Cet article fait suite aux 2 précédents : Lettre ouverte à la jouvence et Réinitialisation du monde-1.
Le XXIè siècle appartient à la jeunesse qui n’a d’autre choix que de se défendre avec la plus grande énergie possible contre l’ogre mondialiste lequel n’aura de cesse de rogner ses droits et libertés pour la convertir au néo-esclavagisme qu’il entend lui imposer.
Si nous ne réagissons pas et n’agissons pas rapidement et avec sagesse, les renards auront bientôt le contrôle total du poulailler.
Objectifs mondiaux et grande réinitialisation pour un contrôle technologique mondial.
L’Agenda 2030 des Nations Unies avec ses objectifs de développement durable est censé « assurer la paix et la prospérité pour les personnes et la planète ». Ces actions sont censées lutter contre la pauvreté et la faim, améliorer la santé et l’éducation, réduire les inégalités et sauver les océans, les forêts et le climat. Qui peut s’opposer à des objectifs aussi bienveillants ? Mais l’utopie promise a un prix : elle met des entraves à notre liberté personnelle.
Partenaires des objectifs mondiaux
Les principaux partenaires du projet des Nations Unies sur les objectifs mondiaux révèlent le véritable programme technocratique qui se cache derrière la façade raffinée du bien-être. Il s’agit d’un plan visant à intégrer pleinement l’humanité dans un appareil de surveillance technologique supervisé par une puissante Intelligence Artificielle (IA). La peur actuelle de la pandémie a été un déclencheur parfait pour lancer ce programme néfaste.
1. Le premier partenaire principal est la Fondation Bill et Melinda Gates, bâtie avec la fortune de Microsoft et dirigée par l’ancien PDG de la société, Bill Gates. Cette fondation est l’un des acteurs clés de la mise en œuvre du plan Agenda 2030, avec d’autres fondations telles que la Fondation Rockefeller, le Rockefeller Brothers Fund, la Fondation Ford, Bloomberg Philanthropies, la Fondation des Nations Unies et la Fondation Open Society (Georges Soros). Ils ont tous leurs racines dans le contrôle de la population et l’eugénisme et représentent « l’élite mondiale« qui, en fin de compte, dirige le projet et façonne l’agenda à l’échelle planétaire. La Fondation Bill et Melinda Gates a, avec le Forum économique mondial, joué un rôle de premier plan dans l’orchestration de l’hystérie actuelle du COVID-19 ainsi que dans la promotion d’une identification numérique.
2. Le deuxième partenaire est Avanti Communications (1), un fournisseur mondial britannique de technologie satellitaire pour des projets militaires et gouvernementaux. Leurs satellites sont censés « fournir une connectivité sécurisée, rapide et fiable aux programmes gouvernementaux d’inclusion numérique ». Ils offrent une connectivité à l’échelle de la planète qui peut être utilisée pour réaliser le vieux rêve d’un « cerveau central » où toutes les activités humaines peuvent être suivies et analysées en temps réel.
3. Le troisième partenaire est 2030Vision (2), un partenariat technologique « qui met en relation les entreprises, les ONG et les gouvernements avec la technologie et l’expertise dont ils ont besoin pour réaliser les Objectifs ». Il est fondé et présidé par la société britannique de semi-conducteurs ARM et se compose de sociétés telles que Microsoft et la société de logiciels allemande SAP ainsi que d’un certain nombre de groupes de défense des technologies. 2030Vision, qui a récemment fusionné avec les Forums économiques mondiaux Frontier 2030, est un partenariat qui relie les organisations intersectorielles et les solutions technologiques avancées nécessaires pour soutenir la réalisation des objectifs mondiaux.
« La plate-forme 2030Vision fournira un point focal pour la mobilisation d’un effort plus concerté et coopératif pour appliquer des technologies de pointe afin d’atteindre les objectifs mondiaux des Nations Unies ».
4. Le quatrième partenaire est le géant multinational de la technologie Google, fournisseur de cloud computing, moteur de recherche et navigateur Web de premier plan, système d’exploitation pour téléphones portables Android, Youtube, solutions d’IA et compagnon de la vie quotidienne de milliards de personnes suivies dans leurs déplacements et leurs comportements.
5. Le cinquième partenaire est la société américaine de paiement et de technologie mondiale Mastercard. Un acteur clé dans le développement de l’identification numérique qui sera nécessaire pour accéder au service de base et au paiement dans le nouvel ordre économique international qui renaîtra des cendres de l’ancien système mondial. Le PDG Ajaypal Singh Banga est membre du Council on Foreign Relations (3) ainsi que du World Economic Forums International Business Council (Davos !).
6. Le sixième partenaire est la société américaine Salesforce (4), une société de logiciels basée sur le cloud dirigée par Marc Benioff (l’un des membres du conseil d’administration du Forum économique mondial). Ils sont un leader mondial de la gestion de la relation client grâce à l’utilisation du cloud computing, des médias sociaux, de l’Internet des objets et de l’IA.
7. Le septième partenaire est l’UNICEF (Fonds des Nations Unies pour l’enfance). Une agence de l’ONU qui veillera à ce qu’aucun enfant ne soit laissé pour compte par son intégration dans le panoptique numérique.
Les objectifs mondiaux de l’ONU et les principaux partenaires sont étroitement liés à la quatrième révolution industrielle des Forums économiques mondiaux – un plan transhumaniste mégalomane qui « redéfinira ce que signifie être humain » et où chaque aspect de la vie sera surveillé et contrôlé d’en haut pour « l’amélioration de l’humanité ».
