Vous, décideurs politiques et autres enragés de l’injection forcée de substances de thérapie génique en phase expérimentale, prenez le temps de lire ces quelques lignes et de réfléchir à votre positionnement déontologique quant à vos responsabilités vis-à-vis des personnes susceptibles d’en subir le contre-coup par vos décisions.
Un responsable de Pfizer admet ses « inquiétudes« concernant les effets des injections sur les cycles menstruels
Dans un troisième rapport explosif d’une enquête sous couverture de Project Veritas, le Dr Jordan Walker, directeur mondial des opérations stratégiques de recherche et développement et de la planification scientifique de l’ARNm de Pfizer, dévoile ses inquiétudes concernant les dommages que les injections COVID de Pfizer causent au système reproducteur féminin.
« Il y a quelque chose d’irrégulier dans les cycles menstruels, il faut enquêter sur ce thème« , a déclaré Walker au journaliste infiltré de Project Veritas. « Le vaccin ne devrait pas interférer avec cela et nous ne savons pas vraiment ce qui se passe. »
En fait, l’idée que les injections pourraient causer des problèmes de fertilité dévastateurs est si abject que, si cela s’avérait vrai, il retirerait Pfizer de son CV, ajoute-t-il. « Je ne sais pas ce qui se passe en réalité et j‘espère que nous ne découvrirons pas quelque chose de vraiment négatif sur ce sujet. Espérons que nous saurons si cet ARNm persiste dans le corps et si c’est le cas quel effet hormonal impacterait les cycles menstruels.
Les problèmes avec leurs cycles menstruels ne sont que l’un des problèmes que les femmes signalent depuis le début des injections. « De nombreux médecins soupçonnent des implications étonnantes et de grande envergure« commente le Dr R.Malone mais que le directeur mondial des opérations stratégiques de recherche et développement et de la planification scientifique de l’ARNm de Pfizer ne semble pas vraiment comprendre.
Site de Project Veritas
La Plume du Citoyen 