L’arnaque COVID

Nombreux sont les journalistes, médecins-abonnés des plateaux télé et autres figurants à la solde de Big Pharma à avoir tenté de nous faire avaler leurs mensonges au cours de cette pseudo-crise sanitaire soigneusement organisée et préparée pour créer une emprise psychologique sur les populations (*). Le monde unipolaire que veut nous imposer la finance anglo-saxonne nécessite une adhésion des peuples que ceux-ci refuseront dès qu’ils prendront conscience que cela fera d’eux des « néo-esclaves » privés de toutes les libertés.

Ces individus devraient être traduits devant un tribunal populaire composé de victimes de cette monstrueuse arnaque « covid » (**) et de l’injection illégale (notamment contraire aux Droits de l’Homme et du Citoyen et aux règles déontologique de la médecinede substances de thérapie génique pompeusement nommées vaccin pour tromper la population après l’avoir soigneusement préparée par une scandaleuse domination psychologique faite de confinements aussi stupides qu’inutiles, le vomissement de discours tous plus mensongers les uns que les autres, l’intervention télévisée spectaculaire d’un individu dénombrant l’air funèbre le nombre de morts qui n’existaient pas vraiment (sauf dans les EPHAD mais n’était-ce point calculé ?) sans oublier le glapissement du « Nous sommes en guerre ».

NOUS AUSSI SOMMES EN GUERRE !!!

contre un président de la République et une caste politico-administrative de ministres, parlementaires et autres administrateurs fonctionnaires de l’Etat qui oeuvrent contre les intérêts des Français et soumettent notre pays au diktat d’une mafia financière anglo-saxonne agissant sous couvert d’organisations internationales supposées réguler intelligemment le monde par le dialogue mais ne sont en fait que des instruments destinés à détruire toutes puissances populaires susceptibles d’entraver l’accroissement de ses profits. UE, OTAN, OMS …les outils des adorateurs du dieu US $ pour les servir et nous asservir.

Nos anciens se sont sacrifiés pour nos libertés, les générations d’après-guerre ont oeuvré pour redresser la France et lui donner une stature internationale. 

Désindustrialisation, immigration sauvage volontairement incontrôlée, insécurité galopante, dégradation du système de santé et du système éducatif, des modèles unanimement reconnu de par le passé dans le monde entier.

Sarkozy a trahi la confiance des Français par le Traité de Lisbonne et la réintroduction de notre pays dans le commandement intégré de l’OTAN, Hollande a trahi l’honneur de la France par la fausse signature des Accords de Minsk et son entreprise de destruction du nucléaire, Macron la décrédibilise à l’international et déborde en interne des limites de la Constitution (Articles 2 & 3).

Débarrassons nous d’un système étatique politico-administratif qui abandonne la population française au bon vouloir d’une caste financière pour laquelle l’individu n’existe que dans la mesure ou il lui est utile.

Proposons et imposons nos réformes issues de notre propre réflexion basée sur notre quotidien. Les grandes manifestations vont devenir toujours plus dangereuses parce que soumises à une violence inadmissible de la part d’une certaine catégorie de membres de forces de l’ordre non plus serviteurs de la Nation mais s’abandonnant servilement à un régime politique qui n’a de cesse que de nous opprimer pour nous soumettre à sa vision d’un monde nouveau basé sur la seule puissance financière.

Imaginons la vie que nous souhaitons vivre, forçons les élus à voter des lois servant nos intérêts et imposons leur notre volonté. Laissons les égos de côté et rassemblons nos énergies pour éjecter toute cette catégorie de politiques et administrateurs de l’Etat et rendre la France aux Français en leur laissant le libre choix de leur destin. 

Refusons de devenir les « taillables et corvéables à merci«  de cette caste richissime qui veut dominer le monde et s’en attribuer toutes les richesses à nos dépens.

(*) https://laplumeducitoyen.org/2021/02/23/simulations-ou-dissimulations/.

(**)

