Parmi les grandes causes nationales auxquelles devraient s’attacher nos politiques avec la plus extrême fermeté figure l’INSECURITE grandissante pour le citoyen lambda.
Tout individu commettant une infraction devrait être jugé dans les plus brefs délais.
Les citoyens français sont à punir sur le territoire français. Les étrangers en situation régulière sont également à punir sur le territoire français suivant NOS lois.
Quant aux étrangers en situation irrégulière, sans-papiers, OQTF et autres situations du même genre … ils doivent être pris en charge par les services du ministère de l’Intérieur et être reconduits immédiatement à la frontière française. Si un pays refuse de reprendre ses ressortissants ayant commis des actes punissables par la loi française sur notre territoire, la France doit refuser tout accueil d’un étranger en provenance de ce pays et s’opposer à tout renouvellement de permis de séjour aux ressortissants de ce pays.
Cette multitude de « faits divers » doit impérativement faire partie des principales préoccupations du ministre de l’Intérieur ? Ce laxisme de l’Etat est intolérable.
La France appartient aux Français et tout étranger est le bienvenu sous réserve qu’il respecte la France, son peuple et ses lois.
Dans la famille « La République française n’assure pas la sécurité de ses citoyens », une nouvelle affaire, sordide, à Rennes. Un immigré congolais de 43 ans (il s’est un temps prétendu Angolais) sous le coup d’une OQTF (c’est à dire qu’il aurait dû de longue date être rapatrié à coup de pied dans le derrière dans son pays) et déjà condamné pour viols et agressions sexuelles en France, a tenté de nouveau de violer une femme dans la nuit du 25 au 26 octobre, à Rennes. Un riverain est parvenu à faire fuir l’individu, puis la police l’a interpellé un peu plus tard dans la soirée. D’après C News, le mis en cause avait été condamné à une peine de huit ans de prison en 2000 pour des faits de viol. Lors d’une permission accordée en 2005, il avait violé sa cousine. Le récidiviste avait écopé de quinze années de prison. Il avait agressé sexuellement une visiteuse de prison en 2018. Il avait été libéré en août à la fin de sa peine. « Cet homme se présente comme originaire du Congo et était en situation irrégulière en France où il faisait l’objet d’une obligation de quitter le territoire (OQTF). Il avait précédemment « déclaré être angolais et serait arrivé en France en 1992 alors qu’il était mineur », selon le procureur adjoint. Détenu à Argentan, il avait été placé au centre de rétention administrative d’Oissel (Seine-Maritime). Il avait été remis en liberté le 30 septembre par le juge des libertés et de la détention de Rouen. La raison ? La mesure était « inexécutable car ni les autorités congolaises ni les autorités angolaises ne le reconnaissent comme l’un de leurs ressortissants », précise le parquet de Rennes » peut-on lire dans 20 minutes. L’immigré indésirable a été placé, aux frais du contribuable, en détention provisoire dans l’attente de son procès. Et dire que certains s’offusquent lorsque des citoyens, comme récemment à Roanne, décident d’accélérer le travail que la Justice française ne fait plus : si cet individu se trouvait en Angola, au Congo, ou n’importe où sur le continent d’où il vient, ce sont plusieurs femmes ici, sur notre territoire, qui n’auraient pas été violées et agressées sexuellement, ce sont les faits…l’immigration, une chance pour la Bretagne ? |