Redonnez-nous l’espoir !

Lettre ouverte au Président de la République française et aux Parlementaires,

La situation sécuritaire de notre pays se dégrade jour après jour, l’insécurité grandissante due aux actes de minorités agissantes, violentes perturbant gravement l’ordre public nous laisse à penser que les pouvoirs publics n’y apportent qu’un seul modèle de réponse : belles paroles et grands discours. Ne sommes nous pas en droit de nous interroger sur cette situation ?

L’article 4 des Droits de l’Homme et du Citoyen, l’un des textes fondateur de notre Vè République, stipule que « La liberté consiste à pouvoir faire tout ce qui ne nuit pas à autrui : ainsi, l’exercice des droits naturels de chaque homme n’a de bornes que celles qui assurent aux autres Membres de la Société la jouissance de ces mêmes droits. Ces bornes ne peuvent être déterminées que par la Loi.« 

D’autres articles sont suffisamment explicites pour chacun puisse vivre sereinement sans crainte d’une d’agression verbale ou physique :

Art. 10. Nul ne doit être inquiété pour ses opinions, même religieuses, pourvu que leur manifestation ne trouble pas l’ordre public établi par la Loi.

Art. 11. La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l’Homme : tout Citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l’abus de cette liberté dans les cas déterminés par la Loi.

S’exprimer publiquement nécessite de ne pas évoquer telle ou telle religion, tel ou tel genre sexué, telle ou telle couleur de peau….sous peine d’encourir des violences verbales, s’exposer à des atteintes à l’intégrité physique, voire encourir les foudres de la justice.

Où est la liberté d’expression ? Ne pas aimer une religion, une couleur de peau, un genre sexué est une opinion et, si aucune haine n’y transparaît, ne porte préjudice à quiconque. Pourtant il devient difficile d’exprimer à voix haute et intelligible toute pensée personnelle parce qu’aussitôt une minorité va s’en saisir et déclencher un tollé général au mieux ou déclencher des scènes de violence au pire. Les restrictions à la liberté d’expression s’accentuent et semblent « gérées » par des minorités.

Art. 12. La garantie des droits de l’Homme et du Citoyen nécessite une force publique : cette force est donc instituée pour l’avantage de tous, et non pour l’utilité particulière de ceux auxquels elle est confiée.

Puisque cette force publique est instituée pour l’avantage de tous, ne se doit-elle pas d’intervenir et d’empêcher des manifestations menées par des individus en situation irrégulière dans notre pays, d’empêcher des actions menées par des minorités violentes prenant de fallacieux prétextes pour manifester contre des actes et des actions passées menées par la France bien avant l’existence de la Vè République ? 

Discours et belles paroles ne rétabliront pas l’ordre républicain auquel tout citoyen français et tout étranger en situation régulière dans notre pays a droit. Nous n’avons plus le sentiment que ces règles fondamentales ne régissent plus la société dans laquelle nous vivons aujourd’hui.

Nous souhaitons simplement que le pouvoir exécutif et les institutions s’appliquent à faire respecter une application stricte et inconditionnelle de ces textes nous octroyant le droit de vivre libres, égaux, en sécurité, en toute confiance en la justice.

Nous n’aspirons qu’à une vie sereine au sein d’une Nation forte, souveraine, libre, laïque, où la violence, le communautarisme, la corruption, les écarts de toutes natures… sont bannis et punis par simple application des 74 codes divers et variés complétant les textes fondateurs de notre république. 

Des minorités rongent les fondamentaux de la République, l’appartenance a l’union européenne la prive de la souveraineté nationale et le sentiment que nous avons est celui de l’abandon des forces au pouvoir à ces entités.

Redonnez-nous l’espoir ! 

Laisser un commentaire