Covid : vaccins inefficaces, ils le savaient bien avant. Posted on  by Gérard Maudrux
Un vaccin qui n’empêche pas d’attraper une maladie, cela peut arriver dans un programme de recherche, et jusqu’à maintenant on laissait alors tomber. Mais valider un vaccin qui n’empêche pas d’attraper une maladie, est une grande première en médecine, si tant est que l’on puisse encore appeler cela un vaccin dans ces conditions. Rendre ensuite ce “vaccin”, bien qu’inefficace, obligatoire ou quasi obligatoire, ce n’est plus de la médecine, autre chose se cache derrière.Le pire est qu’avant que l’épidémie de covid n’arrive, ils savaient que cela ne pouvait marcher. Ils, ce sont les spécialistes compétents en immunologie et en virologie, qui ont conseillé les décisions politiques. Ils sont responsables à deux titres. Le premier, ils savaient que cela ne pouvait pas marcher, ils ont failli dans leurs conseils et directives pour les décideurs politiques. Le second, ils n’ont pas protesté, ne se sont pas exprimés devant des décisions inutiles ou mauvaises. Ne rien dire c’est laisser faire, qui ne dit mot consent et est donc co-responsable des conséquences.
Cet article de mars 2019, récupéré sur le site officiel du gouvernement US, faisait avant l’apparition du covid, le point sur tout ce qui a été essayé sur les coronavirus apparus depuis une quinzaine d’années, notamment le SRAS-CoV, coronavirus du syndrome respiratoire aigu sévère, et le MERS-CoV, coronavirus du syndrome respiratoire du Moyen-Orient. Le constat de 15 années de recherches et d’essais, relatant ici plus de 120 études, ne pouvaient être ignoré de ceux que je cite plus haut, sauf à être totalement incompétents et avoir abusé le monde sur leurs compétences.Parmi les experts, le professeur Raoult était reconnu dans le monde entier, et il n’a pas failli : dès le début des « vaccins », contrairement aux autres « spécialistes » autoproclamés et nommés par le gouvernement, il n’a pas dit non, car il n’est pas « anti-vax », mais il a bien dit qu’il n’y croyait pas trop pour ce genre de virus. On l’a vite fait taire en le faisant passer pour un charlatan, ce qui curieusement n’a étonné personne dans un pays où l’on semble pouvoir nommer un charlatan à la tête du plus grand centre mondial d’infectiologie. La suite a bien montré que l’expérience est supérieure à la soumission des spécialistes gouvernementaux.
QUE DIT CET ARTICLE ? (traduit ici). Il n’est pas tendre avec l’expérience des vaccins contre les coronavirus :« 4.2 : Les vaccins ont longtemps été considérés comme l’étalon-or pour la prévention et l’éradication des maladies infectieuses ciblées sur les populations humaines, ainsi que pour conférer les avantages d’une protection immunitaire à long terme pour l’individu. Les agents pathogènes zoonotiques comme les coronavirus émergent d’espèces animales réservoirs, il est donc peu probable que les stratégies de vaccination conduisent à l’éradication tant que le virus continue de circuler dans les hôtes réservoirs….Dans les infections humaines de coronavirus hautement pathogènes SRAS-CoV et MERS-CoV, les populations les plus vulnérables sont les patients de plus de 65 ans et les patients présentant des comorbidités, (nous l’avons appris, mais eux le savaient) et la conception de vaccins efficaces pour les patients de ces groupes est difficile. Les formulations de vaccins qui ont été développées contre le SRAS-CoV non seulement ne parviennent pas à protéger les modèles animaux de populations âgées, mais entraînent également uneimmunopathologie chez les populations plus jeunes, où la maladie du SRAS est renforcée dans les groupes vaccinés qui sont ensuite exposés au SRAS-CoV. De plus, les vaccins génèrent des réponses immunitaires mémoire à des agents pathogènes spécifiques, et aucune formulation de vaccin efficace contre plusieurs CoV n’a été développée. En raison de la diversité des BatCoV*, il semble peu probable que les stratégies thérapeutiques actuelles ciblant des antigènes spécifiques du SRAS-CoV ou du MERS-CoV soient efficaces contre les futurs coronavirus qui émergent dans la population humaine. Les vaccins formulés contre les antigènes épidémiques du SRAS-CoV n’offrent pas une protection efficace contre les BatCoV de type SRAS qui circulent actuellement dans les populations de chauve-souris.»* Ailleurs dans l’article : « il est important de noter que les deux coronavirus qui causent la maladie la plus grave chez l’homme, le SARS-CoV et le MERS-Cov sont issus de BatCov (coronavirus de chauve-souris), qui n’étaient pas auparavant reconnus pour infecter les humains ou les animaux autres que les chauve-souris. ».Et en fin d’article, les auteurs récapitulent 5 points marquants de la littérature des années précédentes, concernant cette lutte contre les épidémies de SARS-Cov et MERS-Cov. Au second point, on lit :« Les approches conventionnelles identifiant les thérapeutiques adaptatives comme les vaccins et les anticorps monoclonaux contre les coronavirus ciblent des antigènes qui ne sont pas conservés, et sont peu susceptibles de conserver leur efficacité thérapeutique contre divers agents pathogènes du coronavirus. »Depuis l’émergence du SARS-Cov en 2002 dans la province de Guangdong dans le sud-est de la Chine et du MERS-Cov en 2012 au Moyen Orient, tout était donc connu, sauf par ceux qui ont piloté l’épidémie de covid. À savoir le risque essentiellement pour les personnes âgées avec comorbidités, l’échec de la vaccination pour protéger les populations, la non durabilité de la protection, les réservoirs animaux inaccessibles (chers au Pr Raoult), l’évolution vers des mutations, et les risques de troubles immunologiques chez les plus jeunes.Enfin cet article constate que « l’interféron (IFN) gamma est efficace contre les infections virales. « Sur la base de ces propriétés immunomodulatrices, les IFN ont été utilisés pour le traitement des infections virales émergentes, là où aucun médicament antiviral spécifique n’existe encore, les plus grand avantages résultants d’une administration très précoce»… » Pour le SARS-CoV et le MERS-CoV les IFN de type 1 ont été efficaces pour diminuer la réplication virale in vitro, avec des avantages supplémentaires in vivo chez les primates. Utilisés dans le traitement des patients atteints du SRAS et du MERS, ils ont été utilisés combinés avec d’autres médicaments comme la ribavirine et le lopinavir-ritonavir, bien que les effets bénéfiques aient été limités, en raison de l’administration tardive après l’infection ». L’interféron a d’ailleurs été testé au début pour le SARS-CoV-2, seul ou en association. Or il se trouve que l’ivermectine a montré dans plusieurs études sur l’onchocerchose, qu’elle stimulait la production d’IFN, réduisant la production d’interleukine IL-6 et par là le choc cytokinique. Cette immunomodulation par action sur les IFN est également connue pour l’azithromycine. L’action immunomodulatrice de l’ivermectine dans les affections virales et la réduction du choc cytokinique était donc connus avant l’épidémie de SARS-CoV-2, de même que la nécessité d’un traitement le plus précoce possible (incompatible avec une procédure randomisée qui allonge les délais de traitement, comme constaté pour le SRAS et le MERS).« Amusant », dans cet article antérieur, on peut aussi retrouver l’origine possible du SARS-Cov-2 par fuite de laboratoire, quand on lit que : « Les progrès dans l’étude des coronavirus hautement pathogènes et des candidats-médicaments potentiels dépendent en partie de la technologie permettant de manipuler génétiquement les CoV poursonder les mécanismes de la pathogenèse virale et de l’activité des médicaments antiviraux. Les systèmes de génétiqueinverse génèrent synthétiquement des virus à partir de séquences virales connues »… » Les systèmes de génétiqueinverse permettent de cibler des mutations sur des gènes viraux spécifiques et d’assembler des virus. À titre d’exemple,la capacité d’isoler des mutations dans des gènes particuliers a été appliquée aux études de la glycoprotéine de pointe(S) du SRAS-CoV, tout en maintenant le fond isogénique de la réplicase virale et d’autres protéines structurelles ». Sans commentaire.Au vu de la littérature antérieure à l’épidémie de SARS-Cov-2, tous les spécialistes de la question savaient ce qu’allait donner ce qu’ils proposaient, et cela s’est vérifié, ils ne peuvent plus le nier. On peut se demander pourquoi, car il y a forcément une raison à cet acharnement qui peut paraître inutile. Inutile, mais pas pour eux. La raison ? Elle ne se cache pas dans la finance, mais dans le secret défense. Qui dit secret défense prouve qu’il y a des choses que les citoyens ne devaient pas connaître, sinon cela aurait été traité comme toutes les épidémies précédentes par les médecins, que l’on a bizarrement exclus du processus de soins.Depuis 3 ans tout le monde cherche à comprendre certaines attitudes irrationnelles, à commencer par ce secret défense, le fait d’empêcher les médecins de traiter, ou encore pousser à vacciner des populations qui n’ont rien à craindre de la maladie. J’ai ma petite idée sur le sujet depuis maintenant plus de 18 mois, en assemblant les pièces d’un puzzle. J’en ai fait part à des connaissances, des mails peuvent en témoigner, mais ne l’ai jamais écrit, car trop « complotiste ». Les pièces de ce puzzle sont des faits de plus en plus évidents, donc de moins en moins « complotistes ». Cela reste toutefois une hypothèse, mais de plus en plus plausible. Je vous en ferai part dans le prochain billet.
Source : https://www.covid-factuel.fr/2023/03/25/covid-vaccins-inefficaces-ils-le-savaient-bien-avant/
Rapport explosif : les protéines de pointe envahissent tous les principaux organes, induisent un vieillissement cellulaire hyper-accéléré entraînant une durée de vie plus courte Les protéines de pointe associées au virus Covid-19 et aux vaccins à ARNm pourraient provoquer une dégradation accélérée des cellules dans le corps humain, provoquant un vieillissement biologique plus rapide des organes et entraînant une mort précoce.
(Article d’Adan Salazar republié de Newswars.com )
