Les technocrates-fonctionnaires européens de Bruxelles entendent nous faire avaler de l’insecte sous prétexte que cela représente un potentiel énorme pour la durabilité de l’UE.(1)
Quelles études scientifiques ont été menées pour démontrer que nous, occidentaux, sommes aptes à supporter ce genre d’alimentation qui fait peut-être le bonheur de certaines populations à l’autre bout du monde mais reste très éloigné de nos habitudes alimentaires.
Qui nous dit que demain quelqu’un, ne va pas décider de nous faire manger les chiens, les chats, les rats et autres bestioles sous prétexte que c’est bon pour la planète ?
Encore une bonne raison de fuir cette farce technocratique.
Quant à la cour des comptes française, elle pense nécessaire de réduire l’élevage bovin sous le fallacieux prétexte que les pets de vache contribuent pour une bonne partie au réchauffement climatique (2).
Nous sommes engagés malgré nous, sans concertation, sans informations précises, sérieuses scientifiquement basées sur des réalités dans un processus destructeur de notre culture civilisationnelle.
(1) Insectes dans l’alimentation humaine : un marché qui s’installe dans l’UE
(1) Les insectes, aliments au « potentiel énorme » pour les objectifs de durabilité de l’UE
(2) Recommandation n° 2. (MASA, 2023) : Définir et rendre publique une stratégie de réduction du cheptel bovin cohérente avec les objectifs climatiques du « Global Methane Pledge » signé par la France, en tenant compte des objectifs de santé publique, de souveraineté alimentaire et d’aménagement du territoire.