L’Europe du futur n’est autre que la disparition programmée de l’Etat au profit d’une gestion parcellaire dirigée par une commission européenne entièrement soumise aux exigences de la finance anglo-saxonne. Plus personne n’ignore que les grandes puissances financières non étatiques cherchent à imposer leur mode de gouvernance au monde occidental. Plus personne n’ignore que les technocrates de Bruxelles sont entièrement contrôlés et dirigés par cette finance anglo-saxonne qui n’a d’autre préoccupation que réduire les populations à l’état de serviteurs zélés, obéissants tels de bons petits chiens aux ordres du maître avec la complicité des « Kapos« , cette classe politique qui s’est mise à son service pour ne pas être éliminée du jeu et des revenus confortables dont elle profite.
Les multinationales ont utilisés la Chine comme outil de production à bas coûts mais, imbus de leur arrogance financière, elles n’ont pas attaché la moindre importance à la démarche intellectuelle des dirigeants chinois. Ils ont su profiter de la manne financière et technologique que l’Occident leur confié pour enrichir le pays et s’accaparer de nouvelles technologies exploitées à leur profit aujourd’hui.
Etre riche ne signifie pas forcément être intelligent !!!
Le but poursuivit consiste à déstructurer la France (et les autres pays d’Europe, mais chacun ses problèmes !!!) en la scindant en entités indépendantes pour en faire une Europe des régions à l’image des modèles américains et allemands.
Diviser pour régner
Le plan consiste à prendre le contrôle financier des régions et des départements directement en faisant abstraction du pouvoir décisionnel de l’Etat français supposé équilibrer les redistributions de richesses par le mécanisme de la péréquation visant à réduire les écarts de richesse, et donc les inégalités, entre les différentes collectivités territoriales.
Les financements de projets régionaux et départementaux seront traités directement par la technocratie bureaucratique de Bruxelles, ce qui est contraire à la révision constitutionnelle du 28 mars 2003 qui a a érigé la péréquation en objectif de valeur constitutionnelle : « La loi prévoit des dispositifs de péréquation destinés à favoriser l’égalité entre les collectivités territoriales » (article 72-2)« .
La finance anglo-saxonne entend prendre le pouvoir décisionnel sur les affaires intérieures et les intérêts de la France pour orienter les financements uniquement vers les projets susceptibles de maximiser ses profits.
Régions et départements français n’auront plus qu’un seul choix : obéir ou disparaître. Qui ne suit pas les directives imposées ne bénéficiera plus d’aide : Se soumettre ou crever !!!
Nous devons refuser de laisser les politiques dilapider la France et réduire les Français à l’état de larbins des multinationales, des banques internationales et autres grandes fortunes n’agissant que dans leur propre intérêt au détriment des peuples.
Une telle décision engageant notre avenir et celui de nos enfants et petits-enfants aurait du faire l’objet d’un débat national avec des explications détaillées sur sa finalité réelle suivi d’un référendum à l’échelle nationale.
La France doit s’extraire urgemment de cette tartufferie européenne, économisant des milliards d’€ qui serviront à financer des projets régionaux et départementaux bénéficiant exclusivement à la Nation française.
Un exemple : financement européen pour faciliter l’emploi et l’insertion sociale : 11,3 millions € pour 80 départements soit 141 250 € par département !!!
Coût de l’adhésion annuelle de la France à l’UE : environ 26 milliards € (20 milliards en 2014) pour un retour sur investissement de 15 milliards €.