L’hypothèse effrayante a été avancée par des chercheurs français, qui ont conclu que les protéines de pointe induites par les infections à Covid et les piqûres d’ARNm raccourcissaient les séquences d’ADN appelées télomères, qui protègent les extrémités des chromosomes, diminuant ainsi l’espérance de vie. Dans un article d’août 2021 publié dans le journal français  France Soir , les chercheurs ont mis en évidence une  étude chinoise  montrant que les protéines de pointe altéraient la fonction endothéliale chez les cobayes, qui a ensuite été répliquée avec des cellules humaines.“L’équipe [de recherche chinoise] a reproduit l’expérience in vitro sur des cellules endothéliales humaines saines : la protéine de pointe s’est ainsi liée aux récepteurs ACE2, endommageant les mitochondries des cellules, provoquant micro-thrombose et endothélite”, lit-on dans une traduction anglaise du journal français.Les chercheurs français ont logiquement continué à se demander si les protéines de pointe induites par les jabs d’ARNm pouvaient avoir des effets similaires.« S’il est prouvé que le SRAS-CoV2 induit un vieillissement cellulaire accéléré, et que le responsable de cette sénescence n’est autre que la protéine Spike, comment être absolument certain que les vaccins actuellement sur le marché, tous à base de Spike, ne le font pas ? conduisent également à la dégradation accélérée des cellules des personnes vaccinées ? ont demandé les scientifiques.L’article, co-écrit par  le lauréat du prix Nobel  et virologue Luc Montagnier, se penche sur une série d’études montrant les effets des infections à Covid sur les télomères et comment des télomères plus courts sont liés à l’accélération du vieillissement biologique cellulaire.L’article explique également comment le stress oxydatif – qui se produit dans le corps au niveau des sites d’inflammation – joue un rôle dans le raccourcissement des télomères, et comment les vaccins Covid-19 peuvent induire un stress oxydatif, qui à son tour affecte négativement les blocs de construction de l’ADN et de l’ARN connus sous le nom de guanines.Concluant la longue étude, les chercheurs ont résumé leur hypothèse en mettant en garde contre les traitements par vaccin à ARNm, en écrivant :« En effet, avec le vieillissement, les télomères se détériorent et affectent la reproduction cellulaire. On pense que le SRAS-CoV2 provoque un vieillissement biologique ou un âge biologique accéléré par un raccourcissement accru des télomères.« La question que l’on peut légitimement se poser est la suivante : la protéine de pointe n’est-elle pas active dans les vaccins (Pfizer, Moderna, etc.) en sollicitant/bloquant le récepteur ACE2 susceptible d’inhiber la fonction bénéfique de protection des télomères et donc d’activer également le vieillissement ? ?”[…]« … Ce virus provoque une augmentation de l’âge biologique  chez les personnes qui contractent la maladie, dont l’effet est probablement accentué par l’injection de vaccin. Avec la baisse d’efficacité sur la contamination, il est donc indispensable de   prévenir l’aggravation de la maladie  et pour cela une prise en charge précoce est impérative.“En laissant la maladie [Covid] progresser au-delà des premiers jours et en utilisant les vaccins comme seule solution,  nous risquons d’entraîner une réduction de la durée de vie des adultes et des enfants.”“Vu la volonté de vacciner les enfants qui ne sont pas touchés par le SARS-CoV2,   le remède ne doit pas être pire que le mal .”Un chercheur qui a été publié dans l’étude de 2021, Walter M. Chesnut, a poursuivi ses recherches sur ce qu’il a surnommé “SPED” (Spike Protein Endothelial Disease), publiant ses découvertes sur  Substack .URGENT / RUPTURE : RÉSUMÉ MIS À JOUR : La protéine de pointe du SRAS-CoV-2 est “livrée” à tous les organes via l’endothélium et induit des traductions d’ARNm non-sens systémiques entraînant un vieillissement hyperaccéléré
La protéine de pointe, en essence, agit comme un médicament progeria https: //t.co/GoPnZkm4JJ pic.twitter.com/yTQNW9siik
– Walter M Chesnut (@Parsifaler) 23 janvier 2023Dans un récent  rapport  publié dimanche, Chesnut a rapporté sa dernière hypothèse : que « la protéine de pointe du SRAS-CoV-2 est« livrée » à tous les organes via l’endothélium et induit des traductions systémiques d’ARNm absurdes entraînant un vieillissement hyperaccéléré. »Je crois que le STADE I du syndrome de la protéine Spike Progeria (SPPS) est une “réaction” endothéliale à l’INVASION de la protéine Spike DANS TOUS LES PRINCIPAUX ORGANES. Considérez cela comme le choc d’être submergé dans de l’eau glacée ou d’être ravagé par le feu. Il y a des dommages INSTANTANÉS : inflammation, coagulation et tout ce qui accompagne une atteinte à l’endothélium.Cependant, une fois que la protéine Spike a ENVAHI l’endothélium de tous les organes principaux, elle PROCÈDE alors à INDUIRE UNE FAUSSE TRADUCTION DE L’ARNm DANS CHAQUE ORGANE.« Pourtant, qu’est-ce que cela veut dire ? Cela signifie, je crois, que le STADE II du SPPS [Spike Protein Progeria Syndrome] est le VIEILLISSEMENT PREMATURE de tous les organes via des ERREUR DE TRADUCTION INDUITES DE PROTEINES ESSENTIELLES AU FONCTIONNEMENT DE CET ORGANE », a écrit Chesnut. [Soulignez son]Chesnut a poursuivi en soulignant comment une étude a montré que des  souris présentant une synthèse protéique sujette aux erreurs, un ARN mal traduit, présentaient les caractéristiques d’un vieillissement prématuré .“Le sorcier est en effet derrière le rideau”, a expliqué le chercheur. «Nous voyons mourir un jeune de 26 ans. Mais cet homme de 26 ans a les organes d’un homme de 96 ans. Pas de surprise dans les cancers rapides, la neurodégénérescence ou la mort cardiaque subite – pour un homme de 96 ans.“Je crois que la protéine Spike agit comme un médicament progeria – délivré via l’endothélium à tous les organes”, a supposé Chesnut.« Je ne sais pas encore quoi faire. Je suis profondément attristé et engourdi. Quelles que soient les preuves ou les hypothèses présentées, le groupe joue sur… »“Et ça joue une marche funèbre”, a-t-il conclu.L’information alarmante pourrait être l’un des chaînons manquants derrière le phénomène mystérieux des personnes qui meurent soudainement et de manière inattendue.
Source : https://collectifmorlaix.fr/rapport-explosif-les-proteines-de-pointe-envahissent-tous-les-principaux-organes-induisent-un-vieillissement-cellulaire-hyper-accelere-entrainant-une-duree-de-vie-plus-courte/
En savoir plus sur :  Newswars.com
Ceux qui s’intéressent toujours à la crise sanitaire COVID qui se termine doucement trouveront mon premier rapport de situation 2023 qui sera désormais trimestriel. Ce rapport fait le bilan du premier trimestre 2023. Si le nombre de décès se réduit chaque jour un peu plus (134 400 au 1er trimestre 2023 sur l’ensemble de la planète), il est important de noter que sur ce premier trimestre 2023, les 30 pays de l’OTAN, très vaccinés, ont eu un taux moyen de mortalité COVID de 81,9 décès/million d’ h, plus de 10 fois fois supérieur à celui du reste du monde pour la même période : 7,93 décès /million d’h. Cela veut clairement dire que ces pays se remettent moins vite de l’épisode Covid que le reste de la planète. Tous les pays de l’OTAN, sans aucune exception, ont un taux de mortalité par millions d’habitants supérieur à la moyenne du monde non otanien… ???Bonne information alternative à tous et à chacun de se forger son opinion, bien sûr.Avant propos : « On peut débattre de tout, sauf des chiffres » (lorsqu’ils ne sont pas mensongers, bien sûr). Propagande gouvernementale reprise inlassablement en Octobre et Novembre 2021 par la « meute » des médias mainstream français… et abandonnée depuis parce que les chiffres deviennent dérangeants.Il convient donc de faire parler les chiffres déclarés par les États eux-mêmes.Remarques sur le tableau ci dessus :Avec près de 376,5 millions de tests positifs déclarés en 2022 dans une population mondiale de 8 milliards d’habitants qui avait déjà reçu 9,2 milliards de doses de vaccin en 2021, on réalise que la contamination n’a jamais été réduite par le vaccin, bien au contraire, puisqu’elle a été 4,5 fois plus importante en 2022 sur des populations vaccinées qu’en 2020 sans vaccin. Qui ne connaît pas parmi ses proches des gens double ou triple vaccinés qui ont attrapé le Covid en 2022 ?Le slogan « Tous vaccinés, tous protégés » était donc un énorme mensonge répété ad nauseam par les pseudo-scientifiques, les politiques et leurs relais médiatiques.La grande majorité des contaminations et des décès des années 2022 et 2023 l’a été dans des pays très vaccinés d’Europe et d’Amérique du Nord (Voir les détails dans les tableaux qui suivront). L’Europe est d’ailleurs restée l’épicentre de l’épidémie depuis dix huit mois, sans discontinuer, ce qui est la preuve que la stratégie du tout vaccinal n’y a jamais fonctionné. Elle ne compte que 9,5% de la population mondiale mais déclare encore sur les quinze derniers jours, près de 40% des tests positifs et plus de 42% des décès enregistrés sur la planète. C’est un fait difficilement contestable, même par les « déconneurs » du Monde ou de Libération qui ont réponse à tout.Où est passé le miracle vaccinal en Europe ? Cherchez l’erreur.Avec le variant Omicron (et ses sous-variants BA) très contagieux mais très peu létaux, surtout et y compris dans les pays peu vaccinés d’Afrique ou d’Asie, le nombre de nouveaux cas quotidiens déclarés sur la planète (pour la plupart Omicron) a été multiplié par 6 entre le 1er décembre 2021 et le 25 janvier 2022 (3,4 millions de cas/j). Il a ensuite été divisé par plus de 42 pour s’établir aujourd’hui à 80 000 tests positifs/jour, (moyenne sur 7 jours.) au 1er avril 2023 0h00 GMT. Autant dire que la pandémie est quasiment terminée.Alors que le nombre de décès sur une population pourtant très vaccinée a culminé à 74 000 décès/semaine dans la 2ème semaine de février 2022, il est  désormais inférieur à 5000 décès dans la dernière semaine de mars 2023, soit une division par quinze de la mortalité hebdomadaire. La Covid est donc devenue une maladie respiratoire moins létale que la grippe saisonnière.Malgré une vaccination de masse menée tambours battants depuis début décembre 2020, l’épidémie aura été deux fois plus meurtrière en 2021 qu’en 2020 (contamination et nombre de décès) sur l’ensemble de la planète. La vaccination n’a donc pas fait reculer l’épidémie partout où elle a été appliquée en 2021. Pour 2022, les chiffres de contamination ont été bien pire (multiplication par 4,5) et la mortalité, à peine meilleure, qu’en 2020, sans vaccin. Pour 2023, les pays en développement les moins vaccinés d’Afrique et d’Asie se sortent beaucoup plus vite de l’épidémie que les pays développés les plus vaccinés : c’est un fait.Alors même que l’efficacité du virus et de ses variants s’atténue avec le temps et que de nouveaux traitements précoces efficaces ont été découverts, la létalité de cette épidémie aurait dû reculer nettement avec l’apport de 13,36 milliards d’injections vaccinales pour une population de 8 milliards d’habitants ; injections vaccinales « vendues » par Big Pharma pour une efficacité de 90 à 95% sur les formes graves. Ca n’a manifestement pas été le cas au cours de l’année 2021 et le recul a été faible en 2022. En 2023, l’épidémie semble toutefois s’éteindre progressivement et surtout naturellement.C’est probablement la raison pour laquelle l’immense majorité de la population mondiale a désormais renoncé aux rappels de vaccination, les fameux « boosters », malgré les recommandations persistantes dans certains pays, dont la France. À deux injections annuelles recommandées, le nombre de 9,1 milliards d’injections de l’année 2021 aurait du se maintenir en 2022 et en 2023. Or, il est tombé à 3,9 milliards en 2022 et ne devrait pas dépasser 1 milliard en 2023 puisqu’il n’y a eu que 240 millions de doses injectées au 1er trimestre 2023 sur la planète. On notera avec intérêt que la mortalité a nettement diminué en 2023, alors même que les populations ont renoncé d’elles-mêmes aux recommandations gouvernementales d’un booster tous les six mois.Comme toutes les autres épidémies avant elle, nouveaux variants ou pas, l’épidémie  Covid-19 finit enfin par régresser naturellement sous l’effet de plusieurs facteurs : La prolifération des variants rend chacun d’entre eux moins létal au fil du temps. C’est le cas du Omicron et de ses derniers sous-variants. Le réservoir de personnes fragiles et atteintes de comorbidité, donc susceptibles de faire des formes graves de la Covid s’est progressivement « vidé » par décès des plus fragiles. On ne meurt pas deux fois. Dans de nombreux pays, une meilleure prise en charge des patients et l’apparition et l’application de nouveaux traitements précoces pour les personnes atteintes de la Covid ont réduit considérablement la mortalité liée à ce virus. L’immunisation naturelle d’une partie croissante de la population mondiale qui, testée ou non, a contracté la maladie et en a guéri, devrait également contribuer à la baisse de la létalité. À cet égard, le variant Omicron et ses sous-variants, très contagieux mais très peu létaux, ont joué le rôle de véritables vaccins naturels pour ceux qui ont contracté la maladie, sans être porteurs de multiples facteurs de co-morbidité.Notons qu’avec la guerre en Ukraine qui impacte la planète entière, les médias ont  un nouvel os à ronger. Les grands titres de l’actualité s’en trouvent considérablement changés mais les médias et les politiques continuent à surfer sur la peur et à manipuler l’opinion sur ce nouveau sujet. C’est d’ailleurs le rôle qui leur est attribué, dans tous les pays du monde, dans le cadre de leur participation à « la guerre de l’information ».En France, la campagne présidentielle de 2022 a été largement occultée, elle aussi, par la crise ukrainienne, dont les conséquences risquent fort d’impacter nos vies beaucoup plus que la Covid 19, surtout si la gestion de cette crise est aussi maladroite et contre-productive que celle de la Covid-19, tant au niveau national qu’européen ou otanien, ce qui semble être le cas.Vouloir régler les problèmes qui vont se poser en empruntant toujours plus d’argent, en vivant à crédit, en « sanctionnant » toujours plus ceux qui ne partagent pas le narratif dominant, sans prendre en compte les effets boomerang, ne sont pas des stratégies efficaces et durables, tant pour la crise sanitaire que pour la crise ukrainienne. L’explosion de la dette aura forcément une limite… et ne pourra qu’accélérer le déclassement de certains pays, dont le notre, déjà en cours et bien avancé.Pour en revenir à la Covid-19, les données présentées par différents pays (UK, France, Israël, Italie) montrent que seulement 12% environ des décès attribués à la Covid peuvent être attribués uniquement à la Covid et de manière certaine. 