***Dans sa forme la plus pessimiste et déshumanisée, la quatrième révolution industrielle peut en effet avoir le potentiel de « robotiser » l’humanité et donc de nous priver de notre cœur et de notre âme. (Klaus Schwab).
En juin 2019, le Forum économique mondial et les Nations Unies ont signé un partenariat stratégique « pour accélérer la mise en œuvre de l’Agenda 2030 pour le développement durable » avec un agenda numérique joint qui « répondra aux besoins de la quatrième révolution industrielle« .
Les grandes entreprises multinationales et le complexe financier mondial dirigent désormais le projet.
La grande réinitialisation
La crise actuelle du COVID-19 est considérée par le Forum économique mondial et son président Klaus Schwab comme le déclencheur parfait pour mettre en œuvre leur plan technocratique grandiose. Big Tech viendra « sauver » le monde. En juin 2020, Schwab a déclaré, soutenu par des personnalités et des partenaires éminents comme le prince Charles et le secrétaire général de l’ONU Antonio Guterres, le PDG de Mastercard Ajaypal Singh Banga, le président de Microsoft Brad Smith ainsi que la directrice du FMI Kristalina Georgieva, la nécessité d’une grande réinitialisation pour rétablir l’ordre dans un monde plongé dans la panique, les conflits et les turbulences économiques :
***La crise du COVID-19 nous a montré que nos anciens systèmes ne sont plus adaptés au 21e siècle. Elle a mis à nu le manque fondamental de cohésion sociale, d’équité, d’inclusion et d’égalité. C’est maintenant le moment historique, non seulement pour combattre le vrai virus, mais pour façonner le système pour les besoins de l’ère post-Corona. Nous avons le choix de rester passifs, ce qui conduirait à l’amplification de bon nombre des tendances que nous observons aujourd’hui. Polarisation, nationalisme, racisme et finalement augmentation des troubles sociaux et des conflits. Mais nous avons un autre choix, nous pouvons construire un nouveau contrat social, notamment en intégrant la relève, nous pouvons changer nos comportements pour être à nouveau en harmonie avec la nature, et nous pouvons faire en sorte que les technologies de la quatrième révolution industrielle soient utilisées au mieux pour fournir nous avec une vie meilleure. (Klaus Schwab).
Cette recette techno-fasciste sera ensuite, de la manière la plus antidémocratique, sans aucun débat public ni enquête sceptique, bientôt intégrée à l’agenda du G20 et de l’Union européenne – rebaptisée Great Green Deal et avec des qualités salvatrices pour la planète. Tout est déjà en place et, après avoir ostensiblement été mis en veilleuse pendant la crise du COVID19, l’agenda du changement climatique est maintenant de retour avec une vengeance.
***Nous n’avons qu’une seule planète et nous savons que le changement climatique pourrait être la prochaine catastrophe mondiale avec des conséquences encore plus dramatiques pour l’humanité. Nous devons décarboner l’économie dans la courte fenêtre qui reste et ramener notre pensée et notre comportement en harmonie avec la nature, (Klaus Schwab).
Sans surprise, Klaus Schwab omet de mentionner son propre rôle et celui de ses acolytes dans la création de ce gâchis économique mondial en premier lieu – comme il a été « prévu » avec une précision étonnante lors de l’événement 201 du Forum économique mondial et de Bill Gates qui s’est tenu en octobre 2019 et dans le Rapport de la Fondation Rockefeller Scénarios pour l’avenir de la technologie et du développement international paru 2010 (5).
(2) https://initiatives.weforum.org/2030vision-network/home
(3) Council on Foreign Relations : fondé en 1921par un banquier américain, il se présente comme un groupe d’études américain réunissant des diplomates, des financiers, des industriels, des scientifiques et des spécialistes de l’information capables de distiller dans l’esprit du public américain un mode de pensée international et d’en coordonner les initiatives. Les affiliés occupent des postes importants dans le gouvernement des USA, la politique, les affaires, les médias, les services secrets américains, voire la religion. Par leur positionnement international ces Américains ont pour « mission » d’influencer directement ou indirectement les décisions des dirigeants occidentaux.
Un relais a été pris en 1976 avec la création de la French American Foundation par Gerald Ford et Valéry Giscard d’Estaing et la naissance de son programme phare en 1981, le programme Young Leaders, qui vise à bâtir des relations durables entre jeunes personnalités françaises et américaines et appelées à de hautes fonctions dans leurs pays respectifs.
Macron a été désigne Young Leader en 2012.
(4) https://www.salesforce.com
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Notes de l’auteur
1- Le terme élite pour désigner cette caste d’individus soucieuse de dominer le monde est employé à tort en ce qui les concerne si l’on en croit la définition de l’Académie française :
– Ensemble de ceux qui, dans un groupe, une société, sont considérés comme les meilleurs. Les élites, ceux qui, dans une société, se distinguent par leurs mérites.
– Loc. adj. D’élite. Qui, par ses qualités exceptionnelles, domine les autres, leur est supérieur.
2 – Si la domination de la haute finance mondiale est principalement anglo-saxonne c’est du à une influence de la religion catholique. Evangile selon saint Matthieu (21 V. 12 et 13) :
« Jésus entra dans le Temple, et il expulsa tous ceux qui vendaient et achetaient dans le Temple ; il renversa les comptoirs des changeurs et les sièges des marchands de colombes. Il leur dit : « Il est écrit : Ma maison sera appelée maison de prière. Or vous, vous en faites une caverne de bandits ».
C’est ainsi que dans la religion chrétienne le profit, apparenté à l’usure, est devenu un péché honteux et interdit et que le capitalisme fut accaparé par les Anglais.
Gérard Emile – La Plume du Citoyen
La Plume du Citoyen 
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