Toute cette classe politique, tous ces médecins des plateaux télé imbus de leur « savoir », tous ces journalistes vivant de subventions et autres tristes personnages irresponsables qui ont manipulé la population pour la soumettre aux exigences d’instauration d’un « nouveau monde » voulu par l’oligarchie financière anglo-saxonne devraient lire l’article du « Lancet » évoquant l’immunité naturelle et réfléchir aux conséquences de leur incompétence manifeste et de l’immense irresponsabilité qu’ils portent dans la gestion de la crise Covid soigneusement préparée pour une gigantesque opération de manipulation psychologique des populations.
Les confinements inutiles ont été dévastateurs sur un plan psychique au sein des populations leur ayant béatement accordé leur confiance. L’imposition d’une obligation vaccinale à certaines catégories de personnels et insidieusement « infligée » à des personnes peu conscientes des risques encourus en sachant pertinemment qu’il s’agissait d’une expérimentation clinique d’une substance de thérapie génique dont on connaît la nocivité aujourd’hui est un véritable scandale.
Finalement la revue The Lancet admet que l’immunité naturelle est supérieure à celle produite par les vaccins Covid à ARNmessager !
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« » »L’immunité acquise lors d’une infection antérieure au COVID-19 offre une protection solide et durable contre les conséquences graves de la maladie à un niveau « équivalent sinon supérieur » à celui fourni par les vaccins à ARNm, selon une étude publiée récemment dans The Lancet.
Les chercheurs ont mené une revue systématique et une méta-analyse de 65 études dans le monde, fournissant des preuves accablantes pour étayer ce que de nombreux scientifiques, médecins et études déclaraient depuis le début de la pandémie de COVID-19 que The Lancet reconnaît enfin » l’immunité naturelle offre une protection supérieure aux vaccins expérimentaux ».
« Seul le tsunami de propagande et de censure du cartel de la biosécurité pharmaceutique/gouvernementale et des médias contrôlés a persuadé le public que Pfizer et Moderna étaient La solution pour protéger le système immunitaire humain que Dieu et l’évolution », (Robert F. Kennedy, Jr., président et avocat en chef des litiges pour Children’s Health Defence).
L’étude a révélé que l’immunité acquise par l’infection était souvent supérieure et diminuait plus lentement que l’immunité de deux doses d’un vaccin à ARNm. Les chercheurs ont montré que l’immunité naturelle était efficace à au moins 88,9 % contre les maladies graves, les hospitalisations et les décès pour toutes les variantes du COVID-19, 10 mois après l’infection. Il a également été démontré que cela fourni une protection de 78,6 % contre la réinfection pour tous les variants à l’exception de l’omicron BA.1, pour lequel la protection était de 45,3 %.
Lors d’une réunion en octobre 2022 du comité consultatif sur les pratiques de vaccination des CDC (Centers for Disease Control and Prevention du Ministère de la santé US), celui-ci a présenté des données montrant que l’immunité acquise par le vaccin après deux ou trois injections est de zéro six mois après l’injection, puis devient négative.
L’étude du Lancet a montré que « bien que la protection contre la réinfection de toutes les variantes diminue avec le temps, notre analyse des données disponibles suggère que le niveau de protection offert par une infection antérieure est au moins aussi élevé, sinon supérieur, à celui fourni par la vaccination à deux doses » en utilisant des vaccins à ARNm de haute qualité (Moderna et Pfizer-BioNTech).
L’étude a été financée en partie par la Fondation Bill et Melinda Gates. Parmi les auteurs figuraient le Dr Christopher Murray, directeur de l’Institute for Health Metrics and Evaluation, l’institut financé par Gates celui-là même qui était « en grande partie responsable des calculs de mortalité notoirement exagérés lesquels ont largement surestimé les décès par COVID (20 faux décès pour 1 réel) au début de la pandémie ».
Les auteurs ont fait valoir, sur la base de leurs conclusions, que l’immunité naturelle devrait être reconnue avec les vaccins lorsque les autorités envisagent de restreindre les voyages, l’accès aux lieux et le travail en fonction du statut vaccinal.
Commentant ces conclusions, le Dr Meryl Nass, spécialiste en médecine interne et épidémiologiste, a déclaré :
« Tout en présentant cela comme une reconnaissance que l’immunité naturelle confère une protection, ce qu’elle fait également, c’est de fournir un accord tacite sur le fait que les politiques imposées par le gouvernement restreignant les voyages sont acceptables. Il fournit en outre une approbation tacite des passeports vaccinaux ».