88% des décès auraient donc pu être attribués à l’une ou l’autre des multiples comorbidités dont souffraient les patients décédés. Autrement dit, le nombre de 6,83 millions de décès sur trois ans est certainement surévalué, et pas qu’un peu. Il pourrait fort bien être de l’ordre de 1 millions qui, répartis sur trois ans, deviendrait un  nombre dérisoire au niveau planétaire. De là à dire que cette « pandémie » a été plus médiatique et politique que réelle, il n’y a qu’un pas que je n’hésite plus à franchir…Vidéos et documents « alternatifs » et intéressants sur la vaccination et la gestion de la crise sanitaires1. Sur la désinformation politique et médiatique qui a fortement marqué la gestion de l’épidémie dans le monde et en FranceLe scandale dit : « Lockdown Files » révélé par le Daily Telegraph au Royaume-Uni et repris, brièvement hélas, par les médias du monde entier, ont clairement montré que l’incompétence de la classe dirigeante britannique a été à l’origine d’un autoritarisme sanitaire contre-productif.• https://www.contrepoints.org/2023/03/08/lockdown-files-lincompetence-a-lorigine-de-lautoritarisme-sanitaireBien sûr, ce constat n’est pas applicable à la France dont les dirigeants, infiniment plus malins que leurs homologues britanniques, ont eu le bon goût et la bonne fortune de ne pas se faire prendre, jusqu’à présent, les doigts dans la confiture.2. Les effets secondaires des vaccinsIntervenant au parlement britannique dans une salle désertée par son auditoire que le sujet du jour, les effets secondaires des vaccins, n’intéressait pas, un député démontre, données officielles à l’appui, que les effets nocifs des vaccins l’emportent sur les bienfaits dans toutes les classes d’âge, au Royaume-Uni. Il demande d’arrêter le massacre.Un article de France Soir du 9 janvier 2023 révèle et commente une étude prospective dont les résultats ont été présentés le 24 octobre 2022 à la Société européenne de cardiologie.• https://www.francesoir.fr/societe-sante/covid-19-etude-prospective-augmentation-800-myocardites-vaccin3. Réintégration des personnels suspendus non injectés• https://www.liberation.fr/covid-19-la-haute-autorite-de-sante-recommande-de-lever-lobligation-vaccinale-des-soignants/2023/03/304. Sur les vaccins en général• https://www.francesoir.fr/moins-de-la-moitie-de-la-population-francaise-recu-une-injection-contre-la-covid-19***Quels sont, jusqu’à présent, les résultats planétaires de l’expérimentation vaccinale de masse ?source : Our World in Data : https://ourworldindata.org/covid-vaccinations69,8% de la population mondiale aurait reçu au moins une dose d’un vaccin COVID-19 et 64% seulement seraient complètement vaccinés, représentant 5,1 milliards d’h.13,36 milliards de doses auraient été administrées dans le monde (dont 9,2 milliards en 2021, 3,9 milliards en 2022 et seulement 0,26 milliard au 1er trimestre 2023). Cette évolution entre 2021 et 2023 montre clairement que les populations vaccinées refusent désormais massivement les deux « boosters » annuels qui leurs sont proposés pour conserver leur immunité « présumée ». 600 000 doses seraient encore injectées chaque jour, en utilisant trop souvent des mesures coercitives, dans certains pays occidentaux notamment, qui voudraient se poser en modèle pour le reste du monde en accumulant les doses, alors qu’ils on failli depuis le début dans la gestion de l’épidémie, en multipliant les erreurs d’appréciation.28,5% seulement des habitants des pays à faible revenu, donc moins solvables, auraient reçu au moins une dose. Ils ne s’en portent pas plus mal, bien au contraire. Ce simple constat montre, s’il en était besoin, que la vaccination était, avant tout, une affaire de gros sous pour Big Pharma et ses relais corrompus et que les riches populations de la région Nord Atlantique intéressaient bien davantage l’OMS et les laboratoires pharmaceutiques que les population les plus pauvres d’Afrique ou d’Asie.À l’échelle planétaire, il y aura eu deux fois plus de décès Covid en 2021 avec le vaccin qu’en 2020 sans vaccin, alors même qu’il y a consensus scientifique pour admettre que le variant delta a été  moins létal que ses prédécesseurs. Toutefois la Covid 19 semble désormais en extinction naturelle un peu partout, sans qu’on puisse attribuer cette amélioration au vaccin puisque les pays les plus vaccinés sont ceux où l’épidémie a reculé et recule toujours le moins vite (USA, Allemagne, Royaume-Uni, Australie, etc.) et que la mortalité de 2022 avec vaccin aura été supérieure à celle de 2020 sans vaccin dans de nombreux pays très vaccinés. (Croatie, Slovaquie, Grèce, Allemagne, Australie, Singapour, Israël, Islande, Norvège, Danemark, Finlande, Lettonie, Estonie, Lituanie, Portugal, Taïwan, Corée du Sud, Japon, etc.). Il semble bien que le dernier variant Omicron, très contagieux mais très peu létal ait été, depuis le début de 2022, le vaccin naturel attendu.On me rétorquera que la situation serait bien pire si l’on avait adopté d’autres stratégies de lutte contre la pandémie. C’est une affirmation commode et gratuite qui est, malheureusement, démentie par les faits (« On peut débattre de tout sauf des chiffres » nous ont répété inlassablement les médias, relayant le discours du gouvernement français.) Eh bien re-parlons chiffres !Observations1. Au fil des années, il n’y a aucune corrélation entre le taux de vaccination et le taux de mortalité des différents continents. 2 à 2,5 fois moins vaccinée que l’Amérique latine, ou que l’Europe, l’Afrique déclare un taux de mortalité plus de 15 fois moindre. Il est vrai que les traitements à la chloroquine ou à l’ivermectine y ont été pratiqués presque partout. C’est un constat observationnel irréfutable, réalisé à posteriori sur la base de chiffres officiels, « dont on ne peut débattre. »2. Alors que les habitants de la planète sont de plus en plus vaccinés, la mortalité déclarée Covid de 2022 est restée forte avec un virus pourtant beaucoup moins létal. Exemples ? L’Océanie, vaccinée à 64%, a déclaré 4 fois plus de décès en 2022 que les nombres cumulés des deux années 2020 et 2021 et compte 18 fois plus de décès Covid en 2022 que durant toute l’année 2020, sans vaccin. Au 1er trimestre 2023, l’Océanie déclare déjà 3 fois plus de décès que durant toute l’année 2020 sans vaccin.L’Europe, vaccinée à 70% est restée en 2022, a un taux de mortalité à peine inférieur à celui de l’année 2020 (sans vaccin) avec un variant Omicron beaucoup moins létal. Ou est donc passé le miracle vaccinal annoncé à 95% d’efficacité sur les formes graves. Même les plus cons des citoyens du monde commencent à s’apercevoir qu’ils ont été dupés par la propagande politique et médiatique et  à réagir en refusant massivement les « boosters » qui ne boostent rien d’autre que les finances de Big Pharma.3. En Suède, aucune des prédictions apocalyptiques des experts autoproclamés ne s’est réalisée : 96 000 décès en un seul mois prévus par les « experts » en mars 2020 ? Dans la vraie vie : 23 823 décès en plus de trois ans bilan réalisé sans aucune des mesures folles que la France a connues. La Suède, plus âgée et moins vaccinée que la France, a un taux de mortalité de 15% inférieur à la moyenne européenne… Eh ! les médias mainstream… Quelle est la valeur des prédictions scientifiques de monsieur Ferguson ? Pouvez vous rappeler cela de temps à autre à votre lectorat ou à votre audience ? Et vous excuser ?4. En Islande, en Israël, au Japon, à Taïwan, au Royaume-Uni, en Allemagne, aux États-Unis, aux Pays baltes à Singapour, en Australie (etc.) pays supposés être parmi les plus immunisés ou protégés au monde par le vaccin (entre 72% et 95%) ou par la guérison de la maladie, la contamination et/ou la mortalité ont été plus élevées, en moyenne en 2022, que dans les années précédentes, y compris parmi les doubles ou triples vaccinés (voire, en Israël, parmi les vaccinés à quatre ou cinq doses). Ainsi, à Singapour (6 millions d’habitants vaccinés à 91%), la mortalité a augmenté très fortement sur les quinze derniers mois montrant la totale inefficacité vaccinale.D’octobre 2021 à mars 2023, le nombre des décès des Singapouriens, parmi les plus vaccinés au monde, a été multiplié par onze, comparé aux pertes cumulées des années 2020 et 2021 et par 60 comparée aux pertes de l’année 2020 sans vaccin… ??????   Situation de la mortalité Covid à Singapour aujourd’hui vaccinée à 91% : « On peut débattre de tout sauf des chiffres » « tous vaccinés, tous protégés » qu’ils disaient sur toutes les télés françaises.En Israël, la contamination et les décès ont explosé en janvier 2022. Entre le 14 décembre 2021 et le 26 janvier 2022, le nombre de nouveaux cas est passé de 595 à 72 014/jour (Moyenne sur 7 jours) soit une multiplication par 121 en 6 semaines sur une population déjà très vaccinée.72% (et bien davantage pour les personnes fragiles) et dans lequel 51,6% des habitants ont déjà été testés positifs et devraient donc avoir une immunité naturelle…Avec 57 cas critiques aujourd’hui, Israël aura encore des pertes dans les jours à venir. Une forte majorité des hospitalisations concerne aujourd’hui des personnes âgées, double, triple, ou quadruple vaccinées.5. Curieusement, et c’était une autre exception française, il n’y avait, selon les déclarations officielles, que des non vaccinés dans les réanimations et dans les décès enregistrés en France (80% selon le narratif officiel…). Ces proportions ont été revues fortement à la baisse puis ont disparu du narratif médical, politique et médiatique. Curieusement aussi, aucun des nombreux effets secondaires recensés dans d’autres pays ne semblait apparaître en France et leur nombre, largement sous évalué, n’est plus clairement porté à la connaissance du grand public par les médias depuis juillet 2021. Il ne faut pas parler des choses qui fâchent.Observations factuellesEn 2022, la mortalité Covid planétaire a culminé à 11 049 décès/jour le 9 février 2022. Elle a diminué progressivement, ensuite, jusqu’au 21 juin (1304 décès/j) puis elle a connu un léger rebond culminant à 2592 décès jours le 10 août. Depuis cette date, elle a baissé à nouveau progressivement pour s’établir à 1500 décès/jour (moyenne sur 7j) au 31 décembre 2022 (0h00 GMT. L’année 2022 n’aura donc