« L’AUSTRALIE VA VAXXXER DE FORCE SES CITOYENS PAR LE BIAIS DE CHEM-TRAILS
L’Australie a approuvé la demande de licence de la société Big Pharma PaxVax qui lui permettra de libérer intentionnellement un vaccin OGM composé de bactéries vivantes dans le Queensland, via des chemtrails (épandages aériens). L’Office of the Gene Technology Regulator (OGTR) a déclaré que le vaccin pouvait être considéré comme une dissémination limitée et contrôlée en vertu de l’article 50A de la loi sur la technologie génétique de 2000. Preventdisease.com rapporte que PaxVax demande l’autorisation de mener l’essai clinique d’un vaccin bactérien vivant génétiquement modifié contre le choléra.
Une fois lancé, l’essai devrait être achevé dans un délai d’un an, avec des sites d’essai sélectionnés dans les zones de gouvernement local (LGA) du Queensland, de l’Australie-Méridionale, du Victoria et de l’Australie-Occidentale. PaxVax a proposé un certain nombre de mesures de contrôle qui, selon elle, limiteront la propagation et la persistance du vaccin génétiquement modifié et du matériel génétique introduit, mais il est toujours possible que ces restrictions échouent et contaminent la faune et les écosystèmes.
Sanofi (qui est l’un des plus grands fabricants de vaccins au monde) possède des filiales telles que Merial Limited, qui fabrique le Raboral, un virus vivant oral toxique pour les humains, mais qui a été distribué en masse à la faune sauvage.
LA PULVÉRISATION DU VIRUS DU NIL OCCIDENTAL
En 2006, Michael Greenwood a écrit un article pour l’école de santé publique de Yale intitulé « Aerial Spraying Effectively Reduces Incidence of West Nile Virus (WNV) in Humans ». L’article indique que l’incidence des cas de virus du Nil occidental chez l’homme peut être considérablement réduite par une pulvérisation aérienne à grande échelle ciblant les moustiques adultes, selon des recherches menées par la Yale School of Public Health et le California Department of Public Health.
Dans le cadre du mandat de pulvérisation aérienne pour des vecteurs spécifiques qui constituent une menace pour la santé humaine, des vaccins aériens connus sous le nom de DNA Vaccine Enhancements et de Recombinant Vaccine against WNV peuvent être testés ou utilisés pour « protéger »les personnes contre les expositions aux infections vectorielles. Les améliorations des vaccins à ADN utilisent spécifiquement les capside du virus d’Epstein-Barr avec des activateurs du complément multi humain de classe II pour neutraliser les anticorps. Les vaccins recombinants contre le VNO utilisent la bêta-globuline de lapin ou le signal poly (A) du virus SV40. Lors des premières études sur les vaccins à ADN, on a constaté que les résultats négatifs entreraient dans la catégorie des futurs projets de recherche sur le développement de la thérapie génique. Au cours des études sur la signalisation poly(A) du SV40 pour les vaccins contre le VNO, il a été observé que le VNO reste en sommeil chez les personnes qui ont été exposées à la varicelle. Ainsi, en cas d’exposition aux vaccins aériens contre le VNO, le potentiel de libération du virus de la varicelle augmente le risque de zona à l’âge adulte.
Pulvérisation aérienne en CALIFORNIE pour le VNO et le SV40
De février 2009 à aujourd’hui, des pulvérisations aériennes pour le VNO ont eu lieu dans les principales villes de l’État de Californie. Pendant la pulvérisation d’Anaheim, CA, une femme de race blanche (50 ans) a été exposée à une forte pulvérisation, alors qu’elle faisait son exercice quotidien en marchant plusieurs kilomètres. Une forte activité d’hélicoptères a eu lieu pendant plusieurs jours dans cette zone. Après la pulvérisation, elle a ressenti des vertiges, des nausées, des douleurs musculaires et une augmentation des douleurs lombaires. Elle a été évaluée pour les mécanismes toxicologiques qui étaient associés à l’exposition aux pesticides due à la pulvérisation aérienne en utilisant des tests de surveillance biologique avancée. Les résultats des tests, qui comprenaient des tests de bandes protéiques utilisant des méthodes de réponse couplée aux protéines (PCR), étaient positifs pour KD-45. KD-45 est la bande protéique du virus SV-40 du singe vert simien. D’autres tests ont été effectués pour le capside du virus d’Epstein-Barr et le virus Cytomeglia, qui sont utilisés en bio-ingénierie pour les systèmes d’administration de gènes grâce à la technologie de l’enveloppe protéique virale et de l’enveloppe protéique adénovirale. La personne était positive pour les deux, ce qui indique une exposition très probable à un système d’administration de vaccins ADN par inhalation nasale.
Un document du Pentagone a révélé des plans de vaccination aérienne
Dans le rapport trimestriel FunVax Review de juin 2007, l’objectif d’un projet portant le numéro ID : 149AZ2 comme la préparation d’un vecteur viral qui inhibera/diminuera l’expression d’un gène de perturbation spécifique (VMAT2) au sein d’une population humaine. Il indique en outre dans le résumé que six méthodes de dispersion du virus ont été testées, notamment la libération à haute altitude, la libération par approvisionnement en eau, la transmission par les insectes et diverses méthodes de diffusion.
Sources :
Après les soucis dus à l’inoculation à très grande échelle de substances de thérapie génique encore en phase III d’essais cliniques, les « kangourous-chefs » ne craignent plus rien !!!