Une vision claire de notre situation à nous Français de la part d’un ami suisse. L’incompréhension du traitement que nous subissons est ressentie en dehors de nos frontières.
« Non, pouvait s’écrier Chateaubriand en 18141, je ne croirai jamais que j’écris sur le tombeau de la France ». Il le pouvait car alors le tyran corse était abattu. Après avoir bâti pour sa seule gloire et sa fortune seule, à la grande ruine de la France et de l’Europe, un empire qui subsista dix ans, Napoléon, enfin, était à terre. Un dernier sursaut, dérisoire, une ultime défaite, et ce serait Sainte-Hélène, l’exil définitif, le soulagement pour les patriotes et pour l’Europe. Car le Corse n’avait jamais caché qu’au peuple de France qu’il le détestait. Offrez au peuple « une confiture de parole », conseillait-il dans l’intimité, et il obéira.
Je crains aujourd’hui, au lendemain de la date fatidique du 12 juillet 2021, prélude à d’autres déroutes, de bel et bien écrire, hélas, sur le tombeau de la France, car le gnome qui joue les Bonaparte, loin d’avoir faire naître un empire, a fait entrer la France en dictature. Qu’il disparaisse dans quelques mois : d’autres, de la même trempe, assureront la relève. Qu’il demeure à l’Élysée : il poursuivra son œuvre de destruction, celle d’un pays qui fut grand et qui n’est plus que l’ombre d’une patrie.
« Je déteste les Français ! » avoua un jour le Corse. Que pourrait dire d’autre Macron ? Que pourraient affirmer les membres de sa clique ? Ils viennent d’établir pour longtemps, telle la cape sombre d’un vampire étalée sur ce qui n’est plus qu’une figure géométrique, l’Hexagone, un pouvoir totalitaire qui laisse les citoyens exsangues, sidérés, sans voix.
Ont-ils donc la stature d’un triumvirat, les Castex, les Veran et le sinistre Macron ? Sont-ils Pompée, César et Crassus ? Font-ils songer à Antoine, Lépide et Octave ? Non point. Ils ne sont que les garçons de course, les exécuteurs des basses œuvres d’une puissance établie ailleurs.
Que cherche-t-elle, cette puissance ? A enserrer les Français dans une cangue de soumission dont la planche est la peur et dont les trous sont un virus manipulé, un confinement sans fin et l’obligation, sous peu généralisée, de se laisser injecter un pseudo-vaccin à la composition indéfinie, menaçante et obscure.
Car tout a été fait pour en arriver là.
Afin de combattre un virus qui a tué 0,8 % d’une population, essentiellement âgée et affligée d’une comorbidité, on a refusé tout ce qui pouvait soigner. Lorsqu’on s’est risqué à le faire, par exemple à l’IHU-Méditerranée, la mortalité a chuté de 70 %. Aussitôt les moyens d’y parvenir ont été interdits. Il s’agissait, par ordre, d’aboutir à l’unique solution tolérée : le vaccin ARN messager. Vacciner de la sorte les personnes âgées, même si la phase d’expérimentation n’est pas terminée et présente donc des risques inconnus, était admissible. Mais les moins de soixante ans ? Pis encore, les quadragénaires, les trentenaires ? Absurde et scandaleux. Criminel, ensuite : les enfants ! Toute une population ! Les vrais experts, non liés aux grands laboratoires, libres de conflits d’intérêt, ont beau proclamer qu’il y a non seulement danger mais déraison, faute, péril grave, rien n’y fait : pour les vendus qui nous gouvernent, il n’est qu’un remède : vacciner tout le monde !
C’est donc que ce traitement génique est fondamental ! Pourquoi ? Parce qu’il doit apporter aux donneurs d’ordre du petit Macron un avantage crucial ! Lequel ? Que contiennent les fioles de Pfizer, de Moderna, de J & J, d’AstraZeneca ? Seuls les laboratoires le savent et n’en divulguent que ce qu’ils veulent bien divulguer. S’agit-il d’un produit conduisant à la stérilité immédiate ou différée ? La Nébuleuse Oligarchique Planétaire (NOP) n’a jamais dissimulé son intention de diminuer drastiquement la population mondiale, essentiellement occidentale. S’agit-il d’un produit induisant délibérément des maladies, des malformations, des décès ? Les laboratoires n’ont-ils pas exigé d’être déchargés de toute responsabilité en cas d’effets secondaires, comme s’ils les prévoyaient ? Et l’Union européenne, complice, n’a-t-elle pas aussitôt accédé ? S’agit-il enfin d’introduire une nanopuce de traçage, susceptible également de permettre un contrôle de la volonté, le jour où cela s’avérera nécessaire ? Une chose est certaine : du vaccin est attendu un pouvoir jamais égalé sur les peuples. Pour y parvenir, la NOP est prête à tout, « quoi qu’il en coûte », Macron l’a affirmé. D’où les restrictions sans précédent des libertés. D’où une France totalitaire, concentrationnaire, dans laquelle une moitié de citoyens est incitée à se dresser contre l’autre moitié, sous le regard satisfait et la mine rigolarde du trio de petits dictateurs. D’où, déjà, des maladies graves, des décès, qui font suite à un vaccin d’autre part inefficace puisque les vaccinés attrapent le virus, sont contagieux et ne peuvent se dispenser des gestes barrières. Voilà pourquoi il convient d’affirmer que, oui, « voici le temps des assassins », comme dans le film de Duvivier (1956).
« Mais, rétorqueront les naïfs, le président, plusieurs de ses ministres, des notables se sont fait injecter le vaccin publiquement, à la télévision ! » Je mets ma tête à couper que le produit injecté était inoffensif, juste de quoi rassurer les récalcitrants et convaincre les imbéciles. Ils se précipitent par milliers, d’ailleurs, dans les vaccinodromes.
Les Français vont-ils se soulever, réagir violemment, avant que ne se referme la lourde pierre du tombeau ? Sauront-ils, comme leurs ancêtres dans les moments cruciaux, s’armer contre la tyrannie ? Je crains fort que des décennies d’abrutissement via les médias collabos n’aient réduit le peuple de France à l’état perpétuel de troupeau de moutons apeurés.
Un troupeau prêt pour l’abattoir.
Michel Bugnon-Mordant, géopolitologue
1 De Buonaparte et des Bourbons.