
Sur les crimes commis par les nationalistes ukrainiens
La Fédération de Russie continue d’enregistrer de nombreux faits de l’attitude inhumaine des autorités de Kiev envers la population civile, ainsi que de l’utilisation par les forces armées ukrainiennes et les combattants des formations nationalistes d’infrastructures civiles à des fins militaires.
À Kharkiv, les militaires ukrainiens et les unités de défense territoriale ukrainiennes ont déployé l’artillerie et aménagé des points d’appui et des dépôts de munitions sur le territoire d’une école. D’ailleurs, ils détiennent des habitants dans les sous-sols sous prétexte d’assurer leur sécurité. De plus, les alentours de ces bâtiments sont minés, mais la population locale n’en est pas informée.
Dans le village de Borovskoé (République populaire de Lougansk), les combattants de « Praviy sector » ont installé des points de tir dans des immeubles résidentiels. Il est interdit aux civils de quitter leur domicile et toutes les tentatives d’évacuation vers des zones sécurisées sont sévèrement déjouées.
À Kramatorsk (République populaire de Donetsk), les néo-nazis et les mercenaires étrangers ont déployé des armes lourdes sur le territoire d’un pensionnat. Ils y ont également installé un point d’appui et un dépôt de munitions.
Dans la région de Kharkov, des actions punitives sont commises par les combattants de l’unité nationaliste « Kraken », formée principalement de radicaux, de violeurs et meurtriers libérés de prison. Lors de raids nocturnes, ils s’introduisent dans les maisons des civils soupçonnés d’avoir des opinions pro-russes. Ces civils subissent des violences physiques pour être ensuite emmenés vers une destination inconnue. Des dizaines de détenus ne sont pas rentrés chez eux à ce jour, et leur sort demeure inconnu.
Dans six ports ukrainiens (Kherson, Nikolaev, Tchernomorsk, Ochakov, Odessa et Yujny), 70 navires étrangers de 16 pays restent bloqués. La menace des bombardements ainsi que le risque élevé des mines posés par les autorités de Kiev empêchent les navires de sortir librement vers la haute mer.
Sur les actions humanitaires russes en Ukraine
Depuis le début de l’opération militaire spéciale, 1 556 258 personnes, dont 254 270 enfants, ont été évacuées des zones dangereuses des républiques du Donbass et de l’Ukraine vers la Russie.
Plus de 9 500 centres d’hébergement fonctionnent dans les régions russes. Chaque réfugié est traité individuellement et se voit accorder une aide pour résoudre des problèmes quotidiens urgents.
Depuis le 2 mars, la Fédération de Russie a livré 22 430 tonnes d’aide humanitaire en Ukraine. Au total, 1 048 actions humanitaires ont été réalisées.