Les grands médias (ces entreprises privées appartenant pour la plupart à des grandes fortunes sont abondamment subventionnées par l’Etat les prélevant sur nos contributions fiscales parce que incapables de survivre par leur propre activité commerciale comme toute entreprise) ne cessent de vanter les exploits de l’armée ukrainienne et d’évoquer des dégâts causés par l’armée russe.
Lequel a pris la peine de s’intéresser à la guerre civile de 2014 à 2022 du Donbass et de relater les atrocités du régime de Kiev ?
Lequel prend la peine de lire les bulletins de presse de l’ambassade de la Fédération de Russie pour tenter de comprendre la réalité sur le terrain ?
Ils sont à votre disposition !!! Lecteurs, auditeurs et téléspectateurs attendent une information vraie, retransmise déontologiquement.

Sur les crimes commis par les nationalistes ukrainiens
La partie russe continue d’enregistrer de nombreux faits de l’attitude inhumaine des autorités de Kiev envers la population civile, ainsi que de l’utilisation par les forces armées ukrainiennes et les combattants des formations nationalistes ukrainiennes d’infrastructures hospitalières à des fins militaires.
À Kharkov, les militaires ukrainiens et les unités de défense territoriale ukrainiennes ont aménagé des points de tir et des entrepôts de munitions sur le territoire de deux hôpitaux et d’une polyclinique pour enfants. Le personnel et les patients y sont retenus sous prétexte d’assurer leur sécurité.
A Nikolaïev, les combattants des bataillons de défense territoriale ont installé des points de tir sur le territoire d’un centre médical et d’un hôpital. Ils ont également déployé l’artillerie aux alentours de ces bâtiments.
À Kramatorsk (République populaire de Donetsk), les combattants ukrainiens ont installé un point d’appui et un entrepôt de munitions dans un hôpital. Ils ont également miné les zones autour de ce bâtiment.
Néanmoins, l’Organisation mondiale de la Santé préfère fermer les yeux sur ce genre de faits. Une fois de plus, nous appelons toutes les organisations internationales, en particulier l’OMS, à exercer une influence sur les autorités de Kiev et à prendre des mesures pour empêcher les forces armées ukrainiennes d’utiliser les infrastructures hospitalières à des fins militaires.
Sur les actions humanitaires russes en Ukraine
Depuis le début de l’opération militaire spéciale, 1 690 814 personnes, dont 273 359 enfants, ont été évacuées de l’Ukraine vers la Russie.
Plus de 9 500 centres d’hébergement fonctionnent dans les régions russes. Chaque réfugié est traité individuellement et se voit accorder une aide pour résoudre des problèmes quotidiens urgents.
Depuis le 2 mars, la Fédération de Russie a livré 27 114 tonnes d’aide humanitaire en Ukraine. Au total, 1 118 actions humanitaires ont été réalisées. Plus de 30 000 tonnes de produits de première nécessité, de médicaments et de kits alimentaires ont été préparés dans les centres de collecte en Russie.
Sur le blocage des navires dans les ports ukrainiens
Dans six ports ukrainiens (Kherson, Nikolaïev, Tchernomorsk, Ochakov, Odessa et Youjny), 70 navires étrangers de 16 pays restent bloqués. La menace des bombardements ainsi que le risque élevé des mines posés par les autorités de Kiev empêchent les navires de sortir librement vers la haute mer.
La partie russe a terminé le déminage des ports de Berdiansk et de Marioupol situés sur la mer d’Azov. Aujourd’hui, ils fonctionnent en régime normal.
Les forces armées russes créent les conditions nécessaires au fonctionnement des deux couloirs humanitaires maritimes, qui constituent des voies sûres pour la navigation.
Le premier couloir, longue de 139 miles et large de 3 miles, se trouve en mer Noire et fonctionne tous les jours de 08h00 à 19h00 (heure de Moscou). Il permet aux navires de sortir des ports de Kherson, Nikolaïev, Tchernomorsk, Ochakov, Odessa et Youjny en direction du sud-ouest de la mer territoriale de l’Ukraine.
Le second couloir, longue de 115 miles et large de 2 miles, est situé en mer d’Azov. Il fonctionne 24/24 et permet aux navires de sortir du port de Marioupol en direction de la mer Noire.
Les autorités de Kiev continuent de se soustraire par tous les moyens de coopérer avec les représentants des pays étrangers et les armateurs pour résoudre la question de la sortie en toute sécurité des navires bloqués.