Avec la présidence française du Conseil Européen de l’UE à c/ du 1er janvier les Français ont beaucoup à craindre des orientations de la politique de l’actuel président de la République française.
Politique de santé publique aberrante basée sur le tout-vaccination, politique nationale basée sur l’abandon de la souveraineté de notre pays aux technocrates de la Commission européenne, politique internationale avec la soumission à l’OTAN, c’est-à-dire aux Américains.
Santé publique : il faut redouter l’obligation de devoir subir l‘inoculation de substances de thérapie génique pour enrayer une pandémie appartenant au passé n’affectant plus des vies humaines que par l’apparition de séquelles d’injections parfois mortelles.
Des voix s’élèvent dans le monde scientifique pour dénoncer cette situation mais elles sont étouffées par l’information officielle et bâillonnées par les médias mainstream largement subventionnés.
La présidente de la Commission Européenne Von Der Leyen (technocrate-fonctionnaire) et le vice-président de la dite commission Schinas (technocrate-fonctionnaire) ont évoqué le fait de rendre obligatoire la vaccination de toutes les populations européennes.
Le trio ainsi formé avec l’arrivée de Macron à la présidence du Conseil Européen (*) ne manquera certainement pas de s’activer dans ce sens d’autant plus que l’Autriche a déjà légiféré en la matière et l’Allemagne se pose sérieusement la question.
Qu’est-ce qu’un vaccin ? C’est l’introduction d’un élément perturbateur de même nature mais inactivé que celui déjà infiltré dans le corps qui incitera l’organisme à déclencher un processus de défenses immunitaires. La « lutte » anti-covid consiste en l’inoculation dans le corps humain de nanoparticules de lipides au sein duquel une information génétique est insérée et ne déclenchera donc pas d’alerte du sytème immunitaire puisque l’information est soigneusement encapsulée dans ces nanoparticules. Il s’agit d’une thérapie génique qui va contraindre la cellule à produire cette protéine S (Spike) supposée leurrer le virus SARS-CoV 2.
L’approche frénétique pseudo-vaccinale imposée par les dirigeants français n’est en rien une vaccination. Il s’agit d’une thérapie génique en phase expérimentale dont on ignore les conséquences à moyen et long terme sur le corps humain, qu’aucun scientifique sur Terre n’est capable de prédire. Il s’agit d’une expérience médicale à l’échelle planétaire sur des personnes non averties qu’elles n’étaient que des cobayes dont on ne sait quelles séquelles sont susceptibles de les affecter, le court terme ayant démontré qu’un certain nombre d’entre elles sont graves et parfois mortelles.
Traitements préventifs, traitements précoces ambulatoires … ont été jetés aux oubliettes malgré les avis et conseils de nombre de médecins de terrain, de scientifiques compétents et reconnus se basant sur des réalités concrètes créant une situation d’exception en termes de Santé publique.
Le pouvoir exécutif impose l’inoculation de substances de thérapie génique dont l’expérimentation est en cours puisque la phase III n’est pas encore terminée. Personne ne sait à quoi se sont exposées ceux qui, par attrait du voyage, l’envie de dîner au restaurant ou d’aller au cinéma, ont accepté de jouer les cobayes.
Les laboratoires pharmaceutiques ont signé des contrats de fourniture de ces substances en rejetant toutes responsabilités en cas d’effets secondaires quelqu’ils soient. La signature de ces contrats a été déléguées à la Commission Européenne composée de fonctionnaires-technocrates n’ayant absolument aucun mandat électoral démocratique et surtout à l’abri de toutes responsabilités.
Ultra-libéralisme, le second danger de la présidence française du Conseil européen. La stratégie ultra-libérale de Macron répond aux exigences de l’oligarchie financière anglo-saxonne qui veut dominer le monde économique et l’exploiter à son unique profit.
Un ultra-libéralisme qui aura pour effet de détruire les activités économiques ne dépendant pas des multinationales lesquelles pourront ensuite nous imposer leurs productions sans laisser aucun choix au consommateur.
L’autre danger pour la France est d‘accepter d’être asservie aux Américains.
La politique agressive de Biden envers la Russie et de la Chine représente un danger extrême pour les Européens qu’il souhaite entraîner dans son délire. Les Français doivent également cesser d’accepter l’exterritorialité des lois américaines qui empêchent de commercer avec les pays que les Américains veulent soumettre à leur volonté. Cette attitude stupide a conduit l’Iran à se rapprocher de la Chine puisque ce pays est devenu membre à part entière de l’OCS (Organisation de Coopération de Shanghai).
http://geoconfluences.ens-lyon.fr/glossaire/organisation-de-cooperation-de-shanghai-ocs
Il serait plus intelligent et infiniment moins dangereux pour l’Europe d’entamer un dialogue constructif avec la Russie, de faciliter les échanges économiques et de maintenir un climat de relations basé sur la concertation permanente de tous les sujets. Qui plus est la Russie représente un espace économique non négligeable. La France aurait tout intérêt à se rapprocher de la Russie
Il est temps de considérer la Chine comme sous-développée et simple atelier du monde. Les Chinois ont su mettre sur orbite une station spatiale et envoyer un robot explorer la planète Mars. Si Taïwan reste un sujet préoccupant ne serait-ce pas plus intelligent de tenter de maintenir un dialogue plutôt que de montrer les « muscles ».
(*) Le Conseil européen est composé des chefs d’Etat des pays adhérents, a pour rôle principal la détermination de l’orientation et des priorités politiques générales de l’UE sans toutefois posséder le moindre pouvoir de proposer des lois. Le Parlement européen, composé de 705 députés élus démocratiquement, n’a qu’un pouvoir : voter les lois.
L’élaboration des lois est une prérogative de la Commission européenne composée de technocrates, désignés par les membres du Conseil européen, ne détenant aucun mandat électoral obtenu dans un cadre démocratique.
L’Union Européenne est donc entièrement pilotée par des individus n’ayant strictement aucun compte à rendre aux peuples qu’ils dirigent ! Un véritable déni de démocratie