Un vrai journaliste, un PROFESSIONNEL de l’information se doit, en tout premier lieu, d’être objectif et rendre compte des évènements après avoir observé par lui-même de la réalité des situations qu’il commente. L’information est devenue aujourd’hui plus un message de propagande qu’une véritable tentative d’expliquer aux lecteurs, auditeurs et téléspectateurs la Vérité.
Après les « experts » médicaux des plateaux télé pendant la pseudo-crise Covid nous avons droit désormais à « l’expertise » de personnages qui ne sont jamais allés sur le terrain mais savent tout sur tout !
Chacun ayant le droit de s’informer librement sans être obligé de subir la propagande qui nous est imposée, voici une autre vision de la situation.
Sur la répression de la liberté de religion en Ukraine
Le régime de Kiev, largement soutenu par ses partenaires occidentaux, poursuit sa politique visant à faire cesser toutes les activités de l’Église orthodoxe ukrainienne (patriarcat de Moscou) dans le pays. Cette politique s’inscrit dans la stratégie globale de Washington et de ses satellites qui a pour but de rompre les liens culturels et spirituels entre les peuples russe et ukrainien, de limiter l’influence internationale du patriarcat de Moscou et plus généralement d’affaiblir la position de l’orthodoxie en tant que pilier des valeurs spirituelles et morales dans le monde.
On assiste à l’augmentation du nombre de cas de saisie par la force des bâtiments de l’Église orthodoxe ukrainienne, de liquidation de ses communautés, y compris sous une forme de «transferts volontaires» vers d’autres confessions, surtout sous l’omophore de «l’Église orthodoxe d’Ukraine» (l’EOU), une structure schismatique et artificiellement créée.
La violence psychologique et physique, les pressions administratives exercées sur les paroissiens et le clergé par les adeptes de l’EOU et les groupes radicaux, allant jusqu’à l’assassinat de membres du clergé, telle est la réalité de la vie sociale de l’État ukrainien.
À cette fin, les autorités ukrainiennes utilisent largement l’appareil répressif du Service de sécurité de l’Ukraine (SBU) qui a intensifié les détentions massives, les arrestations et les perquisitions dans les églises et les monastères. Des «sanctions» ont été imposées à dix hiérarques de l’Église orthodoxe ukrainienne, les privant du droit d’administrer des biens en Ukraine. Un nombre d’ecclésiastiques ont été privés de leur nationalité ukrainienne. Une campagne de diffamation a été lancée dans les médias, impliquant des hommes politiques et des hauts fonctionnaires.
La Plume du Citoyen 
Petit Rappel que malheureusement je crains insuffisant tant les mentalités de beaucoup trop de nos journalistes (mainstreams tous médias) ont été « emboucanés » par la dite bien-pensance :
Pour faire de la « Communication » ou du « journalisme » et « promouvoir » de l’information grâce à des cellules régionales. Alors on utilise la « Charte de Munich » Novembre 1971
Voilà ce qu’elle dit.
Les dix devoirs de la charte
1. Respecter la vérité quelles qu’en puissent être les conséquences pour lui-même, et ce, en raison du droit que le public a de connaître la vérité.
2. Défendre la liberté de l’information, du commentaire et de la critique.
3. Publier seulement les informations dont l’origine est connue ou les accompagner, si c’est nécessaire, des réserves qui s’imposent ; ne pas supprimer les informations essentielles et ne pas altérer les textes et les documents.
4. Ne pas user de méthodes déloyales pour obtenir des informations, des photographies et des documents.
5. S’obliger à respecter la vie privée des personnes.
6. Rectifier toute information publiée qui se révèle inexacte.
7. Garder le secret professionnel et ne pas divulguer la source des informations obtenues confidentiellement.
8. S’interdire le plagiat, la calomnie, la diffamation, les accusations sans fondement ainsi que de recevoir un quelconque avantage en raison de la publication ou de la suppression d’une information.
9. Ne jamais confondre le métier de journaliste avec celui du publicitaire ou du propagandiste ; n’accepter aucune consigne, directe ou indirecte, des annonceurs.
10. Refuser toute pression et n’accepter de directives rédactionnelles que des responsables de la rédaction.
Les cinq droits de la charte
1. Les journalistes revendiquent le libre accès à toutes les sources d’information et le droit d’enquêter librement sur tous les faits qui conditionnent la vie publique. Le secret des affaires publiques ou privées ne peut en ce cas être opposé au journaliste que par exception en vertu de motifs clairement exprimés.
2. Le journaliste a le droit de refuser toute subordination qui serait contraire à la ligne générale de son entreprise, telle qu’elle est déterminée par écrit dans son contrat d’engagement, de même que toute subordination qui ne serait pas clairement impliquée par cette ligne générale.
3. Le journaliste ne peut être contraint à accomplir un acte professionnel ou à exprimer une opinion qui serait contraire à sa conviction ou sa conscience.
4. L’équipe rédactionnelle doit être obligatoirement informée de toute décision importante de nature à affecter la vie de l’entreprise. Elle doit être au moins consultée, avant décision définitive, sur toute mesure intéressant la composition de la rédaction : embauche, licenciement, mutation et promotion de journaliste.
5. En considération de sa fonction et de ses responsabilités, le journaliste a droit non seulement au bénéfice des conventions collectives, mais aussi à un contrat personnel assurant sa sécurité matérielle et morale ainsi qu’une rémunération correspondant au rôle social qui est le sien et suffisante pour garantir son indépendance économique.
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Merci pour ce rappel ô combien indispensable en ces temps de mensonges, de diffamations, de duperies ! Combien de journalistes honnêtes, sérieux et intègres, respectent-ils encore cette Charte de Munich ? Ils ne sont pas légions ! Et le bon peuple de gober tout ce que les journaleux veulent leur faire avaler ! Rappelons-nous l’énorme machination de la pseudo pandémie !
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