Dans son allocution du 9 novembre dernier notre président de la République décrit une France merveilleuse, idyllique qui a tout vaincu ! La pandémie est contenue, la sécurité des citoyens est totale, la croissance est au rendez-vous, le plein emploi a fait disparaître le chômage, l’UE est le sauveur de la France, etc, etc,etc !!!
HALLUCINANT discours truffé d’affirmations toutes plus démagogiques les unes que les autres.
Comment est-il possible de proclamer autant de fabulations sinon à considérer que les Français sont dotés d’un QI comparable à celui de la belette !
Personne n’est dupe de l’échec de la gestion de la crise sanitaire avec ses errements au début avant de nous imposer l’inoculation de produits dont les essais cliniques ont été bâclés et dont on ne sait rien des conséquences à moyen et long terme sur le physique et le psychisme des receveurs.
Quelles sont les véritables raisons d’une telle frénésie vaccinale ? Pour une immunité collective qui n’est qu’un leurre comme le souligne le Professeur Sir Andrew Pollard, responsable de l’Oxford Vaccine Group ?
Comment affirmer que l’UE est méritante en ce qui concerne la gestion des achats de vaccins ? La commission européenne a acheté pour 1 Milliard d’euros (1 000 000 000 €) de Remdesivir fortement déconseillé par l’OMS, médicament dangereux pour le système rénal.
Qui ont été les derniers servis ? Les pays qui ont laissé la commission européenne marchander avec Big Pharma.
Le passe sanitaire, véritable à « ausweiss » ne sert qu’à « forcer » des Français désinformés intentionnellement à se faire inoculer des substances qui ne les protègent pas puisque il faut continuer les gestes barrières, faire des rappels….
En début de pandémie le « croque-mort » national, aujourd’hui certainement remisé dans un placard doré, égrenait chaque soir le nombre de décès dûs au Covid ! Aujourd’hui on nous dit que l’épidémie repart que le nombre de cas repart à la hausse. Où sont les justifications chiffrées ?????
Il est précisé dans le code pénal que tout distinction fondée sur l’état de santé est discriminatoire (Article 225-1) sauf quand cela a pour objet la prévention et la couverture du risque décès, des risques portant atteinte à l’intégrité physique de la personne ou des risques d’incapacité de travail ou d’invalidité.……
Dans ce cas quelles sont les preuves scientifiques dûment étayées par des études sérieuses réalisées par des hommes de science sans aucun conflit d’intérêt avec l’industrie pharmaceutique que le gouvernement est en mesure de présenter pour l’application de l’article 225-3 du code pénal ?
https://laplumeducitoyen.org/2021/08/09/quen-est-il-du-code-penal/
Le passe sanitaire est discriminatoire au sens pénal du terme en ce sens qu’il est imposé sans aucune preuve scientifique justifiant de son existence.
Première partie de l’allocution d’E. Macron le 9 Novembre 2021
Françaises, Français,
Mes chers compatriotes de métropole, d’outre-mer et de l’étranger,
Je tenais, en cet automne 2021, à revenir vers vous pour répondre aux interrogations, parfois aux inquiétudes qui sont les vôtres sur notre situation sanitaire, économique, sociale et géopolitique.
Depuis près de deux ans, nous sommes confrontés à une pandémie exceptionnelle.
Nous avons tous ensemble tenu et, je le crois, fait à chaque étape les choix collectifs (dans le secret du conseil de défense tenu à l’Elysée et dont jamais aucun compte-rendu n’a été mis à la connaissance des Français!!!) indispensables pour protéger chacun d’entre nous et nous protéger comme Nation.
Nos décisions se sont toujours fondées sur la connaissance scientifique (après avoir délibérément écarté de spécialistes qui n’abondaient pas dans le sens du pouvoir exécutif : Professeurs Raoult, Perrone…), sur l’impératif de nous protéger, sur la volonté d’agir de manière proportionnée et sur la conviction que la responsabilité individuelle et collective, sont notre première force.
C’est cela qui nous a conduit à décider à deux reprises d’un confinement quand il le fallait, au printemps puis à l’automne 2020. Ensuite, à tenir bon avec un couvre-feu et des règles adaptées à chaque territoire au début de cette année 2021 alors que beaucoup de nos voisins fermaient tout.
Nous avons depuis le début de cette année 2021 pu disposer de vaccins, en acheter puis en produire (Si l’institut Pasteur et/ou SANOFI avaient produit des vaccins ça se saurait !!!!!!!).
L’Union Européenne a ainsi produit plus de 2 milliards de doses de vaccins durant cette année, soit, plus qu’aucune autre puissance du monde. (l’UE n’a rien produit, elle a acheté des vaccins)
S’agissant de la France, depuis la première vaccination en décembre 2020, nous avons injecté en dix mois plus de 100 millions de doses.