pas été très bonne en terme de mortalité déclarée : 1,24 millions de décès en 2022 après 13,2 milliards de doses de vaccins injectées (???).Le premier trimestre 2023 a enregistré une baisse très sensible du nombre des décès déclarés : 134 000 seulement sur l’ensemble de la planète.La moyenne hebdomadaire de 24 000 décès pour l’année 2022 estrestée beaucoup plus élevée que prévue. On réalise là toute « l’efficacité » (???) des campagnes vaccinales qui auraient dû faire reculer le virus et combattre les formes graves de la maladie… On peut débattre de tout, sauf des chiffres.Les pays les plus pauvres, dont  28,5% seulement de la population seraient vaccinés, sont ceux qui affichent les taux de mortalités Covid les plus faibles (inférieurs à 1, mais le plus souvent à 0,5 pour mille). « On peut débattre de tout sauf des chiffres »…Les pays les plus riches, les plus « avancés », les plus vaccinés (de 70% à 98%), les plus assistés médicalement, mais aussi les plus âgés, les plus fragiles, les plus touchés par le surpoids et l’obésité, sont ceux qui continuent d’afficher les taux de mortalité les plus élevés au monde (supérieurs à 2,5 et jusqu’à 5 pour mille). « On peut débattre de tout, sauf des chiffres »…Après 3 ans d’épidémie, le taux de mortalité Covid planétaire reste dérisoire (0,877 pour mille habitants), comparé à d’autres maladies plus ou moins difficilement curables (cancer, sida et surtout « famines »…). La population terrestre a donc continué d’augmenter, malgré la Covid, de 67 millions d’habitants en 2022 et de 16,8 millions au 1er trimestre 2023. « On peut débattre de tout, sauf des chiffres ».En 3 ans et 3 mois d’épidémie, 6,83 millions d’individus, très âgés, fragiles et souvent déjà malades sont décédés « avec la Covid » alors que près de 200 millions d’individus sont décédés dans le monde, de bien d’autres causes… On notera que 88% des décès déclarés Covid l’ont été avec comorbidité et que 12% peuvent être attribués à la seule Covid-19. En clair 1,1 million de décès environ, sur trois ans et trois mois, peuvent être attribué de manière certaine à la Covid 19… (nombre très inférieur à celui de la grippe saisonnière, en temps normal, sur trois ans, au niveau planétaire.Principales causes de décès au premier trimestre 2023 sur la planète (source :  Worldometer)On notera avec intérêt le comportement paradoxal des gouvernances qui ont accepté, en 2022, de réaliser 42,5 millions d’avortements sur la planète, et qui, « en même temps » et « quoiqu’il en coûte » à l’économie et à la vie sociale, ont pris mesures sur mesures draconiennes pour tenter, trop souvent en vain, de prolonger de quelques mois l’espérance de vie de quelques millions de vieillards occidentaux (dont je fais partie), vieillards qui ont, pour la plupart, dépassé l’espérance de vie de leur pays d’origine et dont certains ont usé et abusé des bonnes choses de la vie. Ainsi, 1,74 milliards de terriens seraient en surpoids et 832 millions d’entre eux seraient classés obèses en 2023 (plus à l’Ouest qu’à l’Est et plus au Nord qu’au Sud…) (source : Worldometer).Il faut donc RE…LA…TI…VI…SER, apprendre à « vivre avec » ce genre d’épidémie sans paniquer, ce que font désormais un grand nombre de pays dont le Royaume-Uni, l’Espagne, le Danemark, la Suède, la Finlande, la Norvège, la Biélorussie, la Russie, la République tchèque et même Israël ; et « traiter précocement » pour limiter la mortalité, comme on l’a déjà fait dans le passé pour nombre de maladies. Il faut aussi, en Europe, cesser de supprimer des lits d’hospitalisation, en cours épidémie, au nom de la « rentabilité », alors que notre population vieillit et donc se fragilise, et faire semblant de s’étonner (pour nos politiques et leurs « conseils scientifiques » sponsorisés par « Big Pharma »), que nos structures hospitalières soient saturées, ce qu’elles sont, chaque hiver, depuis bien longtemps. La réintégration des personnels soignants qui ont refusé de servir de cobaye lors de l’expérimentation vaccinale en cours devrait être une priorité immédiate pour sauver ce qui reste de notre système de santé en voie d’effondrement avancé, mais aussi parce que les faits leur ont donné raison. Le vaccin n’a protégé personne de la contamination ou du décès comme le montrent encore les chiffres 2023.En Europe, la gestion suédoise de l’épidémie qui a donné, sur la durée, des résultats bien meilleurs que les nôtres,  devrait aussi être prise en exemple à l’avenir, en palliant ses faiblesses dans la prise en charge et le traitement des personnes âgées en établissement hospitalier.Le dernier pic épidémique planétaire ayant été franchi le 9 février 2022, avec 11 049 décès/jour en moyenne sur 7 jours. La situation s’est donc améliorée progressivement depuis cette date jusqu’au 20 juin (1313 décès/j, moyenne sur 7 jours : arrivée de l’été 2022 dans l’hémisphère Nord + vaccin naturel « Omicron » ? Elle s’est ensuite très légèrement détériorée du 20 juin au 9 août 2022 (2592 décès/jours moyenne sur 7 jours).Elle s’améliore depuis cette date (600 à 700 décès/j moyenne sur 7 jours au 1er avril 2023 0h00 GMT. Ce nombre de décès quotidiens est donc désormais très bas, comparé à celui des accidents de la route sur la planète (3 670 décès/jours) ou à celui des décès du Sida (4 560 décès/j).Cette évolution est à peu près la même dans la quasi totalité des pays des deux hémisphères. La situation reste excellente en Afrique (encore peu vaccinée). L’épicentre est resté européen durant les dix huit derniers mois. La semaine passée, l’Europe compte encore, à elle seule, plus de 40% des décès Covid encore déclarés sur la planète pour 9,5% de la population mondiale.Présentation des courbes de contamination et de décès Covid planétairesCourbe de tests positif planétaire au 1er avril 2023 0h00 GMT(en bleu, moyenne quotidienne sur 7 jours)Courbe du nombre de décès planétaire au 1er avril 2023 0h00 (en marron, moyenne quotidienne sur 7 jours)À noter que l’arrivée de la vaccination n’a pas changé grand-chose, à ce jour. Aujourd’hui, 13,36 milliards de doses de vaccin auraient été injectées, 69,8% deshabitants de la planète « auraient » reçu au moins une dose de vaccin. 600 000 doses de vaccin seraient encore injectées chaque jour pour un résultat toujours aussi peu probant sur l’évolution de la contamination et de la mortalité.Les taux de guérison sont toujours très rassurants, sur 684 millions de personnes testées positives à la Covid (dont certaines plusieurs fois) depuis le début de l’épidémie, 657 millions auraient été déclarées guéries, soit plus de 96%.  20,3 millions seraient encore en cours de soins, dont 39 900 (en très faible baisse) en situation critique, 6,83 millions seraient décédés « avec la Covid » en 3 ans 3 mois, et, pour l’énorme majorité de ces derniers, des personnes déjà très âgées, atteintes de comorbidités et ayant dépassé l’espérance de vie de leur pays d’origine.Ces taux de guérison varient d’un continent à l’autre en fonction de l’âge des populations concernées et surtout de la gestion plus ou moins efficace de l’épidémie. Mais il est aujourd’hui presque partout supérieur à 95% à l’exception des pays les plus affectés du moment.Depuis le début de l’épidémie, 229 pays ou territoires  ont été affectés par la pandémie.31 pays ont déclaré plus de 35 000 décès en trois ans d’épidémie et comptent 88% des décès avec, dans l’ordre des pertes : (USA, Brésil, Inde, Russie, Mexique, Pérou, Royaume-Uni, Italie, Allemagne, France, Indonésie, Iran, Colombie, Argentine, Espagne, Pologne, Ukraine, Afrique du Sud, Turquie, Japon, Roumanie, Philippines, Chili, Canada, Hongrie, Vietnam, République tchèque, Bulgarie, Malaisie, Grèce, Équateur).À l’échelle de la planète, la mortalité liée à la pandémie reste très faible. Elle oscille désormais entre 600 et 700 décès/jour (moyenne sur 7 j).À la lecture des deux tableaux qui suivent, on  réalise à quel point  la mortalité attribuée à la Covid reste infinitésimale en Afrique et en Asie. C’est l’Europe et l’Amérique du Nord qui déclarent toujours la majorité des décès.La stratégie « atlantiste » (USA-UE-OTAN) et mondialiste de gestion de la crise sanitaire a été prise en défaut.Les 30 pays de l’OTAN (12% de la population de la planète), parmi les plus vaccinés au monde, cumulent plus de  2,697 millions de décès en 3 ans et ont un taux de mortalité de 2,81/1000 h. Le reste de la planète cumule 4135 millions de décès et déclare un taux de mortalité de 0,59/1000h. (voir tableau détaillé en fin de rapport).C’est un échec cinglant de la stratégie du tout vaccinal prônée … par les USA et Big Pharma (via McKinsey). Il y a, en Occident, un véritable problème, lié à la corruption de certaines élites, des organes exécutifs politiques et sanitaires, ainsi que des médias, corruption par des lobbies transnationaux d’obédience néoconservatrice et mondialiste.Occultés par le Qatargate qui a secoué légèrement, en fin 2022, les institutions européennes et qui n’est qu’une petite partie émergée de l’iceberg de la corruption, il y a le Pfizzergate et l’Ukrogate sur lesquels il faudra, tôt ou tard, se pencher.Il semble bien que la gouvernance non élue de l’UE soit repartie, comme avant, dans l’irresponsabilité et la corruption.Ci après, un tableau rappelant l’évolution de l’épidémie sur les années 2022-2223 :(en vert l’amélioration hebdomadaire, en rouge la détérioration)NB : Depuis plusieurs mois, les chiffres déclarés de la dernière semaine figurant sur ce type de tableau sont systématiquement très minorés (plus de 30%) par les deux pays anglo-saxons (USA et UK) pour lesquels les remontées d’information tardives permettent une correction à la hausse dès la semaine suivante. Il faut donc examiner l’avant dernière semaine pour y voir plus clair et plus juste.Remarques sur le tableau ci dessus : L’Europe reste encore et toujours l’épicentre de ce qui reste d’épidémie depuis 18 mois. Les nombres de décès affichés en dernière semaine de mars seront revus à la hausse pour le duo anglo-saxon USA-UK, comme chaque semaine, pour prendre en compte les déclarations tardives.Bilan au 1er avril 2023 0h00 GMT du nombre de cas et de décès par grande région du monde classées par taux de mortalité sur 3 ans.Remarques sur le tableau ci dessus :1. L’Amérique du Nord otanienne, pionnière et référence de la vaccination de masse, affiche un taux de mortalité plus de 3,7 fois supérieur à la moyenne mondiale, près de 5,5 fois supérieur à la moyenne du monde non otanien, près de dix huit fois supérieur à celui d’une l’Afrique peu vaccinée. Du jamais vu dans l’histoire des vaccinations de masse. Elle fait pire que l’Amérique latine, ce qui n’est pas glorieux compte tenu des moyens financiers et des infrastructures santé dont elle dispose. Ce sont des faits dont on ne peut débattre.2. L’Europe devance l’Amérique latine pour le taux de mortalité, et celui ci est plus de 8 fois supérieur à celui de l’Asie et près de 15 fois supérieur à celui de l’Afrique pourtant très peu vaccinée et surveillée de près par une multitude d’ONG.Les bilans les plus lourds de l’avant dernière semaine ont été, dans l’ordre, ceux des USA, du Royaume-Uni (qui ne déclare plus ses pertes depuis la mi-mars), de l’Allemagne, de l’Espagne et du Japon. Ces cinq pays très vaccinés ont déclaré, à eux seuls, plus de la moitié des décès de la planète pour 11% de sa population. Cherchez l’erreur… Incompétence abyssale des gouvernances dans la gestion de l’épidémie ? Faillite de la science et des systèmes de santé de ces pays ? Campagnes vaccinales totalement inefficaces ? Ou peut être les trois ? À chacun de se forger une conviction.L’Océanie, l’Afrique et l’Asie enregistrent une part des pertes mondiales de 26,7% alors qu’elles regroupent 77,5% de la population. L’Europe et le continent américain (Nord et Sud) qui enchaînent les vaccins et les boosters, enregistrent 73,3% des pertes pour 22,5% de la population mondiale. Notons que la part de l’Afrique pourtant trois fois moins vaccinée, continue d’être infime.Pour relativiser, encore et toujours, cette crise sanitaire, voici la comparaison avec la grippe espagnole.Au delà des nombres évoqués ci dessus, il faut aussi souligner qu’une très forte majorité (88%) des décédés de cette épidémie Covid avait déjà dépassé l’espérance de vie de leur pays d’origine et/ou souffrait de multiples comorbidités… ce qui n’était pas le cas lors des grandes épidémies précédentes où les jeunes mourraient par millions.