La Pologne et la Hongrie bientôt privées de subventions européennes ?
Vu la politique discriminatoire que mène l’exécutif français il est temps que la Commission européenne, se posant en grand défenseur des peuples, se penche sur le cas de la France dont les libertés sont toujours plus restrictives allant jusqu’à l’instauration d’un droit d’existence sociale à qui refuse de jouer le cobaye pour Pfizer.
La Commission européenne se dresse sur ses ergots pour tancer la Pologne et la Hongrie défendant à juste raison leur souveraineté par le refus qu’ils opposent à son ingérence dans leurs affaires intérieures.
L’Union Européenne ne serait donc qu’un creuset de règles instaurées par une caste technocratique fonctionnarisée dénuée de toute légitimité populaire n’ayant de ce fait aucun compte à rendre au contribuable européen ?
Cette organisation devrait se contenter d’être le catalyseur des échanges commerciaux entre pays adhérents et le support principal d’un équilibre pour la paix entre eux. La Commission Européenne est la seule à détenir le pouvoir législatif, les 700 et quelques députés du Parlement représentant plus de 440 millions de citoyens n’ont qu’une possibilité : voter les textes qui leur sont proposés.
Deux éléments fondamentaux dénotent l’absence de démocratie et l’obscurité de la gestion de cette UE :
– la quasi-impossibilité d’accès aux contrats signés entre la Commission européenne et Big Pharma pour la fourniture de substances de thérapie génique qualifiées à tort de « vaccins ».
– l’impossibilité d’accès aux échanges de mails entre la responsable de la Commission et Pfizer
Démocratie : du grec dêmokratia, de dêmos, « peuple », et kratos,« puissance, autorité ».
Définition d’après l’Académie Française : Système d’organisation politique dans lequel la souveraineté et les décisions qui en découlent sont exercées théoriquement ou réellement, directement ou indirectement, par le peuple, c’est-à-dire par l’ensemble des citoyens.