Monsieur le Président de la République,
Madame le Premier ministre,
Monsieur le ministre des Solidarités et de la Santé,
Mesdames, Messieurs les élus de la représentation nationale
La FRANCE ne devrait JAMAIS connaître un tel témoignage, image d’une incroyable dérive totalitaire du processus de gouvernance qui nous impose des règles liberticides et contraires aux textes fondateurs de notre République.
Le témoignage de ce médecin est l’exemple même du respect du serment d’Hippocrate qui est la base d’un métier porteur de très lourdes responsabilités : nos vies !