51 millions d’entre vous sont aujourd’hui complètement vaccinés, ce qui fait de nous l’un des pays du monde les mieux protégés. (Raison pour laquelle les non-vaccinés sont considérés comme des parias et les vaccinés doivent appliquer les gestes barrières parce que les dit-vaccins n’empêchent pas de transmettre le virus).
Grâce au pass sanitaire et à la stratégie mise en œuvre depuis le mois de juillet dernier, nous sommes parvenus à maîtriser l’épidémie. (affirmation gratuite non justifiée puisque les médias « mainstream » subventionnés par le gouvernement nous serinent quotidiennement l’arrivée d’une 5è vague).
En rappelant ces choix et nos résultats, j’ai, en cet instant, une pensée à la fois respectueuse et émue pour tous nos compatriotes qui ont disparu, et pour leurs familles, et, je veux à nouveau remercier nos soignants, nos associations, toutes celles et ceux qui ont contribué à tous ces efforts.
Pour autant, nous n’en n’avons pas terminé pour avec la pandémie.
D’abord, parce que des dizaines de milliers de nos compatriotes sont touchés par ce qu’on appelle le « COVID long » dont les symptômes – qui sont, la perte de goût, de l’odorat, l’épuisement, la dégradation de la santé mentale, font l’objet d’une prise en charge spécifique.
Ensuite parce que, nous le savons, il nous faudra vivre avec le virus et ses variants jusqu’à ce que la population mondiale dans son ensemble soit immunisée. Et c’est pour cela que d’ailleurs dès le début, la France s’est engagée pour donner des doses aux pays les plus pauvres et les pays en voie de développement. Nous sommes au rendez-vous de cette solidarité internationale et nous continuerons de le faire.
Nous n’en n’avons pas terminé parce qu’à court terme, l’Organisation Mondiale de la Santé le dit, la cinquième vague a commencé en Europe. Au Royaume-Uni et en Allemagne, plus de 30 000 nouveaux cas supplémentaires sont enregistrés chaque jour. Et si, grâce à vos efforts, la situation en France est plus favorable, l’augmentation de 40% en une semaine de notre taux d’incidence et la remontée des hospitalisations sont des signaux d’alerte. De même que la situation dans certains territoires d’Outre-mer où la vaccination demeure encore insuffisante dans bien des cas, et qui ont beaucoup souffert ces derniers mois. Je veux ici leur dire à nouveau la solidarité nationale et leur dire que tout continuera d’être fait, comme depuis le début de la crise.
Tout cela doit nous conduire à la plus grande vigilance et nous pousser à agir.
Parce que nous avons fait le nécessaire pour nous protéger, nous pouvons continuer à maîtriser la situation si chacun d’entre nous prend sa part.
Mon premier message est ainsi un appel. Un appel à l’esprit de responsabilité des six millions d’entre vous qui n’ont encore reçu aucune dose de vaccin.
Vaccinez-vous. Vaccinez-vous (quid des traitements précoces, des traitements préventifs ?????) pour vous protéger. La vaccination est ouverte à tous sauf aux enfants de moins de 12 ans. Je rappelle qu’une personne vaccinée a 11 fois moins de chances de se retrouver à l’hôpital en soins critiques. (A lire : Analyse de l’activité hospitalière en 2020 – COVID 19 de l’Agence Technique de l’information sur l’hospitalisation, établissement public créée en 2000 comme pôle d’expertise sur les quatre champs de l’activité hospitalière).
Je rappelle aussi que des milliards d’individus sur la planète ont déjà eu le vaccin et que nous avons maintenant déjà un certain recul. (et moult effets secondaires allant jusqu’à la mort de certaines personnes)
Vaccinez-vous pour pouvoir vivre normalement : avec le vaccin, il vous sera possible d’obtenir un pass sanitaire et ainsi de vous rendre librement dans les cafés, les restaurants, les lieux de culture, de sport, de loisirs sans tests PCR. (De la discrimination pure et simple inacceptable dans un Etat de droit (Code pénal : article 225-1 non justifié comme le prévoit l’article 225-3)
Être libre dans une Nation comme la France implique d’être responsable et solidaire. Je compte donc sur vous.
Face au regain de l’épidémie, les plus vulnérables sont nos aînés et ceux qui souffrent d’obésité, de maladies cardio-vasculaires, de maladies respiratoires ou de diabète sévère.
Toutes les études montrent en effet que 6 mois après le vaccin, l’immunité diminue et donc le risque de développer une forme grave réaugmente.
La solution à cette baisse d’immunité est l’injection d’une dose de vaccin supplémentaire : ce qu’on appelle, le rappel. (Les Français avaient compris, ils n’ont pas un QI de belette !)
Une campagne a été lancée depuis la fin de l’été pour tous les plus de 65 ans et les plus fragiles, il nous faut aujourd’hui l’accélérer.
Si vous avez été vacciné il y a plus de six mois, je vous appelle à vous protéger en prenant rendez-vous, dès maintenant, auprès d’un centre de vaccination, de votre médecin ou de votre pharmacien. Il est possible de faire ce rappel en même temps que le vaccin contre la grippe.
