Ne les oublions pas !!!

Accident, incendie, AVC, infarctus, blessure …. ils sont présents à toute heure du jour et de la nuit, qu’il pleuve, qu’il vente, qu’il neige pour intervenir en urgence dans des situations graves. Quel soulagement de voir arriver les pompiers quand un évènement dramatique met nos vies ou celles de nos proches en danger !

Comment ne pas être reconnaissant vis-à-vis de ces médecins qui consacrent leurs vies à soigner nos soucis de santé. 

Tous les matins de la semaine, le samedi, le dimanche l’infirmière passe faire la piqure nécessaire à la santé des parents et vérifier que les médicaments de la journée sont prêts. N’oublions pas aides-soignantes et femmes de ménage qui s’occupent quotidiennement de leur bien-être et contribuent ainsi à une fin de vie sereine dans leur environnement familier, dans leur maison.

Sans elles nos parents seraient condamnés à survivre en EPHAD. Montrons notre gratitude et notre reconnaissance à ces personnes qui mettent leurs vies à notre disposition pour notre bien-être et celui de nos anciens. Elles sont présentes à l’hôpital, à la clinique, en maison de repos… pour prendre soin de nous à toute heure du jour et de la nuit.

Comment ne pas être reconnaissant envers ce kinésithérapeute, cette psychomotricienne et cette ergothérapeute qui ont consacré des dizaines d’heures avec une patience infinie à aider une personne à retrouver la coordination de ses membres après ce grave AVC. Grâce à leur dévouement nombreux sont celles et ceux qui mènent une vie normale aujourd’hui. 

Les militaires et les gendarmes sont là pour assurer notre sécurité et mettent leurs vies en danger pour préserver la nôtre. 

Ces personnels soignants, ces soldats du feu, ces défenseurs de nos libertés et de nos vies ont refusé de se faire inoculer une substance de thérapie génique à base d’ARN messager et de jouer les cobayes humains. Malgré les immenses services rendus à la Nation, ils ont été bannis de la société par une décision arbitraire contraire au code pénal dans sa partie qui traite de la discrimination d’une personne notamment pour son état de santé (*).

NE LES OUBLIONS PAS !

EXIGEONS LEUR REINTEGRATION IMMEDIATE AVEC RAPPEL DE SALAIRES

Envoyez une lettre à Macron – Palais de l’Elysée – Rue du Faubourg saint-Honoré – 75008 Paris avec une phrase simple :

Réintégration immédiate des personnels suspendus et abrogation de la loi du 5 août 2021
Signé : un/une Française
(une feuille de papier + une enveloppe, c’est gratuit)

Envoyez un mail à votre député et à votre sénateur 

Réintégration des personnels suspendus et abrogation de la loi du 5 août 2021
Signé : un/une Français/e
adresses sur les sites de l’Assemblée nationale et du Sénat

Inondons avec des millions de lettres et de mails de protestation cette caste dirigeante qui nous ignore totalement et nous méprise.

(*) Code pénal :
Livre II : Des crimes et délits contre les personnes (Articles 211-1 à 227-33)
Titre II : Des atteintes à la personne humaine (Articles 221-1 à 227-33)
Chapitre V : Des atteintes à la dignité de la personne (Articles 225-1 à 225-26)
Section 1 : Des discriminations (Articles 225-1 à 225-4)
Article 225-1 – Constitue une discrimination toute distinction opérée entre les personnes physiques sur le fondement de … leur état de santé …
Article 225-2 : La discrimination définie aux articles 225-1 à 225-1-2, commise à l’égard d’une personne physique ou morale, est punie de trois ans d’emprisonnement et de 45 000 euros d’amende lorsqu’elle consiste :1° A refuser la fourniture d’un bien ou d’un service ;2° A entraver l’exercice normal d’une activité économique quelconque ;3° A refuser d’embaucher, à sanctionner ou à licencier une personne ;4° A subordonner la fourniture d’un bien ou d’un service à une condition fondée sur l’un des éléments visés à l’article 225-1 ou prévue aux articles 225-1-1 ou 225-1-2;5° A subordonner une offre d’emploi, une demande de stage ou une période de formation en entreprise à une condition fondée sur l’un des éléments visés à l’article 225-1 ou prévue aux articles 225-1-1 ou 225-1-2 ;6° A refuser d’accepter une personne à l’un des stages visés par le 2° de l’article L. 412-8 du code de la sécurité sociale.Lorsque le refus discriminatoire prévu au 1° est commis dans un lieu accueillant du public ou aux fins d’en interdire l’accès, les peines sont portées à cinq ans d’emprisonnement et à 75 000 euros d’amende.
Compte-tenu de la situation actuelle les dispositions de l’article 225-3 ne sont plus applicables. 
https://www.legifrance.gouv.fr/codes/texte_lc/LEGITEXT000006070719/

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