À noter aussi que les statistiques dites « officielles » des gouvernements sont toutes sujettes à caution, chacun pouvant les manipuler à sa guise pour des objectifs politiques (entre autres) où rencontrer des problèmes de remontées d’information. Sur trois années d’observation attentive, j’ai pu noter ces manipulations de l’information Covid au Royaume-Uni, en Espagne et en France.***Situation par continents, sous continents, et pays les plus affectés1. L’EuropeEncore et toujours épicentre de l’épidémie depuis la mi-octobre 2021, donc depuis dix-huit mois, l’Europe a vu sa situation se détériorer en décembre 2022, et jusqu’au 12 janvier 2023. Elle s’améliore désormais depuis la mi-janvier pour atteindre aujourd’hui la plus faible mortalité depuis 3 ans. Ce sont le Royaume-Uni, l’Allemagne, et l’Espagne qui totalisent, à eux seuls, la majorité des décès européens de la dernière semaine de mars 2023. À noter que le Royaume-Uni qui avait, de loin, les pertes les plus élevées d’Europe à la mi-mars 2023 a renoncé à les déclarer après l’explosion du scandale des lockdown files. Il ne faut plus parler des choses qui fâchent. La crise ukrainienne, l’inflation, la crise énergétique, la récession et l’effondrement des systèmes de santé ne vont aider l’Union européenne hyper-vaccinée à se sortir de la position peu envieuse et peu glorieuse d’épicentre de ce qui reste de l’épidémie, position qu’elle pourrait bien conserver jusqu’à la fin de l’année 2023. Trois pays européens déclarent encore plus de 250 décès en 7 jours : L’Allemagne, l’Espagne et le Royaume-Uni (qui ne les déclare plus, mais qui en déclarait encore 804 dans la semaine du 11 au 18 mars 2023. Le Premier ministre Shunak préfère désormais cacher à sa population les chiffres les pires d’Europe.1-1. Le Royaume-Unientretient le flou sur la réalité de ses pertes Covid qu’il n’a pas déclarées depuis 3 semaines. Il a compris, avant les autres, que le meilleur moyen de faire disparaître l’épidémie était de ne plus en parler.Le compteur général du nombre des décès britanniques de la Covid présenté sur Worldometer s’est donc arrêté à 209 396 à la mi mars, ce qui représentait déjà près de 10 000 décès depuis le début de l’année 2023. Ce nombre était le plus élevé déclaré dans le monde en 2023 derrière celui des USA (à près de 36 000) et devant l’Allemagne qui a approché, elle aussi, les 10 000 décès en 2023.On comprend mieux, dès lors, que le Royaume-Uni ne préfère plus parler d’une gestion de l’épidémie calamiteuse, qui a été depuis 2020 et qui est restée, depuis le début de l’année 2023, l’une des pires du monde. D’autant que le scandale dit des « Lockdown Files » est venu éclairer la population britannique sur l’incompétence abyssale de sa gouvernance dans la gestion de la crise sanitaire.1-2. L’ItalieLa situation s’est progressivement et sensiblement améliorée depuis début janvier 2023. Le nombre de décès est tombé à 19 décès/jours. Pour autant, l’Italie restera très probablement à la troisième place pour le nombre des décès en Europe avec plus de 189 000 décès attribués à la Covid1-3. La FranceSans surprise, la situation y est comparable à celle de l’Italie. Depuis début janvier 2023, le nombre des décès quotidien (moyenne sur 7 jours) a été divisé par quatre, passant de 120 décès/jours à 30 décès jours en 3 mois.À ce jour, 80,6% des Français, sous la pression de mesures coercitives pour une large part, « auraient » reçu une dose de vaccin, 78,4% auraient un schéma vaccinal complet (en 2 ans et 3 mois de campagne). Il faut réaliser que ce schéma vaccinal complet peut l’être par un simple test positif suivi d’une guérison, qui a valeur de « booster » et que 60% des français ayant été testés positifs (dont certains plusieurs fois) seraient, en large part, immunisés naturellement. Ces contaminations Omicron ont fortement contribué à accroître le nombre de schémas vaccinaux complets.Comme partout ailleurs dans le monde, les résultats attendus de la vaccination expérimentale n’ont pas été au rendez vous, en France. Une forte majorité des vaccinés admet s’être fait vaccinée sous les pressions des mesures prises par le gouvernement pour interdire aux non vaccinés de vivre et de travailler normalement. Un nombre important d’électeurs ont fait payer au président, lors des législatives, une gestion perçue comme dictatoriale et surtout inefficace de la crise sanitaire. Il a perdu sa majorité parlementaire, tout comme Benjamin Netanyahou en Israël quelques mois avant lui et Joe Biden aux USA, et pour les mêmes raisons de déclin économique largement du à la gestion de la pandémie.Mais beaucoup de français renoncent aujourd’hui à la 3ème ou à la 4ème doses de rappel, comprenant qu’ils entrent dans un cycle sans fin de vaccinations quadrimestrielles sans aucun bénéfice pour leur santé, d’autant que le nombre et la gravité des effets secondaires des vaccins commencent à être connus et documentés et que les nouveaux variants se jouent des vaccins proposés sur le marché et sont de moins en moins létaux. Certains renoncent même au vaccin contre la grippe… (???)On a été très loin, en France, du consentement « libre et éclairé » requis dans ce genre d’acte médical « expérimental », surtout lorsque l’expérimentation n’est pas une réussite.Les chiffres français sont d’ailleurs peu fiables car ils émanent des autorités sanitaires et politiques françaises et de leurs relais médiatiques qui ont déjà beaucoup, beaucoup trop menti depuis le début de cette épidémie et sur bien d’autres sujets de politique intérieure ou étrangère.Peut être devraient-elles regretter de ne pas avoir utilisé toute la palette des traitements précoces existant sur le marché et d’avoir interdit aux médecins de ville de soigner et de prescrire des molécules jugées efficaces presque partout ailleurs dans le monde… Bien sûr, elles rendront toujours les nouveaux variants, plus malins qu’elles, et les non vaccinés responsables de l’échec de leur stratégie, sans jamais se poser la question qui tue : Les vaccins expérimentaux anti Covid, élaborés à la va-vite, ont-ils eu, ou non, un  jour ou quelque part, l’efficacité que Pfizer, multi-condamné pour tromperie aggravée, leur prête ?Courbe du nombre de tests positifs en France au 1er avril 2023 0h00 GMT (en bleu, moyenne sur les 7 derniers jours)France : courbe des décès quotidiens (en barre grise) et moyenne quotidienne sur 7 jours (en orange)Le taux de mortalité Covid français reste, à ce jour, près de 3 fois supérieur à la moyenne mondiale avec 2,53 décès pour mille habitants en 3 ans, pour une moyenne mondiale de 0,88/1000h.Rattrapée par l’Allemagne pour le nombre des décès, la France est passée de la 4ème à la 5ème place européenne (sur 48 pays ou territoires) derrière la Russie, le Royaume-Uni, l’Italie et l’Allemagne. Elle se place à la 10ème place mondiale sur 219 pays ou territoires touchés. Merci aux autorités de santé et à l’exécutif qui ont interdit aux médecins de prescrire les traitements précoces efficaces, avec le consentement éclairé de leurs patients…, traitement qui ont parfaitement réussi en Afrique et en Asie où ils ont été massivement utilisés.1-4. L’EspagneLa situation est stable. Le nombre des décès plafonne à 37 décès/jour sur les 7 derniers jours. Le gouvernement espagnol a renoncé depuis longtemps à toutes les mesures liberticides, jugées inefficaces et le pays ne s’en porte pas plus mal.Courbe du nombre de décès en Espagne1-5. L’AllemagneLa situation y est en amélioration. Un pic de contamination a été enregistré le 11 octobre 2022 (105 000 cas/j). L’Allemagne aurait vacciné à ce jour, 77,8% de sa population (dont 76,2% avec schéma vaccinal complet) 45,7% ayant été testés positifs et guéris de la maladie seraient immunisés naturellement. À la lecture des courbes ci-après, chacun peut réaliser qu’en 2021 et 2022, la vaccination n’aura servi strictement à rien en Allemagne. L’évolution au 1er trimestre 2022 et au 1er trimestre 2023 nous répète que, comme partout ailleurs, c’est l’hiver, l’âge et le surpoids qui tuent. Et il n’existe pas de vaccin contre l’hiver, l’âge et le surpoids.L’Allemagne fait partie des nombreux pays très vaccinés qui auront déclaré beaucoup plus de décès en 2022 (48 000), avec un variant Covid  moins létal, qu’en 2020 sans vaccin avec un virus beaucoup plus létal (34 234). Au premier trimestre 2023, l’Allemagne aura déclaré 9500 décès de la Covid. Elle se place en deuxième position derrière le Royaume-Uni pour le nombre de décès déclarés Covid de 2023, en Europe. Courbe du nombre de cas déclarés en Allemagne au 1er avril 2023 0h00 GMT.Courbe des décès en Allemagne au 1er avril 2023 0h00 GMT (moyenne sur 7 derniers jours)1-6. La BelgiqueAvec un taux de mortalité de 2,92 décès par millier d’habitants, la Belgique a amélioré considérablement sa situation depuis 2020 à l’inverse de nombreux pays européens. En 2022, elle a divisé par 4 le nombre de décès qu’elle avait déclaré en 2020. Elle est désormais devancée par 19 pays européens qui déclarent un taux de mortalité supérieur au sien. Avec seulement 831 décès déclarés au 1er trimestre 2023, la Belgique améliore encore sa situation par rapport aux années précédentes.1-7. La RussieLa Russie déclare désormais 8% des rares décès européens pour 19% de la population. Le nombre des décès quotidiens est aujourd’hui stable et très inférieur à celui de l’Allemagne (voir courbe ci dessous). Il a été divisé par 37 fois depuis le 23 novembre 2021.2. L’Amérique septentrionaleLe nombre hebdomadaire de cas déclarés et de décès a explosé en Janvier 2022 aux USA, champions du monde de la malbouffe et de l’obésité, et dans le peloton de tête de la gestion calamiteuse du « tout vaccinal ».81,1% des citoyens US auraient reçu une première dose de vaccin, 69,4% en auraient reçu deux. Si l’on en croit l’évolution de la vaccination sur les 9 derniers mois, 11,5% des américains ayant reçu une première dose répugnent à se faire injecter la seconde. Les citoyens US seraient donc plus vaccino-sceptiques que les français, ou peut être plus fermes dans leurs convictions. Il est vrai que toute la panoplie des mesures contraignantes appliquées en France n’a pas pu l’être aux USA pour des raisons constitutionnelles, et dans ce pays, la Constitution est respectée. Il est vrai aussi que les effets secondaires sont beaucoup plus documentés aux USA qu’en Europe.Courbe des tests positifs US déclarés au cours de l’épidémieBien que rien dans l’évolution des nombres de contaminations et de décès ne permettait encore de l’affirmer, Joe Biden a déclaré, fin septembre 2022, à 5 semaines de l’élection de mi-mandat, que l’épidémie était terminée aux USA. Sans doute lui fallait-il déclarer une « fake » victoire contre la Covid pour tenter de limiter les dégâts dans cette élection importante. Un mensonge politique de plus, en application des méthodes néoconservatrices et mondialistes portées à la connaissance du public par Mike Pompéo il y a 3 ans : « Nous avons menti, triché, volé, c’est comme si nous avions suivi des stages de formation pour apprendre à le faire. »L’observation des chiffres (dont on ne peut débattre) montre quel’épidémie n’est toujours pas éradiquée aux USA. Bien pire que prévu avec un vaccin qui n’a rien réglé en 2021, et toujours pas en 2022, le nombre des décès a atteint les 1,155 million le 1er avril 2023 0h00 GMT dont 36 706 au premier trimestre 2023.En 2020, année Covid gérée par l’administration Trump, le nombre des décès US avait été de 365 000 pour 20,5 millions de cas déclarés (sans les vaccins). Trump avait été lynché par la meute médiatique occidentale, contrôlée par l’état profond US et ses relais en UE, pour sa gestion jugée calamiteuse de l’épidémie.En 2021, 2022 et 2023, années Covid gérées par l’administration Biden, le nombre des décès US a très largement dépassé celui de 2020 pour s’établir à 1,155 million de décès le 1er avril 2023 soit 790 000 pour la gestion Biden en 2021-22-23.Le lecteur aurait-il entendu les médias critiquer Biden pour les résultats de sa gestion de l’épidémie tout aussi désastreux, avec le vaccin, que ceux de Trump, sans vaccin ? Aurait-il entendu dire que l’efficacité du vaccin n’est pas du tout celle annoncée par Big Pharma ? Où sont les journalistes d’investigation US, européens ou français ? Pourquoi regardent-ils ailleurs ?