiques de vaccination des CDC (Centers for Disease Control and Prevention du Ministère de la santé US), celui-ci a présenté des données montrant que l’immunité acquise par le vaccin après deux ou trois injections est de zéro six mois après l’injection, puis devient négative.
L’étude du Lancet a montré que « bien que la protection contre la réinfection de toutes les variantes diminue avec le temps, notre analyse des données disponibles suggère que le niveau de protection offert par une infection antérieure est au moins aussi élevé, sinon supérieur, à celui fourni par la vaccination à deux doses » en utilisant des vaccins à ARNm de haute qualité (Moderna et Pfizer-BioNTech).
L’étude a été financée en partie par la Fondation Bill et Melinda Gates. Parmi les auteurs figuraient le Dr Christopher Murray, directeur de l’Institute for Health Metrics and Evaluation, l’institut financé par Gates celui-là même qui était « en grande partie responsable des calculs de mortalité notoirement exagérés lesquels ont largement surestimé les décès par COVID (20 faux décès pour 1 réel) au début de la pandémie ».
Les auteurs ont fait valoir, sur la base de leurs conclusions, que l’immunité naturelle devrait être reconnue avec les vaccins lorsque les autorités envisagent de restreindre les voyages, l’accès aux lieux et le travail en fonction du statut vaccinal.
Commentant ces conclusions, le Dr Meryl Nass, spécialiste en médecine interne et épidémiologiste, a déclaré :
« Tout en présentant cela comme une reconnaissance que l’immunité naturelle confère une protection, ce qu’elle fait également, c’est de fournir un accord tacite sur le fait que les politiques imposées par le gouvernement restreignant les voyages sont acceptables. Il fournit en outre une approbation tacite des passeports vaccinaux ».
La guerre du « cartel » contre l’immunité naturelle
En octobre 2020, The Lancet avait publié un article – « Consensus scientifique sur la pandémie de COVID-19 : nous devons agir maintenant » – par des auteurs dont la directrice du CDC Rochelle Walensky, qui a été largement couvert par la presse grand public. Ils avaient alors déclaré qu' »il n’y a aucune preuve d’une immunité protectrice durable contre le SRAS-CoV-2 après une infection naturelle » et que « la conséquence d’une immunité décroissante présenterait un risque pour les populations vulnérables dans un avenir indéfini ».
Mais en novembre 2021, une demande de la Freedom of Information Act (FOIA) a forcé le CDC à admettre qu’il n’avait même pas collecté de données sur l’immunité naturelle.
Puis, en janvier 2022, le CDC a été contraint de réviser sa position sur l’immunité naturelle envers le Covid-19, reconnaissant dans un rapport que celle-ci était au moins trois fois plus efficace que la vaccination pour empêcher les personnes d’être infectées par la variante Delta.
Les sociétés pharmaceutiques étaient également conscientes des avantages de l’immunité acquise naturellement, bien qu’elles n’aient pas fait état de cette information, comme l’ont révélé un certain nombre de documents.
En octobre 2021, Project Veritas a dévoilé les affirmations de 3 responsables de Pfizer précisant que les anticorps offraient une protection égale, voire meilleure, contre le virus par rapport au vaccin (The Defender).
Plus tard, en avril 2022, des documents de Pfizer détenus par la Food and Drug Administration (FDA) américaine et publiés sur ordonnance d’un tribunal ont confirmé que Pfizer était conscient que l’immunité naturelle était aussi efficace que son vaccin COVID-19 pour prévenir les maladies graves (Kim Iversen, journaliste).
Plus récemment, des fichiers de Twitter ont permis de révéler le fait qu’un membre du conseil d’administration de Pfizer et dirigeant de la FDA avait fait pression sur le réseau social pour réagir contre un message soulignant avec précision que l’immunité naturelle est supérieure à la vaccination contre le COVID-19 (Epoch Times).
Les demandes de la FOIA ont également révélé que le Dr Anthony Fauci et son patron, le directeur des Instituts nationaux de la santé, Francis Collins, se sont entendus pour supprimer la Déclaration de Great Barrington, qui soutient que l’immunité naturelle joue un rôle important dans l’atténuation des dommages publics causés par le COVID-19 (The Defender).
Les vaccins échouant ils deviennent, par conséquent, inutiles
Les médias qui ont rendu compte de l’étude, y compris NBC, ABC et U.S. News & World Report, continuent de plaider en faveur de la vaccination comme le moyen le plus important de se protéger contre les maladies graves et les décès dus au COVID-19. Ceci à l’encontre même des défenseurs des vaccins, Bill Gates et Fauci, aient admis que les vaccins COVID-19 ne sont pas vraiment efficaces.
Dans un article publié le mois dernier dans Cell Host and Microbe, Fauci et ses co-auteurs ont confirmé que les virus respiratoires à prédominance muqueuse, y compris la grippe, les coronavirus, le virus respiratoire syncytial, ou VRS, et le rhume « n’ont pas été à ce jour efficacement contrôlés par vaccins homologués ou expérimentaux.
Ils ont conclu que « des vaccins durablement protecteurs contre les virus respiratoires muqueux non systémiques avec des taux de mortalité élevés ont jusqu’à présent échappé aux efforts de développement de vaccins ».
Le Dr Nass a déclaré que, si pour The Lancet il est important de publier ces éléments sur l’immunité naturelle, il n’en reste pas moins vrai que le but des auteurs de l’article, tel par exemple les aveux de Gates et Fauci, est destiné à effacer discrètement, sans même exprimer la moindre excuse, les vaccins COVID actuels, tout en impliquant le fait que plus d’argent est nécessaire pour développer de nouveaux types de vaccins. Personne n’a fait d’erreurs. Personne n’est à blâmer. Chris Murray ne s’est jamais trompé avec ses estimations farfelues. Non, contentez-vous de financer la Science et laissez la faire ! » » »
Publié en mars 2022, cet article reflète de plus en plus ce vers quoi la classe politique nous conduit.
Doit-on attendre sereinement l’arrivée de la catastrophe ou réagir vigoureusement à ce néo-esclavagisme que les Maîtres du $ veulent nous imposer avec la complicité d’une grande partie de ces politiques et autres carriéristes « simples petits kapos » aux ordres tels de bons petits toutous obéissants ?