Ce que les médias subventionnés ne vous disent pas !
Bulletin de presse # 68 de l’Ambassade de Russie en France
Sur d’éventuelles provocations du régime de Kiev
Selon les informations du ministère russe de la Défense, les services spéciaux ukrainiens ont préparé une nouvelle provocation anti-russe à grande échelle visant à discréditer les forces armées de la Fédération de Russie et à accuser les militaires russes d’avoir prétendument commis des «crimes de guerre».
À la veille du Noël orthodoxe, des représentants du Bureau d’état d’investigation et du service de sécurité d’Ukraine ont procédé aux exhumations des tombes aux cimetières situés à dans les localités Kozatchya Lopan, Velykiy Bourlouk, Shipovatoye et Khatnoye dans la région de Kharkov, où sont enterrés des habitants décédés pour des raisons naturelles du 24 février au 6 septembre 2022, pendant le déploiement des troupes russes dans cette zone.
Après l’exhumation, les corps des citoyens ukrainiens ont été mutilés et jetés dans des «fosses» spécialement préparées à la périphérie de ces localités afin de créer une fausse «base de preuves» de prétendues «tortures» et «fusillades» de civils par des militaires russes.
Des représentants des services spéciaux et des forces de l’ordre ukrainiens photographient et filment actuellement les dépouilles, et imitent le travail des «experts judiciaires» et d’autres «actions procédurales» en présence de faux «témoins».
Avec ces méthodes inhumaines, le régime de Kiev cherche à garder l’attention du public occidental et à convaincre ses partenaires étrangers de continuer à le soutenir.
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Bulletin de presse # 69 de l’Ambassade de Russie en France
Sur des méthodes du régime de Kiev inspirées de terroristes internationaux
Selon les services russes du renseignement, les forces armées ukrainiennes stockent des armes et des munitions fournies par l’Occident sur le territoire des centrales nucléaires. Il s’agit des missiles les plus précieux et les plus rares pour les forces armées ukrainiennes pour les lance-roquettes multiples (LRM) «Himars» et les systèmes étrangers de défense anti-aérienne, ainsi qu’aux munitions d’artillerie de gros calibre. Rien que la dernière semaine de décembre 2022, plusieurs wagons ferroviaires de cargaison mortelle ont déjà été acheminés depuis l’étranger via la gare de Rafalovkaà la centrale nucléaire de Rovno.
Le plan du régime de Kiev est clair. Tout comme les militaires ukrainiens frappent les villes du Donbass et d’autres régions frontalières de la Russie se cachant derrière le dos des civils ukrainiens innocents, le commandement des forces armées ukrainiennes stocke des munitions à l’arrière, se cachant derrière des réacteurs nucléaires. La partie ukrainienne mise sur ce que les forces armées russes, vu le danger d’une catastrophe nucléaire, ne frapperont pas les sites nucléaires. Si, cependant un autre missile « égaré » de défense anti-aérienne ukrainien provoque une détonation des entrepôts et la destruction d’une centrale nucléaire, la responsabilité de cette tragédie peut toujours être rejetée sur Moscou. Kiev en est absolument convaincu, compte tenu de l’encouragement tacite de l’Occident aux frappes d’artillerie ukrainienne sur la centrale nucléaire de Zaporojié.
Ceci est une méthode souvent utilisée par les terroristes internationaux. Alors que maintenant les otages du régime de Kiev ne sont pas de civils dans certaines zones, mais des dizaines, voire des centaines de milliers d’habitants de leur propre pays et des États voisins. Reste à espérer que personne à Kiev ne fera délibérément sauter ces entrepôts dans l’espoir de quémander aux États-Unis et leurs alliés encore plus d’armes et de munitions.
Service des renseignements extérieurs de la Fédération de Russie (SVR),
le 23 janvier 2023
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Sur la « démocratie » actuelle en Ukraine
Bulletin de presse # 70 de l’Ambassade de Russie en France
Depuis le début de l’opération militaire russe en Ukraine, ce pays se transforme en dictature à des rythmes accélérés. Sous prétexte de lutter contre le séparatisme, les autorités de Kiev persécutaient des opposants politiques, des journalistes indépendants et des de médias, ainsi que des membres d’organisations ou d’associations indésirables.