Grâce à une convention de partenariat signée mardi (6 septembre), les départements français vont pouvoir se rapprocher des institutions européennes, notamment pour faciliter le financement de projets à l’échelle locale.« Il y a une volonté pour l’Europe de se rapprocher des départements pour la cohésion sociale et territoriale et une volonté des départements de faire un chemin vers l’idée européenne qui, en situation de crise, s’impose comme une évidence », a déclaré François Sauvaget, président de l’association des départements de France (ADF), à EURACTIV.Le président de l’ADF a reçu mardi (6 septembre) dans les locaux de l’association à Paris deux représentants permanents de la Commission européenne en France pour signer une convention de partenariat entre les départements français et l’UE.« Au niveau européen, ce qui est vraiment important, c’est d’assurer la proximité entre les politiques européennes et la vie quotidienne des citoyens français. Le département est vraiment une cheville ouvrière dans cette vie quotidienne », note de son côté Valérie Drezet-Humez, représentante permanente de la Commission européenne en France.« On essaie vraiment de se concentrer sur l’échelon départemental pour amener l’Europe au plus près des élus locaux et des agents territoriaux », confirme à EURACTIV son collègue Pierre Loaëc, chef de la représentation régionale de la Commission européenne en France.La convention vise principalement à mieux informer les élus locaux du fonctionnement de l’Europe et du rôle de ses institutions. Avec, pour but principal, de faire connaître les différentes possibilités de financement qui existent pour les accompagner dans leurs projets locaux.Car aujourd’hui encore, les mécanismes européens sont jugés complexe d’accès et sont donc peu utilisés.« Pour les départements, c’est un moyen de bénéficier d’opportunités européennes qui ne sont peut-être pas bien connues », reconnaît Valérie Drezet-Humez.Emploi, jeunesse et environnementParmi les principaux domaines d’action de la convention : l’emploi, la jeunesse, les zones rurales, les échanges culturels ou encore la transition énergétique.L’occasion aussi pour les départements de « faire remonter les difficultés qu’ils vivent au jour le jour et qu’effectivement à un niveau beaucoup plus macro européen, on a du mal à voir », poursuit la représentante de la Commission.Dans les faits, la convention prendra la forme de webinaires sur la déclinaison locale des politiques européennes, de rencontres entre élus départementaux et élus européens, ou encore diffusion d’information sur les sites web des deux parties.Des liens entre l’Union européenne et les départements existent déjà à l’image du Fonds social européen (FSE). En France, 80 départements gèrent ce budget de 11,3 millions (*) d’euros octroyé par l’UE pour favoriser l’emploi et l’insertion sociale. Dans le département de la Côte d’Or, en Bourgogne-Franche-Comté, ce sont les jeunes qui ont mis le dossier Europe sur la table. Les membres du Conseil départemental des jeunes (CDJ), ont établi une charte sur leurs attentes vis-à-vis de l’Union européenne.« Ils sont allés rencontrer leurs députés européens à Strasbourg pour porter leurs espérances, leurs attentes. Il y a une vraie volonté de se rapprocher des institutions européennes », se félicite M. Sauvaget, lui-même à la tête du département.« Dans un monde sous tension, l’Europe n’a jamais été aussi nécessaire. L’idéal de paix, de liberté, est une réponse à la montée des pulsions nationalistes et des populistes », conclut-il. |
Evoquer l’UE comme un idéal de paix et de liberté est déplacé par rapport à son soutien à un clown-président manipulé par l’OTAN, bras armé de la finance anglo-saxonne et service commercial de l’industrie de l’armement nord-américaine.
Evolution du PIB du Royaume-Uni : Sortir de l’UE lui a été profitable !
On peut donc comprendre aisément pourquoi à l’arrivée peu démocratique du petit mac et de son gang au pouvoir je les avais désigné comme les « nouveaux collabos » de la nouvelle « souveraineté européenne ». Et pourtant, c’était avant qu’ils n’accordent une « zone transfrontalière » à…l’Allemagne (sans doute en mémoire des Poilus et des Résistants) et avant la création d’une région Alsace-Moselle « européanisée !! En somme, je devais encore traîner quelques brins de naïveté…
Méc-créant.
(Blog: « Immondialisation: peuples en solde! » )
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C’est clair. tout cela est le prolongement de plusieurs décennies de construction européenne avec naturellement la prévalence des intérêts financiers, géopolitiques, géostratégiques dominants, au détriment de la souveraineté des peuples, considérée maintenant comme trop dangereuse et donc nuisible à la stabilité des trois intérêts précités.
La France seule ne pourra donc pas s’opposer à cette pression internationale sans une volonté commune d’opposition concertée d’au moins 3 des plus importants états européens.
Seuls les peuples peuvent modifier cette tendance, ne comptons pas sur nos actuels élus ou « plantés d’office » par des procédés à combattre …. Pas simple, n’est ce pas ?
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