La guerre du « cartel » contre l’immunité naturelle
En octobre 2020, The Lancet avait publié un article – « Consensus scientifique sur la pandémie de COVID-19 : nous devons agir maintenant » – par des auteurs dont la directrice du CDC Rochelle Walensky, qui a été largement couvert par la presse grand public. Ils avaient alors déclaré qu' »il n’y a aucune preuve d’une immunité protectrice durable contre le SRAS-CoV-2 après une infection naturelle » et que « la conséquence d’une immunité décroissante présenterait un risque pour les populations vulnérables dans un avenir indéfini ».
Mais en novembre 2021, une demande de la Freedom of Information Act (FOIA) a forcé le CDC à admettre qu’il n’avait même pas collecté de données sur l’immunité naturelle.
Puis, en janvier 2022, le CDC a été contraint de réviser sa position sur l’immunité naturelle envers le Covid-19, reconnaissant dans un rapport que celle-ci était au moins trois fois plus efficace que la vaccination pour empêcher les personnes d’être infectées par la variante Delta.
Les sociétés pharmaceutiques étaient également conscientes des avantages de l’immunité acquise naturellement, bien qu’elles n’aient pas fait état de cette information, comme l’ont révélé un certain nombre de documents.
En octobre 2021, Project Veritas a dévoilé les affirmations de 3 responsables de Pfizer précisant que les anticorps offraient une protection égale, voire meilleure, contre le virus par rapport au vaccin (The Defender).
Plus tard, en avril 2022, des documents de Pfizer détenus par la Food and Drug Administration (FDA) américaine et publiés sur ordonnance d’un tribunal ont confirmé que Pfizer était conscient que l’immunité naturelle était aussi efficace que son vaccin COVID-19 pour prévenir les maladies graves (Kim Iversen, journaliste).
Plus récemment, des fichiers de Twitter ont permis de révéler le fait qu’un membre du conseil d’administration de Pfizer et dirigeant de la FDA avait fait pression sur le réseau social pour réagir contre un message soulignant avec précision que l’immunité naturelle est supérieure à la vaccination contre le COVID-19 (Epoch Times).
Les demandes de la FOIA ont également révélé que le Dr Anthony Fauci et son patron, le directeur des Instituts nationaux de la santé, Francis Collins, se sont entendus pour supprimer la Déclaration de Great Barrington, qui soutient que l’immunité naturelle joue un rôle important dans l’atténuation des dommages publics causés par le COVID-19 (The Defender).
Les vaccins échouant ils deviennent, par conséquent, inutiles
Les médias qui ont rendu compte de l’étude, y compris NBC, ABC et U.S. News & World Report, continuent de plaider en faveur de la vaccination comme le moyen le plus important de se protéger contre les maladies graves et les décès dus au COVID-19. Ceci à l’encontre même des défenseurs des vaccins, Bill Gates et Fauci, aient admis que les vaccins COVID-19 ne sont pas vraiment efficaces.
Dans un article publié le mois dernier dans Cell Host and Microbe, Fauci et ses co-auteurs ont confirmé que les virus respiratoires à prédominance muqueuse, y compris la grippe, les coronavirus, le virus respiratoire syncytial, ou VRS, et le rhume « n’ont pas été à ce jour efficacement contrôlés par vaccins homologués ou expérimentaux.
Ils ont conclu que « des vaccins durablement protecteurs contre les virus respiratoires muqueux non systémiques avec des taux de mortalité élevés ont jusqu’à présent échappé aux efforts de développement de vaccins ».
Le Dr Nass a déclaré que, si pour The Lancet il est important de publier ces éléments sur l’immunité naturelle, il n’en reste pas moins vrai que le but des auteurs de l’article, tel par exemple les aveux de Gates et Fauci, est destiné à effacer discrètement, sans même exprimer la moindre excuse, les vaccins COVID actuels, tout en impliquant le fait que plus d’argent est nécessaire pour développer de nouveaux types de vaccins. Personne n’a fait d’erreurs. Personne n’est à blâmer. Chris Murray ne s’est jamais trompé avec ses estimations farfelues. Non, contentez-vous de financer la Science et laissez la faire ! » » »
Source : Brenda Baletti
CDC : https://www.cdc.gov