En seulement quelques mois, tous les partis d’opposition qui avaient prôné le développement de relations normales entre l’Ukraine et la Russie ont été complètement liquidés. En janvier 2023, quatre chefs de file de l’opposition ont été déchus de leur nationalité ukrainienne par un décret présidentiel.
Des répressions politiques, des arrestations de militants de la société civile et de défenseurs des droits de l’homme sont pratiquées par Kiev sur les territoires qui se trouvent sous son contrôle. Toute manifestation de désaccord avec la position officielle est étouffée dans l’œuf.
Il existe des centaines de cas de personnes persécutées et arrêtées non seulement pour des raisons de leurs publications ou déclarations, mais aussi suite à des dénonciations. Ceux qui écoutent la musique russe et/ou suivent des médias en langue russe se retrouvent également en danger.
Les autorités ukrainiennes ont adopté un certain nombre de lois véritablement draconiennes, notamment une législation sur le «collaborationnisme». Il permet d’engager des poursuites judiciaires même pour avoir reçu une aide humanitaire des autorités russes ou pour avoir refusé d’évacuer.
L’espace médiatique de l’Ukraine a été complètement nettoyé des opinions alternatives. En décembre 2022, V.Zelenski a signé la loi sur les médias, qui place effectivement les médias ukrainiens sous le contrôle des autorités. Le Conseil national de la télévision et de la radiodiffusion a reçu le pouvoir d’interdire les médias en ligne et de radier la presse écrite sans audience judiciaire, et d’exiger que les fournisseurs d’accès à Internet bloquent l’accès à toute publication. Le caractère autoritaire et discriminatoire de la loi a été relevé même par les médias occidentaux et la Fédération internationale des journalistes.
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Buletin de presse # 71 de l’Ambassade de Russie en France
Sur les persécutions contre l’Église orthodoxe ukrainienne du patriarcat de Moscou
La guerre contre l’Église orthodoxe canonique constitue un autre volet de la politique répressive de Kiev.
Depuis longtemps, les autorités ukrainiennes, avec le soutien de leurs sponsors occidentaux, s’en prennent à l’Église orthodoxe canonique d’Ukraine. Le peuple ukrainien se voit maintenant imposer de force l’église schismatique – Église orthodoxe d’Ukraine, créée artificiellement en 2018, qui obéit aux autorités. Ce projet politique américano-ukrainien n’a rien à voir avec les questions de la religion.
Sur la base d’une législation discriminatoire, les autorités ukrainiennes continuent à saisir les bâtiments de l’Église orthodoxe ukrainienne du patriarcat de Moscou et à liquider de manière illégale leurs congrégations. Ces mesures sont accompagnées d’affrontements de masse, de passages à tabac de paroissiens et du clergé.
Le 28 décembre 2022, V.Zelensky a signé un décret sur la déchéance de la nationalité de 13 prêtres ukrainiens l’Église orthodoxe canonique. Il est à noter que cette décision a été annoncée le 7 janvier dernier – le jour du Noël orthodoxe.
Dans le même temps, les prêtres de la soi-disant Église orthodoxe d’Ukraine recourent eux-mêmes à une rhétorique schismatique et haineuse lors de leurs services, qui ressemblent plutôt à l’agitation politique. L’Ukraine est maintenant littéralement au bord d’une catastrophe religieuse interne fratricide. Cependant, le régime au pouvoir ne fait que jeter de l’huile sur le feu.
Selon les informations disponibles, de nouvelles initiatives sont en cours d’élaboration visant à discriminer les communautés et les croyants de l’Église orthodoxe canonique d’Ukraine, pour la priver de son nom historique et juridique et même pour la liquider complètement.
Une telle politique n’a rien à voir avec la démocratie et ses principes et contredit non seulement la Constitution de l’Ukraine mais aussi ses engagements internationaux en métiers des droits de l’Homme.