Une politique de « vaccination » à l’échelle planétaire serait-elle en cours d’organisation en s’appuyant sur un sophisme destiné à masquer le véritable dessein du projet mondialiste de la caste financière anglo-saxonne : le contrôle dans l’absolu de chaque individu !
SANTÉ • L’immunisation des adultes est la clé de la prévention sanitaire. Les populations européennes vieillissent, ce qui augmente la charge sur des systèmes sanitaires déjà en difficulté. Immuniser des adultes contre les maladies évitables par la vaccination pourrait permettre de réduire cette charge (1). |
L’idée de prendre le contrôle de l’état de santé a germé dans l’esprit de cette « auto-proclamée élite » qui se veut dominante de par sa puissance financière sous un prétexte cauteleux : la prévention sanitaire !
Prendre le contrôle de l’état de santé d’un individu est antinomique au droit de l’Etre humain de disposer de son propre corps.
Virginie Joron nous explique clairement ce que nous prépare l’OMS au sujet du traitement mondial des pandémies
La santé publique est un droit fondamentalement régalien dont la France n’a pas à se départir au profit de l’OMS, organisation supra-nationale financée principalement par le pseudo-philantrope Bill Gates au travers de sa fondation et de l’Alliance du vaccin GAVI.
Si la concertation est un élément moteur susceptible de permettre des avancées dans les traitements d’épidémies, la prévention par une politique de dépistage sérieuse et une application du suivi des personnes atteintes d’une pathologie est LA solution que l’Etat français doit suivre sans se soumettre aux exigences d’une entité supra-nationale.
Refusons de nous plier à ce jeu dangereux dans lequel ces « élites auto-proclamées » veulent nous entraîner pour maîtriser non seulement nos corps mais surtout notre esprit.
Les populations européennes vieillissent, ce qui augmente la charge sur des systèmes sanitaires déjà en difficulté. Immuniser des adultes contre les maladies évitables par la vaccination pourrait permettre de réduire cette charge. « La grande majorité des coûts associés au traitement des maladies évitables par la vaccination résultent des personnes non vaccinées. Du point de vue de la valeur globale, la vaccination doit être considérée comme un moyen de réduire le nombre de visites dans les cliniques, de traitements par les médecins, d’hospitalisations, de prescriptions et, finalement, de décès » dixit Yan Sergerie, directeur des affaires médicales mondiales de la société pharmaceutique GSK (2) Selon les données de l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) recueillies dans 26 pays, plus d’un tiers des personnes âgées de plus de 16 ans vivent avec une maladie ou un problème de santé de longue durée. Avec le vieillissement démographique, le nombre de maladies chroniques augmente, ce qui entraîne davantage de complications liées aux maladies évitables par la vaccination. De nombreux pays disposent de programmes de vaccination pour les enfants, mais de nombreuses maladies évitables par la vaccination touchent également les adultes, comme la grippe, l’hépatite, le papillomavirus humain (HPV), le tétanos, la tuberculose et bien d’autres encore. « La charge de morbidité de la plupart des maladies infectieuses est en forme de U », a déclaré Joe Schmitt, membre du conseil d’administration de la Coalition pour la vaccination tout au long de la vie (CLCI), faisant référence au fait que la gravité de la maladie est généralement élevée soit au début, soit à la fin de la vie. Selon l’expert, la vaccination reste le moyen le plus efficace de « produire de la santé » et de dépenser moins. « Dans la décennie d’austérité qui s’annonce, la meilleure utilisation de nos ressources ne pourra se faire que si nous donnons la priorité aux vaccins et à la vaccination », a ajouté M. Schmitt. Il existe plusieurs obstacles au succès des programmes de vaccination des adultes, mais un élément clé pour la réussite est que les pays disposent des bonnes politiques. « Il est important de considérer que vous dépendez des programmes nationaux de vaccination. Vous recevez donc les vaccins recommandés par vos autorités sanitaires », a déclaré Sibilia Quilici, directrice exécutive de Vaccines Europe. Mme Quilici a souligné que les vaccins pour adultes devraient être intégrés dans les programmes nationaux de vaccination, de manière à refléter une stratégie fondée sur toute la durée de la vie, précisant qu’il est possible de prévenir jusqu’à 20 maladies infectieuses tout au long de la vie, de l’enfance au troisième âge. « Aujourd’hui, la vaccination des adultes représente un peu moins de 0,5 % du budget des soins de santé (…). Donc très, très peu de budget pour prévenir autant de maladies infectieuses qui peuvent entraîner des comorbidités et des coûts importants pour la société », a déclaré Mme Quilici. Comment y parvenir Pour mettre en place de solides programmes de vaccination des adultes dans les pays européens, il y a plusieurs obstacles à surmonter. Selon Pierre van Damme, professeur de vaccinologie et de maladies infectieuses à l’université d’Anvers, il faut tout d’abord sensibiliser les adultes de tout âge et de toute profession à la vaccination et à la prévention. « C’est vraiment un défi que de faire en sorte que l’ensemble du groupe soit bien conscient des différents aspects de la vaccination, des maladies infectieuses et de la prévention », a déclaré M. van Damme. Il a mis en avant les programmes de vaccination de rappel contre la Covid-19 comme un exemple de ce défi, alors qu’ils ciblaient uniquement les groupes à risque et la population âgée de plus de 50 ans. « Dans certains pays, une grande partie de cette population de plus de 50 ans ne se considérait pas comme courant un risque [accru] », a-t-il déclaré, plaidant pour une communication adéquate autour de la vaccination. M. Van Damme a également mentionné qu’avant la pandémie de Covid-19, il était rare que le secteur sanitaire de nombreux pays s’adresse aux adultes. « Il ne s’agit donc pas d’attendre une plainte ou un quelconque symptôme, mais d’essayer de manière proactive d’atteindre cette population et de lui proposer une mesure préventive », a-t-il déclaré. Le professeur belge a également plaidé en faveur d’une meilleure formation des étudiants en médecine, des sages-femmes, des infirmières et d’autres personnes sur le thème de la vaccination des adultes. Les investissements dans les soins primaires sont un autre élément clé, a affirmé Tomislav Sokol, député européen du Parti populaire européen (PPE). « Nous devons inciter les prestataires de soins de santé à se spécialiser dans les soins primaires », a déclaré M. Sokol. « [Nous] devons définir plus clairement le rôle des soins primaires en termes de protection de la santé publique, en général, lorsque nous parlons d’immunisation », a-t-il ajouté. Compte tenu de l’augmentation d’autres problèmes, comme la réticence à la vaccination, il y a beaucoup de questions à régler. Les États membres ont conservé toutes leurs compétences en matière de politique de santé, mais l’UE a également un rôle à jouer. « Ce que l’Union européenne peut faire, c’est soutenir les politiques nationales, que ce soit par le biais du financement, du partage des meilleures pratiques ou de la fourniture d’une assistance administrative ou d’autres services [aux États membres] », a déclaré M. Sokol. |
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