« On peut débattre de tout sauf des chiffres » : de tels résultats d’une campagne de vaccination de masse, avec un vaccin vendu pour une efficacité de plus de 95% sur les formes graves, devrait interroger les responsables politiques du monde entier.D’autant que les pays les moins vaccinés d’Asie et d’Afrique sont très loin d’afficher des résultats aussi calamiteux… et que les personnes à risque sont beaucoup plus vaccinées que les autres… ce qui devrait entraîner une baisse rapide (et non une stagnation) des décès, si les vaccins étaient efficaces.Les USA comme le Royaume-Uni semblent avoir du mal à déclarer les décès les jours de leur survenance. Les déclarations tardives sont reportées avec étalement sur les jours, voire les semaines précédentes ce qui évite d’inquiéter quotidiennement les populations sur des bilans qui ne sont pas bons. Les chiffres indiqués pour la semaine écoulée ne sont donc pas fiables. Il faut donc remonter à l’avant dernière semaine pour approcher les bilans réels.Au Canada, la situation est quasiment stable. Le taux de mortalité Covid déclaré par les canadiens (1,35/1000h) reste inférieur de moitié à celui de l’Europe (2,68/1000h) et des deux tiers à celui de son voisin US (3,45/1000 h), mais il est bien supérieur à la moyenne mondiale (0,88/1000h). Le Canada fait partie des nombreux pays développés très vaccinés qui auront déclaré beaucoup plus de décès Covid en 2022 (19 000) qu’en 2021 (14 555) et surtout qu’en 2020 sans vaccin (15 428). Avec 90% de vaccinés,  un virus moins létal et 2982 décès déclarés au 1er trimestre 2023, le Canada devrait constater que le résultat est à peine meilleur en 2023 que celui de 2020 sans vaccin. Les médias canadiens auraient-ils rapporté ces chiffres pour éclairer leur  population ? Où est le miracle vaccinal au Canada ? (On peut débattre de tout sauf des chiffres)3. L’AsieRapportée à la population, la mortalité (0,32/1000h en 3 ans) y reste dérisoire et très inférieure à la moyenne mondiale : La situation s’y améliore  progressivement.L’Asie de l’Est et du Sud-Est (Chine, Japon, Vietnam, les deux Corées, Taïwan, Philippines, Indonésie, Laos, Cambodge, Malaisie, Birmanie…) est aujourd’hui la partie la plus touchée d’Asie mais avec un taux de mortalité qui reste infinitésimal. La situation s’améliore progressivement.Le Japon, la Corée du Sud et Taïwan, trois pays très vaccinés, proches des USA et de l’OTAN, comptent à eux seuls plus de 56% de tous les décès du continent asiatique la semaine dernière, alors qu’ils ne comptent que 13% de sa population. Étrange malédiction pour des pays proches des USA et de la « coalition occidentale », qui agissent à leur imitation, et qui ont vu leur mortalité exploser en 2022 et 2023, après une vaccination de masse. Par une étrange coïncidence, ces 3 pays vassalisés par les USA ont tous les trois déclaré beaucoup plus de décès en 2022 et 2023 avec un variant moins létal et l’appui (?) du vaccin, qu’ils n’en ont eu en 2020 sans vaccin ???L’Indonésie enregistre un taux de mortalité encore dérisoire de 0,58 décès/1000 h (très inférieur à la moyenne mondiale de 0,87). Le Japon, pays qui souffre le plus, en ce moment, sur le continent asiatique, déclare un taux de mortalité de 0,59 décès pour mille h (73 908 décès de la Covid en 3 ans pour 126 millions d’h), dont 16 642 décès pour le 1er trimestre 2023.En Asie de l’Ouest, la situation s’améliore. Le taux de mortalité Covid déclaré par l’Inde (0,38 décès/1000h) reste très au dessous de la moyenne mondiale (0,87/1000h) ou de celle de l’Europe (2,68/1000h). Ce taux est aujourd’hui très inférieur à celui du Japon, de Taïwan et de la Corée du Sud.S’agissant de l’Iran, ce pays est toujours un pays sous sanctions économiques « maximales » de la part des USA (au profit d’Israël) et enregistre le 4ème taux de mortalité le plus élevé d’Asie (1,69 décès/mille h), derrière la Géorgie, l’Arménie qui a cumulé la guerre et la Covid et Hong Kong. À noter que les USA cherchent désespérément à susciter et à soutenir un changement de régime en Iran pour avoir accès à son pétrole et son gaz et, bien sûr, pour emmerder la Russie.Situation en Israël, pays pionnier de l’expérimentation vaccinaleAprès 13 mois de campagne de vaccination à outrance, la contamination a explosé en Janvier 2022 en Israël, l’un des meilleurs élèves de la classe « tous vaccinés-tous protégès ». En six semaines, du 14 décembre 2021 (595 cas/jour, moyenne sur 7j) au 23 janvier 2022 (72 913 cas/jour, moyenne sur 7 jours), le nombre de contaminés a été multiplié par 122Le nombre de décès est passé de 1 décès/jour le 31 décembre 2021 à 73 décès/j moyenne sur 7 jours, le 4 février 2022.Pour le pays phare de l’expérimentation vaccinale, le résultat est tout simplement un immense fiasco, quoi que puissent en dire les médias mainstream payés pour minimiser ou occulter l’échec.La situation s’est améliorée considérablement depuis le 4 février 2022.Israël avait déclaré 3325 décès en 2020, sans vaccin. Elle en était à 8243 décès le 31 décembre 2021 soit  8243 – 3 325 = 4918 pour l’année 2021 avec le vaccin. L’année 2022 a été moins bonne qu’en 2020 sans vaccin puisque Israël a déclaré 3794 décès en 2022, soit un total de 12 037 décès pour les 3 premières années. Le vaccin et ses « boosters » n’ont donc pas été aussi efficaces qu’annoncé par Big Pharma, puisque la situation ne s’était pas encore vraiment améliorée en 2022, malgré la plus faible létalité des variants Covid et malgré la multiplication des injections vaccinales sur les personnes les plus fragiles… Au premier trimestre 2023, Israël n’a déclaré que 353 décès. Ce nombre semble marquer la fin de l’épidémie dans ce pays.La Palestine dont 33,9% seulement des habitants ont un schéma vaccinal complet déclare un taux de mortalité Covid de 1,01/1000h, inférieur de 32% à celui d’Israël (1,32/1000h) alors même que le taux de vaccination israélien  (71,1%) est plus que double de celui des palestiniens et que les israéliens, qui partagent la même terre et le même climat, ne vivent pas dans la même promiscuité que les palestiniens regroupés dans des zones « concentrationnaires » (Gaza).Cette mortalité asiatique, y compris celle de l’Inde et de l’Iran, reste aujourd’hui très inférieure à celle des continents américain et européen.Tableau présentant la situation du 1er avril 2023 des 21 pays d’Asie ayant dépassé les 12 000 décès (94% des pertes en Asie)4. L’Amérique latineAvec près de 1,768 million de décès déclarés, le taux de mortalité de l’Amérique latine est inférieur à celui de l’Europe et de l’Amérique du Nord. Sous continent le plus vacciné au monde, l’Amérique latine a vu sa situation se détériorer très fortement en Janvier 2022 (été austral) puis s’améliorer tout aussi vite à partir de la 3ème semaine de février 2022.En Amérique latine, les pertes humaines hebdomadaires déclarées sont en baisse et restent  très faibles alors qu’une bonne partie du sous continent approche désormais de l’hiver austral 2023.Le bilan Mexicain est le plus lourd de la semaine dernière avec près de 36% des pertes « latinos ».Les décès se concentrent dans huit États qui déclarent près de 94% des décès et plus de 20 000 décès chacun. Les autres pays d’Amérique latine restent encore relativement épargnés par l’épidémie.Au Brésil, le cap des 700 000 décès a été franchi, la mortalité Covid diminue progressivement. Le Brésil, vacciné à 88%, a déclaré 40% des pertes latinos de l’épidémie alors qu’il ne compte que 32% de la population de l’Amérique latine…Tableau présentant la situation au 1er avril 2023 des huit pays d’Amérique latine ayant dépassé les 20 200 décès (93,3% des pertes)5. L’AfriqueContinent le moins vacciné, se porte toujours très bien (comparée au reste du monde) :La mortalité liée au Covid y est toujours restée dérisoire. L’Afrique du Sud, sur le podium de la vaccination africaine, compte, à elle seule, 40% des décès du continent pour 4,3% de sa population ?????… Elle a, il est vrai, renoncé à l’emploi de la chloroquine, pour privilégier le « tout vaccinal »… « Tous vaccinés, peu protégés … ??? »Avec la Tunisie, l’Égypte, le Maroc, l’Éthiopie et l’Algérie, seuls autres pays d’Afrique à dépasser les 6500 décès Covid déclarés depuis janvier 2020, elle regroupe 72,5% des décès africains de la Covid.Tableau des pertes déclarées Covid en Afrique au 1er avril 2023Le lecteur notera que, par une très curieuse coïncidence, les deux pays africains qui ont choisi une stratégie « à l’occidentale » de gestion de la crise sanitaire (rejet du traitement précoce à la chloroquine, stratégie du tout vaccinal) : L’Afrique du Sud et la Tunisie, totalisent, à eux seuls, 51% des pertes africaines alors qu’ils ne représentent que 5% de la population du continent… (Sans commentaire).6. L’OcéanieEn janvier 2022, la Covid-19 a explosé sur ce continent malgré un taux de vaccination de 64,6%. L’Australie qui ne compte que 62% de la population du continent Océanien, déclare 75% des pertes Coviden dépit des mesures liberticides les plus draconiennes au monde et un taux de vaccination de 85%, très supérieur à celui de ses voisins ??? On y cherche, en vain, le miracle vaccinal (On peut débattre de tout, sauf des chiffres). Encore un État, proche de l’OTAN et des USA, qui a voulu les imiter, sous l’amicale pression des lobbies pharmaceutiques US, et qui devait être doté d’hommes politiques et d’un « conseil scientifique » tout aussi corrompus et/ou incompétents que les nôtres.Courbe de mortalité de l’Australie Sur 43,5 millions d’habitants, l’Océanie a déclaré, à ce jour, 14 millions de cas, dont 13 millions en 2022, alors que la population du continent était vaccinée à 64%. Curieusement, le pays le plus vacciné du continent et qui a été le plus confiné au monde : l’Australie, est celui où l’on meurt le plus aujourd’hui. 13,83 millions d’habitants auraient déjà été guéris et 26 707 patients seraient décédés, dont 18 850 en 2022 et 3361 au 1er trimestre 2023. Bien étrange cette explosion du nombre de décès de 2022 et 2023 alors même que ce continent, très largement vacciné, devrait être bien protégé des formes graves… ??? Le nombre de cas critiques est passé de 172 au 1er Janvier 2022 à… 174 au 1er janvier 2023 et à 61 au 1er avril 2023.Le continent océanien a encore déclaré 111 décès la semaine dernière. La situation s’améliore, mais beaucoup moins vite qu’ailleurs. Son taux de mortalité Covid de 0,61 décès pour mille habitants a dépassé celui de l’Afrique (0,18) et de l’Asie (0,32) fin mars 2023. Il reste toutefois dérisoire (France : 2,53), et très inférieur au nombre de décès liés à la circulation routière sur le continent océanien.