À partir du 15 décembre, il vous faudra justifier d’un rappel pour prolonger la validité de votre pass sanitaire.
Les personnes qui ont moins de 65 ans voient aussi la protection conférée par le vaccin diminuer au fil du temps. D’ailleurs au moment où je vous parle, plus de 80% des personnes en réanimation ont plus de 50 ans (affirmations gratuites non sourcées)
C’est pourquoi une campagne de rappel sera lancée à partir du début du mois de décembre pour nos compatriotes âgés de 50 à 64 ans.
Nous avons saisi les autorités scientifiques (le conseil de défense secret qui se tient à l’Elysée ?) afin qu’elle puisse nous indiquer dans les tous prochains jours les modalités pratiques et les échéances à suivre. De la même manière que nous avions organisée, vous vous en souvenez sans doute, durant le premier semestre, la campagne de vaccination.
Le vaccin, pour efficace soit-il, ne suffit pas. (un vaccin qui ne protège pas ! A quoi bon l’inoculation de substances dont on ne sait quelles seront les incidences sur la santé ?)
Dans ce contexte de reprise épidémique, il nous faut en même temps redoubler de vigilance.
Tous les assouplissements un moment envisagés seront donc reportés pour conserver les règles actuellement en vigueur. Même si je sais combien cela est difficile, le port du masque à l’école sera donc pour le moment maintenu.
L’application des gestes barrière qui protègent autant contre le COVID19 que contre les maladies contagieuses de l’hiver, doit aussi faire l’objet d’une attention accrue. Nous avions tous un peu relâché nos efforts, et c’est bien normal. Il faut donc les reprendre.
Les contrôles pour l’application du pass sanitaire dans les établissements concernés et pour les entrées dans les ports, les aéroports, les gares, seront renforcés. (par des hommes vêtus d’un grand manteau noir en cuir coiffés d’un chapeau avec la Traction avant Citroen garée à proximité pour emmener les récalcitrants ?)
Et nous continuerons, comme nous avons toujours fait, à adapter nos décisions territoire par territoire en fonction de l’évolution de l’épidémie.
C’est donc grâce à la vaccination, au pass sanitaire, aux gestes barrière que nous pourrons continuer de vivre, ne pas restreindre d’autres libertés et ne pas refermer des activités.
Enfin, c’est parce que la France a très tôt misé sur la recherche sur les traitements, et que nous avons su en commander très en amont, que nous bénéficierons d’une nouvelle arme pour lutter contre le virus avec l’arrivée dès la fin de l’année des premiers traitements réellement efficaces contre les formes graves de COVID 19. (Institut Pasteur, SANOFI absents pour la recherche de vaccins. Traitements précoces, traitements préventifs limiéts à la prise de Doliprane et aération des habitations (dixit ARS) ?
Durant cette période, notre Nation s’est toujours attachée à protéger chacun de nous sur le plan éducatif, économique et social. (sur le plan sécuritaire l’Etat reste aux abonnés absents).
Nos enfants : nous avons été l’un du pays du monde qui a le plus ouvert ses écoles.
Pour leur rabâcher l’histoire de l’esclavage du primaire à la terminale en oubliant que la France c’est Charlemagne, Saint-Louis, Louis XIV, 1789 et plus de 2 millénaires d’histoire ?
Nos jeunes : nous avons accompagné les étudiants avec le repas à un euro, et des aides spécifiques pour les boursiers.
Les plus précaires : grâce à une politique d’hébergement social inédite et aux aides exceptionnelles versées, nous avons évité à près d’un demi-million de nos compatriotes de basculer dans la pauvreté.
Nos artistes, artisans, indépendants, salariés, entrepreneurs ont été accompagnés avec le chômage partiel, les prêts garantis par l’Etat, le fonds de solidarité et de nombreuses aides sectorielles.
Nous continuons et continuerons d’adapter nos réponses en fonction des besoins, c’est pourquoi, par exemple, les prêts garantis par l’Etat seront prolongés jusqu’en juin 2022.
Nous avons aussi soutenu nos soignants. Nos soignants qui ont tant donné durant la crise et éprouvent aujourd’hui une légitime fatigue. Ils ont été augmentés de 200 à 400 euros nets par mois en moyenne. 500 établissements hospitaliers vont être restaurés, des milliers de maisons de retraite rénovées grâce à un effort sans précédent de 19 milliards d’investissement partout sur le territoire. Ces mesures, qui s’ajoutent à beaucoup d’autres comme la fin du numerus clausus pour les médecins ou l’augmentation du nombre de postes d’infirmiers font que jamais depuis la création de la Sécurité sociale, nous n’avions autant investi dans la santé. Il le fallait.
Il le fallait après des décennies d’abandon, de sous-investissements,(constat extraordinaire qui aurait dû être réalisé dès le début du mandat en 2017 pour apporter des solutions concrètes au lieu de poursuivre la fermeture de lits d’hôpitaux) mais il nous reste, je le sais, encore beaucoup à faire.
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