Le ministre des solidarités et de la santé (solidarités d’abord, santé ensuite !) et son directeur général de la santé ne semblent pas se soucier du financement des responsabilités qui leur ont été confiées.
120 000 000 €/semaine une somme conséquente qui serait certainement mieux employée à rémunérer du personnel soignant, à promouvoir des traitements préventifs et/ou palliatifs qui existent quoiqu’on en dise en régulant un peu mieux la gestion de ces test PCR dont on garde toujours un doute quant à leur efficacité réelle.