L’endettement de la France atteint des sommets inacceptables par l’incompétence des acteurs politiques qui ne remplissent pas le rôle qui leur est dévolu. Il est urgent de freiner cette gabegie financière en écartant du pouvoir tous les responsablespolitiques et hauts fonctionnaires nous y ayant entraîné et poursuivant leur oeuvre funeste. C’est l’unique solution pour sauver le pays du surendettement contre lequel nous ne pourrons rien faire. Les loups de la finance se jetteront alors sur la France pour finaliser son dépeçage et faire des Français qui auront pu survivre à cet enfer, des asservis.
Il est temps de refondre notre modèle politique et de cesser de laisser les mains libres à des individus qui ne servent pas le peuple mais s’en servent pour leurs propres intérêts.
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Source : https://fipeco.fr
La Plume du Citoyen 
Petite correction d’un « ami » ayant vécu au Japon pour y créer la filaile d’un groupe français : Premier créancier du monde
« Un scénario grec est hautement improbable pour le Japon », commente Marcel Thieliant, analyste de Capital Economics. Principale raison, les autorités peuvent s’appuyer sur une exceptionnelle épargne nippone. La dette est, à plus de 90 %, détenue par des investisseurs japonais, en particulier par la Banque du Japon (BoJ) qui a lancé en avril 2014 un vaste programme de rachat d’actifs, au premier rang desquels des obligations d’État.
« Ne pas appartenir à une union monétaire autorise une marge de manoeuvre beaucoup plus importante », souligne M. Thieliant. « Contrairement à la BoJ, la Banque de Grèce ne peut pas acheter d’obligations sur le marché secondaire tant que la Grèce reste dans la zone euro ».
Autre élément de nature à rassurer les investisseurs, les importants placements nippons à l’étranger. « Le montant net des investissements japonais s’élevait à 367 000 milliards de yens fin 2014 (2 530 milliards d’euros au cours de l’époque), faisant du Japon le premier créancier mondial (devant la Chine), et ce, depuis 24 ans », relève Harumi Taguchi, du cabinet IHS. Malgré la déflation qui le hante, le Japon demeure une économie puissante – la troisième plus importante de la planète –, dotée d' »un secteur bancaire et d’une industrie solides », selon l’économiste.
Mais la France appartient elle à une union monétaire qui s’appelle EURO qui nous cout eselon le Centre for European Policy (CEP) think tank (groupe de réflexion) allemand, le coût (que l’on pourrait traduire par le manque à gagner du PIB ?) de l’Euro pour la France de 1999 à 2017 (inclus) serait de 3 591 milliards d’euros en 18 ans soit, quasiment 200 milliards par an, de quoi rêver d’un budget de l’État à l’équilibre et/ou de reconstruire notre Industrie et créer des emplois. https://www.cep.eu/fileadmin/user_upload/cep.eu/Studien/20_Jahre_Euro_-_Gewinner_und_Verlierer/cepStudie_20_Jahre_Euro_Verlierer_und_Gewinner.pdf
Cordialement
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200 milliards/an ! Des chiffres à vous donner le tournis ! Vivement le frexit et le retour d’une monnaie française et non commune à l’Europe ! Le coût de la vie a bondi depuis la mise en circulation de l’euro, on s’en aperçoit tous les jours ! Oui, à quand le retour d’un budget de l’Etat à l’équilibre ?? Quand cette clique d’incompétents aura été éjectée !! (impossible d’envoyer ce commentaire en réponse à François BONGAS !!??)
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