***Nombre de décès déclarés pour 1000 habitants des 34 pays de la planète qui ont déclaré plus de 31 000 décès. La moyenne mondiale  étant de 0,88 décès pour 1000 habitants, 999,12 habitants sur 1000 ont donc survécu à la Covid.Commentaires sur le tableau ci dessus :1. Douze pays de l’OTAN, dont les puissances majeures, se situent dans les 20 premières places de ce triste classement mondial, alors même qu’ils sont parmi les plus vaccinés au monde. Les autres pays membres de l’OTAN ne sont d’ailleurs pas très loin : Grande fragilité des populations âgées et en surpoids ? Faillite des systèmes de santé ? Inefficacité voire contre-productivité des vaccins ? Incompétence et/ou corruption des gouvernances ? Quelles que soient les réponses à ces questions, elles n’augurent rien de bon en cas de conflit majeur impliquant tout ou partie de l’OTAN… contre un ou plusieurs adversaires potentiels eurasiatiques (Chine, Russie, Iran)…Rappelons que les 30 pays de l’OTAN qui ont adopté la stratégie du « tout vaccinal », en parfaite imitation de leur suzerain états-unien, et sur l’amicale pression financière de leurs laboratoires pharmaceutiques, regroupent moins d’un milliard d’habitants, soit 12% de la population mondiale. Ils ont déclaré un total de 2,7 millions de décès soit plus de 39,5% des pertes totales de la pandémie et un taux de mortalité de 2,81 décès pour 1000 habitants.Le reste du monde (non otanien), qui compte 7 milliards d’habitants a donc déclaré 4,13 millions de décès pour 88% de la population mondiale, soit un taux de mortalité de 0,59 pour 1000 habitants, 4,8 fois inférieur à celui des pays de l’OTAN.Dans la « guerre à la Covid-19 », la stratégie otanienne et mondialiste du « tout vaccinal » a donc été un échec puisque les pertes ont été « massives », comparées au reste du monde, sans préjuger, d’ailleurs, des pertes collatérales liées aux effets secondaires des vaccins. L’avenir proche nous éclairera toujours plus sur les bilans comparés des différentes parties  du monde « multipolaire » selon les stratégies appliquées. On peut débattre de tout sauf des chiffres, surtout lorsque le rapport est de 1 à 4,8…En raison des conséquences de l’affaiblissement économique de l’occident lié aux mauvaises gestions de la crise sanitaire et aux sanctions boomerang contre la Russie et compte tenu des bascules de puissance en cours de réalisation, l’OTAN devra revoir sa politique hégémonique d’ingérence tous azimuts et ses ambitions à la baisse, y compris en Ukraine… Les retraits occidentaux d’Afghanistan et du Mali en 2021 en avaient été les premiers signes tangibles… Il y aura d’autres reculs en 2023 et après.2. Les donneurs de leçons anglo-saxons (USA, UK) et, à un moindre degré, l’Allemagne et la France, pays qui tiennent encore le haut du pavé dans les institutions internationales (OMS, ONU, FMI, Banque mondiale, UE, OTAN, AUKUS, OMC, CIO), sont désormais assez mal placés pour prodiguer leurs conseils, avec condescendance, au reste du monde, et pour ramener leur « science » à tout propos. Les pays du tiers monde ont observé avec intérêt la gestion « à l’occidentale » de la crise sanitaire, et celle de la crise ukrainienne. Ils sauront, au fil du temps, se rallier aux partenaires les plus fiables du moment… accélérant ainsi le déclin en cours de ceux qui ont failli.3. Quant à l’Inde qui a fait l’objet de l’hystérie des médias « covidistes » en juin 2021, force est de reconnaître que, rapporté à sa population, son taux de mortalité déclaré depuis le début de l’épidémie reste encore près de 6 fois inférieur à celui de notre pays. Les États de la fédération indienne sont des États qui ont très majoritairement fait le choix des traitements précoces efficaces et peu onéreux (ivermectine, chloroquine, azytromycine), choix que les pays occidentaux ont refusé de faire pour privilégier un vaccin qui est aujourd’hui en situation d’échec face aux nouveaux variants du virus en Israël, aux USA, au Royaume-Uni, en Allemagne, à Singapour, aux Émirats, en Australie, dans les pays baltes, en Islande… et ailleurs…4. La Chine ne figure pas dans ce triste palmarès parce qu’elle n’a déclaré que 5272 décès depuis début 2020, aucun décès en 2021 et 612 décès en 2022 et quelques dizaines en 2023. On me rétorquera, bien sûr, le slogan habituel bien connu : « La Chine ment ». Si c’était le cas, la vérité aurait forcément filtré via nos représentations diplomatiques, les nombreux binationaux vivant sur place, les espions occidentaux infiltrés, l’OMS, les ONG, etc. L’économie chinoise ne tournerait pas à bon régime. (croissance 2022 : + 6,2%). Toute argumentation de mauvais perdant ne tient donc pas la route. Les occidentaux ne devraient-ils pas, pour une fois, faire preuve d’humilité et demander quelques conseils aux chinois ? Eux qui ont vertement critiqué les confinements en Asie après les avoir largement pratiqué dans un passé récent en Europe…Un tableau présente ci après  les bilans au 1er avril 2023 0h00 GMT des 61 pays ayant déclaré plus de 12 000 décès (95% des pertes).Nota Bene : Le Royaume-Uni ne déclare plus ses décès depuis la mi-mars 2023. Il aura donc déclaré 10 000 décès en deux mois et demi de 2023. C’est le pire des bilans des pays européens en 2023.***Tableau de données concernant l’Europe (et l’UE) face à l’épidémie au 1er avril 2023 0h00 GMTRappel : taux de mortalité Covid mondial en 3 ans 0,88 décès /mille h et européen : 2,68 décès/mille  hNombre de décès Covid déclarés par millier d’habitants et depuis février 2020, des 34 pays européens de plus de 1,5 million d’habitants affectés par l’épidémie (au 1er avril 2023 0h00 GMT)Enfin, pour ceux qui s’intéressent aux résultats de la vaccination pour les pays de l’OTAN, voici un tableau d’évolution de la mortalité entre les années 2020 (sans vaccin) et 2021-2022-2023 (avec vaccin). Chacun pourra l’interpréter à sa manière… en n’oubliant pas que les personnes à risque ayant été vaccinées en priorité, les résultats sur la baisse de la mortalité auraient dû se percevoir très vite et être spectaculaires au cours de l’année 2021, et encore mieux en 2022 et 2023, si le vaccin avait eu une quelconque efficacité… ce qui n’a pas été le cas, bien au contraire…Onze pays de l’OTAN très vaccinés ont déclaré plus de décès en 2022 qu’en 2020 sans vaccin, alors que le variant était reconnu moins létal en 2022 par toute la communauté scientifique, sans exception. La vertueuse Norvège, aujourd’hui vaccinée à 80% (Pfizer et Moderna) a déclaré 7,5 fois PLUS de décès en 2022 (3252) qu’en 2020 sans vaccin (436). Les autorités de santé françaises et les médecins de plateau TV auront du mal à me convaincre de la qualité des deux produits (Pfizer et Moderna) injectés aux norvégiens, et vendus pour 95% d’efficacité sur les formes graves. On peut débattre de tout sauf des chiffres.Quatre autres pays de l’OTAN n’ont connu que des améliorations insignifiantes entre 2022 avec vaccin et 2020 sans vaccin.Les quelques pays de l’OTAN qui ont enregistré vraiment moins de décès en 2021 et en 2022 qu’en 2020 sont souvent les pays qui avaient tellement mal démarré la gestion de la crise en 2020, qu’ils pouvaient difficilement faire pire en 2021 et 2022 (C’est incontestablement le cas du Royaume-Uni, de la France, de la Belgique, de l’Espagne et de l’Italie).Voir le tableau ci après : sources Our Word in Data et Worldometer30 pays de l’OTAN : Résultats de la « Guerre à la Covid » par taux de mortalité avec stratégie du « tout vaccinal Commentaires  sur le tableau ci dessus :1. Comme elles le font en toutes occasions et dans tous les domaines, les gouvernances des pays de l’OTAN ont imité leur chef de meute US et se sont lancés dans une politique d’expérimentation vaccinale de masse. Prétendant agir « au nom » du principe de précaution, mais sans respecter les principes de précaution élémentaires dans l’élaboration et l’administration d’un vaccin, et refusant d’assumer leurs responsabilités en cas d’échec et d’effets secondaires graves, elles ont utilisé  des mesures de coercition et construit des narratifs mensongers pour « vendre » leur produit expérimental à des clientèles captives et à des populations trop crédules, afin de « faire de l’argent ».2. Après avoir pris le recul nécessaire pour apprécier les résultats, on ne peut que constater que cette expérimentation est un échec monumental. En effet, elle n’a permis nulle part de contrôler l’épidémie et même de limiter la mortalité des plus âgés et des plus fragiles. Les exemples abondent de pays hyper-vaccinés qui ont vu leur mortalité exploser en début de 2022 et compter plus de décès en 2022 avec vaccin qu’en 2020 sans vaccin.3. En 2022, alors que les otaniens continuent d’essayer de vendre leurs « boosters » à des populations de plus en plus sceptiques et réluctantes à enchaîner les doses, tous les 4 ou 6 mois, jusqu’à la fin des temps, sans aucun résultat probant, les pays de l’OTAN (12% de la population mondiale), plus vaccinés que les autres, ont enregistré, à eux seuls, plus de pertes (625 727 décès) que le reste du monde (88% de la population mondiale) qui en a compté 618 632.Au 1er trimestre 2023, l’excédent de mortalité pour les pays de l’OTAN par rapport au reste du monde est encore pire qu’en 2022. 78 581 décès déclarés par les pays membres de l’OTAN, contre 55 813 déclarés par le reste du monde. Il y aurait vraiment matière à s’interroger sur la gestion de l’épidémie dans ces pays qui ont trop souvent agi, sans réfléchir, à l’imitation de leurs partenaires anglo-saxons USA-UK. Jusqu’à quand s’acharneront-ils à les prendre en références, alors qu’ils se sont montrés parmi les plus mauvais dans la gestion de l’épidémie ? Les déco(nn)eurs du Monde ou de Libération vont nous expliquer que c’est parce que nous sommes plus âgés et plus en surpoids que les autres, que les occidentaux otaniens décèdent 4,8 fois plus de la Covid que le reste du monde. Nous le savions déjà. Mais où est donc le miracle vaccinal annoncé ?4. Jamais dans l’histoire de la vaccination, l’injection d’un produit expérimental n’a donné des résultats aussi peu probants. Il est stupéfiant de voir certains pays occidentaux, mais pas tous heureusement, persister dans l’erreur et refuser d’admettre qu’ils ont été trop vite en besogne.La simple observation/comparaison des chiffres devrait éclairer les élites otaniennes. Comme elles nous l’ont répété quotidiennement pendant des mois : On peut débattre de tout, sauf des chiffres.5. Il faudra bien un jour se pencher sur les effets secondaires avec précision et exhaustivité : leur nombre et leur gravité. Cela viendra encore alourdir le bilan des laboratoires pharmaceutiques, des politiques et des autorités de santé qui les ont suivi aveuglément et/ou se sont laissés corrompre.6. Sur le premier trimestre 2023, les 30 pays de l’OTAN, très vaccinés, ont eu un taux de mortalité COVID de 81,9/million d’ h, plus de 10 fois fois supérieur à celui du reste du monde pour la même période : 7,93/million d’h. Cela veut clairement dire que ces pays se remettent moins vite de l’épisode Covid que le reste de la planète. Tous les pays de l’OTAN, sans aucune exception, ont un taux de mortalité par milliers d’habitants supérieur à la moyenne du monde non otanien. Cherchez l’erreur…« On peut débattre de tout, sauf des chiffres. »
Dominique Delawarde
Source : https://www.breizh-info.com/2023/04/06/218201/covid-19-quels-sont-jusqua-present-les-resultats-planetaires-de-lexperimentation-vaccinale-de-masse-le-point-de-situation-a-avril-2023/

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