Après le passe-sanitaire, le passe vaccinal. Quel sera le prochain ?
Le passe du droit de vivre ?
Après avoir détruit le moral des français vont-ils les droguer pour finir de les abrutir ?
La première étape a débuté en mars 2020 avec le « Nous sommes en guerre« . Un mot judicieusement choisi pour pour marquer fortement les esprits. S’en est suivi l’intervention quotidienne du croque-mort de service en soirée, égrenant le nombre de décès du Covid (dont on peut douter des chiffres annoncés depuis le début de cette épidémie). L’air sombre, la mine abattue, la voix éteinte… un superbe jeu d’acteur déclinant un texte digne d’un auteur de tragédie antique.
Confinements, couvre-feux, discours anxiogènes, culpabilisations… rien n’a manqué si ce n’est l’absence de conviction du premier ministre que l’on s’est empressé de changer par un gesticulateur à l’accent chantant.
Apparitions quotidiennes d’individus se plaignant sur les plateaux télés de la saturation de leurs services pendant que leurs équipes assuraient le travail, vidéos à grand renfort de caméras des médias subventionnés montrant les transferts de patients à l’autre bout de la France pendant que les cliniques privées à proximité étaient vides… un scénario parfaitement écrit pendant que les pensionnaires des EPHAD étaient abandonnés à leur triste sort.
Après avoir jeté le discrédit sur de vrais sachants dotés de réelles compétences, il a été interdit à notre médecin de famille de nous soigner avec des traitements ambulatoires précoces.
Le but a été atteint puisque l’emprise psychologique a fondu comme une chape de plomb sur le moral d’une majorité defrançais qui se sont précipités pour jouer les cobayes au service de laboratoires pharmaceutiques et sans être rémunérés comme cela est normalement prévu dans le projet COVIREIVAC, projet coordonné par l’INSERM !
Il ne fallait surtout s’arrêter en si bon chemin ! Ils nous ont fait croire que la panacée arrivait avec ce qu’ils nomment faussement « vaccin » consistant en l’inoculation de substances de thérapie génique. Dont personne ne peut prévoir quels seront les effets à moyen et long terme mais dont les séquelles à court terme vont de simples maux de tête à des atteintes graves, voire la mort.
La seconde étape d’un processus de manipulation des foules consiste à fracturer la société. Il leur suffit de dénigrer,d’accuser, de culpabiliser les non-vaccinés responsables de répandre l’épidémie, d’engorger les hôpitaux …..
Une fois les esprits crédules soumis à leur emprise psychologique il est fondamental de maintenir la peur. Qu’à cela ne tienne, il suffit d’annoncer sur un ton catastrophique l’arrivée d’un tsunami de ce qui n’est en réalité qu’une vaguelette de réapparition du virus, certes contagieux mais dénué de la dangerosité des précédents.
On y associe des mesures liberticides intolérables pour obliger les réfractaires à se soumettre à cette frénésie vaccinale en créant un « ausweiss » sanitaire. Une frénésie qui peut paraître bien suspecte puisqu’aucune autre mesure préventive ou de traitement précoce n’est proposée à la population et que des scientifiques chevronnés sont décrédibilisés, voire menacés d’être radiés de l’ordre des médecins s’ils critiquent les dires de la doxa.
Sur quelles bases scientifiques dûment étayées par des études menées par des spécialistes compétents s’appuie le pouvoir exécutif pour imposer une telle insistance à se faire inoculer des produits dont on sait qu’ils ne protègent pas ?
La communication gouvernementale menée de nos jours s’apparente à un véritable lavage de cerveau dont le but est d’obliger l’individu à abandonner toute velléité de réflexion personnelle et obéir docilement aux ordres de l’autorité. Il s’agit d’une tentative de destruction de la capacité de penser.
Quelle sera la prochaine étape ? Un reconditionnement du cerveau par des anxiolytiques et autres saloperiespour ne plus être que des moutons bêlant docilement aux ordres du maître ?
Constitution de notre Vè République
La France est une République indivisible, laïque, démocratique et sociale. Elle assure l’égalité devant la loi de tous les citoyens sans distinction d’origine, de race ou de religion. Elle respecte toutes les croyances. Son organisation est décentralisée.
La langue de la République est le français. L’emblème national est le drapeau tricolore, bleu, blanc, rouge. L’hymne national est la « Marseillaise ». La devise de la République est « Liberté, Egalité, Fraternité ». Son principe est : gouvernement du peuple, par le peuple et pour le peuple.
La souveraineté nationale appartient au peuple qui l’exerce par ses représentants et par la voie du référendum. Aucune section du peuple ni aucun individu ne peut s’en attribuer l’exercice.
Déclaration des Droits de l’Homme
Art. 10. Nul ne doit être inquiété pour ses opinions, même religieuses, pourvu que leur manifestation ne trouble pas l’ordre public établi par la Loi.
Art. 11. La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l’Homme : tout Citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l’abus de cette liberté dans les cas déterminés par la Loi.